Grands photographes renommés (Druet, Brassaï, Ostier, Karquel, Doisneau, Drayer jusqu’à Frank Horvat), ou amis de passage qui fixent humblement sur la pellicule la trace de leur visite à Maillol (Kessler, Mirbeau, Rewald, Carré, anonyme), tous n’ont pas réalisé des chefs-‐d’œuvre de l’art photographique, mais chacun a su inscrire la trace de sa rencontre et de son rapport discret avec le sculpteur.
Ces images captent notre attention car elles sont porteuses d’un moment rare, d’une atmosphère particulière, voire d’une étrangeté de hasard, une beauté en train de se faire, des regards croisés. Elles racontent surtout des liens d’amitié et de confiance, de reconnaissance mutuelle. Car Maillol était assez méfiant à l’égard des photographes, il ne laissait pas si facilement photographier son travail. Détestant très souvent les prises de vue de ses bronzes, dont les reflets pouvaient défigurer ses sculptures, il appréciait davantage le résultat obtenu avec les plâtres et les terres cuites.
Il s’agit ici d’entrer dans une véritable conversation à trois, entre le photographe, son sujet (Maillol et ses œuvres) et l’observateur qui découvre ces photos, quelquefois non dénuées d’humour.
Ces images captent notre attention car elles sont porteuses d’un moment rare, d’une atmosphère particulière, voire d’une étrangeté de hasard, une beauté en train de se faire, des regards croisés. Elles racontent surtout des liens d’amitié et de confiance, de reconnaissance mutuelle. Car Maillol était assez méfiant à l’égard des photographes, il ne laissait pas si facilement photographier son travail. Détestant très souvent les prises de vue de ses bronzes, dont les reflets pouvaient défigurer ses sculptures, il appréciait davantage le résultat obtenu avec les plâtres et les terres cuites.
Il s’agit ici d’entrer dans une véritable conversation à trois, entre le photographe, son sujet (Maillol et ses œuvres) et l’observateur qui découvre ces photos, quelquefois non dénuées d’humour.