Le Grand Tour : voyage(s) d’artistes en orient, musée des Beaux-Arts
Exposition - collection orientaliste du musée des Beaux-Arts
Au XIXe siècle, une vision souvent fantasmée de l’Orient, alimentée par les récits de voyages d’écrivains, d’hommes politiques ou d’artistes, se propage en Europe. Ce voyage en Orient, qui devient presque obligatoire pour tout artiste ambitieux, est surnommé “Le Grand Tour” et offre aux peintres, aux dessinateurs et aux photographes de multiples sources d’inspiration. Portraits de Delacroix et de Gasté, paysages lumineux de Ziem, cortèges de Benjamin-Constant, danseuses de Bida ou encore bestiaire exotique et renouvelé des sculpteurs comme Barye et Fremiet... Le musée des Beaux-Arts nous convie à une découverte des oeuvres orientalistes de ses collections.
Du vendredi 22 novembre au lundi 9 mars 2020
Au XIXe siècle, une vision souvent fantasmée de l’Orient, alimentée par les récits de voyages d’écrivains, d’hommes politiques ou d’artistes, se propage en Europe. Ce voyage en Orient, qui devient presque obligatoire pour tout artiste ambitieux, est surnommé “Le Grand Tour” et offre aux peintres, aux dessinateurs et aux photographes de multiples sources d’inspiration. Portraits de Delacroix et de Gasté, paysages lumineux de Ziem, cortèges de Benjamin-Constant, danseuses de Bida ou encore bestiaire exotique et renouvelé des sculpteurs comme Barye et Fremiet... Le musée des Beaux-Arts nous convie à une découverte des oeuvres orientalistes de ses collections.
Du vendredi 22 novembre au lundi 9 mars 2020
Orpheus XXI Jordi Savall
Le 16 avril 2016, Jordi Savall se rend dans la “jungle” de Calais et y donne un concert improvisé en compagnie de musiciens réfugiés rencontrés sur place. Suite à cette expérience et avec des musiciens d’Hespérion XXI,
le Catalan décide de créer un orchestre de musiciens réfugiés et immigrés pour les aider à retrouver une vie artistique en Europe. Baptisé Orpheus XXI et mené conjointement avec des associations d’aide aux migrants, ce projet vise ainsi à faciliter l’insertion des musiciens ré fugiés et, au-delà, à valoriser la musique en tant
que moyen de communication entre les peuples. Pour ce concert, l’orchestre se compose de sept musiciens, parmi lesquels la grande chanteuse et oudiste syrienne Waed Bouhassoun et le joueur de nay Moslem Rahal, tous deux directeurs artistiques de l’Ensemble.
Samedi 30 novembre à 20h - Grand Théâtre
le Catalan décide de créer un orchestre de musiciens réfugiés et immigrés pour les aider à retrouver une vie artistique en Europe. Baptisé Orpheus XXI et mené conjointement avec des associations d’aide aux migrants, ce projet vise ainsi à faciliter l’insertion des musiciens ré fugiés et, au-delà, à valoriser la musique en tant
que moyen de communication entre les peuples. Pour ce concert, l’orchestre se compose de sept musiciens, parmi lesquels la grande chanteuse et oudiste syrienne Waed Bouhassoun et le joueur de nay Moslem Rahal, tous deux directeurs artistiques de l’Ensemble.
Samedi 30 novembre à 20h - Grand Théâtre
Samira Kadiri - voix de la Méditerranée
Musique du monde
Voix de la Méditerranée, Samira oeuvre par son chant à la sauvegarde du patrimoine artistique et culturel arabo-andalou et contribue à son épanouissement au-delà des frontières en puisant ses inspirations dans les anciens manuscrits du patrimoine gharnati et andalou. Elle a développé son propre style dans l’interprétation du répertoire médiéval méditerranéen avec des incursions dans des techniques de chant diverses comme celles du flamenco, du fado ou du jazz.
Samedi 30 novembre à 20h - Théâtre des Feuillants
Voix de la Méditerranée, Samira oeuvre par son chant à la sauvegarde du patrimoine artistique et culturel arabo-andalou et contribue à son épanouissement au-delà des frontières en puisant ses inspirations dans les anciens manuscrits du patrimoine gharnati et andalou. Elle a développé son propre style dans l’interprétation du répertoire médiéval méditerranéen avec des incursions dans des techniques de chant diverses comme celles du flamenco, du fado ou du jazz.
Samedi 30 novembre à 20h - Théâtre des Feuillants
Le cri du Caire, Abdullah Miniawy
Musique du monde
Le Caire, fin 2013 : dans une ville en ébullition, où le couvre-feu vient d’être levé après un deuxième coup d’état, où le rêve et la révolte s’affichent en grand sur les murs, où les slogans hostiles, aussi bien aux islamistes qu’à l’armée, résonnent jusque dans les clubs du centre-ville, Blaise Merlin, directeur du «Jazz nomades» à Paris, entend la voix d’Abdullah Miniawy à deux pas de la place Tahir. Ce porte-parole de la jeunesse égyptienne, chanteur soufi, écrivain, poète, slameur et étudiant sans-le-sou, venu de la ville-oasis d’El-Fayoum, agite la scène et les réseaux sociaux par sa voix hypnotique, mélange unique séculaire et avant-gardiste. Entre rock, poésie soufie, jazz, spoken word et volutes orientales, “Le Cri du Caire” fait résonner un monde avide de liberté Wet de justice et invente un univers d’une grande puissance qui transcende les identités et les frontières.
Jeudi 5 décembre à 20h - Théâtre des Feuillants
Le Caire, fin 2013 : dans une ville en ébullition, où le couvre-feu vient d’être levé après un deuxième coup d’état, où le rêve et la révolte s’affichent en grand sur les murs, où les slogans hostiles, aussi bien aux islamistes qu’à l’armée, résonnent jusque dans les clubs du centre-ville, Blaise Merlin, directeur du «Jazz nomades» à Paris, entend la voix d’Abdullah Miniawy à deux pas de la place Tahir. Ce porte-parole de la jeunesse égyptienne, chanteur soufi, écrivain, poète, slameur et étudiant sans-le-sou, venu de la ville-oasis d’El-Fayoum, agite la scène et les réseaux sociaux par sa voix hypnotique, mélange unique séculaire et avant-gardiste. Entre rock, poésie soufie, jazz, spoken word et volutes orientales, “Le Cri du Caire” fait résonner un monde avide de liberté Wet de justice et invente un univers d’une grande puissance qui transcende les identités et les frontières.
Jeudi 5 décembre à 20h - Théâtre des Feuillants