17.10.10 : Rigoletto, Giuseppe Verdi, melodramma en trois actes, opéra de St-Etienne

De la pièce originale de Victor Hugo Le Roi s’amuse qui mêle farce et tragique, violence et tendresse, Piave tire un livret brillant. Verdi le sublime en un drame musical révolutionnaire et romantique.


Période Renaissance, lors d’une fête orgiaque au Duché de Mantoue. Le souverain, libertin débauché, raconte complaisamment ses exploits amoureux et, en guise d’illustration, soustrait la Comtesse Ceprano à la vue de son époux.
Survient Monterone, accusant le Duc d’avoir séduit sa fille ; Rigoletto le raille, Monterone lui jette sa malédiction. Le bossu honni n’a d’autre joie dans sa vie que sa fille, la pure Gilda. Il la tient à l’écart du monde, mais le Duc de Mantoue a entrepris de la séduire sous l’apparence d’un étudiant pauvre...
Rapt, vengeance, meurtre : l’implacable machine du drame se met en place... De la pièce originale de Victor Hugo Le Roi s’amuse qui mêle farce et tragique, violence et tendresse, Piave tire un livret brillant. Verdi le sublime en un drame musical révolutionnaire et romantique.

Rigoletto
Un chef-d'oeuvre international au succès jamais démenti depuis sa création.
Melodramma en trois actes
Livret de Francesco Maria Piave d’après Le Roi s’amuse de Victor Hugo
Grand Théâtre Massenet

Rigoletto : Victor Torres
Gilda : Olivera Topalovic
Le Duc de Mantoue : Jean-François Borras
Sparafucile : Jean Teitgen
Maddalena : Kismara Pessatti
Le Comte Monterone : Alain Herriau
Le Chevalier Marullo : Evgueni Alexiev
Matteo Borsa : Vincent Delhoume
Choeurs Lyriques et Orchestre Symphonique de Saint-Étienne

Direction musicale : Laurent Campellone
Mise en scène : Guy Joosten
Lumières : Chris Van der Auwera
Costumes : Karine Seydtle
Décors : Johannes Leiaker

Dimanche 17 : 15h
Mardi 19 : 20h
Jeudi 21 : 20h
TARIFS
Série1 : 50 € Série 3 : 22 €
Série 2 : 38 € éco : 10 €
Durée : 2h45 environ
En italien, surtitré en français.
Production de l’Opéra des Flandres

pierre aimar
Mis en ligne le Lundi 20 Septembre 2010 à 14:27 | Lu 1335 fois
pierre aimar
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