Cette œuvre monumentale de Dvorák est une partition sacrée des plus poignantes. Elle est sublimée par le piano compassionnel de Marie-Josèphe Jude et les voix aux couleurs ardentes des Solistes de Lyon sous la direction de Bernard Tétu.
Il y a un déferlement de sentiments profonds dans cette solennité voulue par Antòn Dvorák qui, entre 1875 et 1877, voit disparaître ses trois enfants. À ses blessures et à ses douleurs répétées, ce père affligé réagit par un surcroît de créativité. Pour son Stabat Mater, il s’inspire d’un hymne composé par un moine franciscain Jacopone da Todi (1230-1306), qui décrit la souffrance de la Vierge devant son fils mourant. Chaque note est une prière de la simplicité et de l’intimité sans expressions violentes ni trop passionnées. Bernard Tétu, Les Solistes de Lyon et Marie-Josèphe Jude, pianiste de renommée internationale, servent magistralement la première esquisse de 1876 qui exprime la richesse intérieure du compositeur.
vendredi 20 novembre à 20h30
dans la grande salle
tarif A durée 1h
Il y a un déferlement de sentiments profonds dans cette solennité voulue par Antòn Dvorák qui, entre 1875 et 1877, voit disparaître ses trois enfants. À ses blessures et à ses douleurs répétées, ce père affligé réagit par un surcroît de créativité. Pour son Stabat Mater, il s’inspire d’un hymne composé par un moine franciscain Jacopone da Todi (1230-1306), qui décrit la souffrance de la Vierge devant son fils mourant. Chaque note est une prière de la simplicité et de l’intimité sans expressions violentes ni trop passionnées. Bernard Tétu, Les Solistes de Lyon et Marie-Josèphe Jude, pianiste de renommée internationale, servent magistralement la première esquisse de 1876 qui exprime la richesse intérieure du compositeur.
vendredi 20 novembre à 20h30
dans la grande salle
tarif A durée 1h