« Jazz à Juan » célèbre cette année ses 50 ans d'existence
L’Office de Tourisme d’Antibes Juan-les-Pins, organisateur du festival, et Jean-René Palacio, directeur artistique, entendent célébrer avec faste le jubilé d’une manifestation qui reste l’un des temps forts de l’actualité culturelle de la vie du jazz en France et en Europe. De nombreux évènements sont programmés, sans oublier sur scène les nombreux invités prestigieux pour qui Jazz et Juan ne font qu’un. Avant la conférence de presse, à l’occasion de laquelle le programme sera dévoilé dans son intégralité, cinq d’entre eux ont d’ores et déjà confirmé leur venue.
Un parrain de choix tout d’abord. La première fois qu’il s’est produit à la Pinède, en 1996, il s’est senti en pays de connaissance, à l’ombre bienveillante des Miles Davis, Ella Fitzgerald ou John Coltrane. « À l’époque, j’ai eu l’impression que ce festival m’était familier. Je suis convaincu que c’est l’œuvre de la mémoire collective », disait Marcus Miller. Quoi de plus naturel qu’il préside aux célébrations juanaises.
Un parrain de choix tout d’abord. La première fois qu’il s’est produit à la Pinède, en 1996, il s’est senti en pays de connaissance, à l’ombre bienveillante des Miles Davis, Ella Fitzgerald ou John Coltrane. « À l’époque, j’ai eu l’impression que ce festival m’était familier. Je suis convaincu que c’est l’œuvre de la mémoire collective », disait Marcus Miller. Quoi de plus naturel qu’il préside aux célébrations juanaises.
Gary Peacock et Jack DeJohnette, Keith Jarrett seront à l’affiche du 50e
Familier, « Jazz à Juan » l’est aussi pour un pianiste de légende, que le public découvrit en 1966 et qui, depuis, n’a de cesse de revenir le plus souvent possible, avec le sentiment spécial d’être chez lui. Pour lui, jouer dans la pinède est chaque fois un bonheur de création. Avec Gary Peacock et Jack DeJohnette, Keith Jarrett sera à l’affiche du 50e.
En 1985, alors qu’il fêtait ses 25 ans, « Jazz à Juan » avait créé la surprise avec un prestigieux plateau réunissant pour la première fois en France les pères de la bossa-nova, Joao Gilberto et Antonio Carlos Jobim, ainsi que Gilberto Gil et Gal Costa. La 50e édition accueillera l’un des plus grands compositeurs de la nouvelle musique brésilienne, Carlinhos Brown.
Nombreux les saxophonistes qui ont fait rugir de plaisir les nuits juanaises. Parmi eux, David Sanborn, compagnon des Bowie, Stones, Springsteen ou encore... Marcus Miller, producteur de son avant-dernier opus. Il sera lui aussi sur la scène d’une pinède où il eut maintes fois l’occasion de triompher, tout comme Manu Katché, l’inclassable et brillantissime défricheur de tendances, sans doute le plus cathodique et le plus international des batteurs français.
Rendez-vous dans 50 jours pour découvrir le programme du 50e Festival international de jazz d’Antibes Juan-les-Pins « Jazz à Juan », et 50 jours plus tard pour tout savoir sur tout (« Jazz Off », expositions, conférences et projections, livre, DVD…)
En 1985, alors qu’il fêtait ses 25 ans, « Jazz à Juan » avait créé la surprise avec un prestigieux plateau réunissant pour la première fois en France les pères de la bossa-nova, Joao Gilberto et Antonio Carlos Jobim, ainsi que Gilberto Gil et Gal Costa. La 50e édition accueillera l’un des plus grands compositeurs de la nouvelle musique brésilienne, Carlinhos Brown.
Nombreux les saxophonistes qui ont fait rugir de plaisir les nuits juanaises. Parmi eux, David Sanborn, compagnon des Bowie, Stones, Springsteen ou encore... Marcus Miller, producteur de son avant-dernier opus. Il sera lui aussi sur la scène d’une pinède où il eut maintes fois l’occasion de triompher, tout comme Manu Katché, l’inclassable et brillantissime défricheur de tendances, sans doute le plus cathodique et le plus international des batteurs français.
Rendez-vous dans 50 jours pour découvrir le programme du 50e Festival international de jazz d’Antibes Juan-les-Pins « Jazz à Juan », et 50 jours plus tard pour tout savoir sur tout (« Jazz Off », expositions, conférences et projections, livre, DVD…)