Harakiri est une formule magique, une autorisation au rêve, entre la vie et la mort. Harakiri est un basculement net au centre de soi, béant. Des profondeurs des entrailles faire surgir l’émotion par l’affirmation brutale d’images. Composer ces images par un condensé d’actes et de mouvements.
Harakiri développe une originalité formelle et sensible, s’appuyant sur une géométrie et un dessin émotionnel. La pièce transcende le banal vers une signification symbolique poétique et tragique.
Une danse collective – ensemble dans un même mouvement – Harakiri part d’une intuition, d’une nécessité qui s’est manifestée soudainement : rien de prémédité. Pas un concept rationnel à illustrer. Au fil des
répétitions simplement le besoin de danser ensemble, de faire corps, de se débarrasser du superflu, des vanités personnelles, des ego bavards et digressifs, une envie d’aller à l’essentiel et dans ce qui réunit.
Harakiri développe une originalité formelle et sensible, s’appuyant sur une géométrie et un dessin émotionnel. La pièce transcende le banal vers une signification symbolique poétique et tragique.
Une danse collective – ensemble dans un même mouvement – Harakiri part d’une intuition, d’une nécessité qui s’est manifestée soudainement : rien de prémédité. Pas un concept rationnel à illustrer. Au fil des
répétitions simplement le besoin de danser ensemble, de faire corps, de se débarrasser du superflu, des vanités personnelles, des ego bavards et digressifs, une envie d’aller à l’essentiel et dans ce qui réunit.