Eaux-fortes, burins, aquatintes en noir et blanc ou en couleur, ce sont plus de 450 œuvres de 250 artistes issus de 36 pays qui seront exposées pour la première fois au public français. Parmi les temps forts, la mise à l'honneur des graveurs du Mexique, la présentation inédite d’œuvres du peintre-graveur libanais Assadour, ainsi qu'une carte blanche au Canada, à la Colombie, à l’Italie, au Japon, à la Pologne, à l’Arménie, au Liban et à l’Ukraine. Autour d'une exposition de 1 000 m2, la Biennale propose également des visites commentées, des conférences, des visites-ateliers et des démonstrations pour tous publics. De quoi donner à voir et à vivre toute la vitalité de la gravure contemporaine et la richesse d'un art en constante évolution depuis la première trace laissée par l'homme préhistorique. L'événement est gratuit.
La 21ème Biennale en 4 temps forts
A côté d'une sélection d’œuvres de 73 artistes français et internationaux sélectionnés parmi 182 graveurs ayant répondu à l'appel à participation lancé en janvier 2023, et des œuvres des 180 meilleurs graveurs français et internationaux parmi des artistes confirmés et des étudiants de l’Académie des Beaux-arts de Venise, de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts et de l’Ecole Estienne de Paris, la Biennale proposera 4 temps forts.
1. Les graveurs du Mexique mis à l’honneur
Depuis sa création, la Biennale met un pays ou une région du monde à l’honneur. Pour cette 21ème édition, elle présente une sélection inédite de gravures d'artistes parmi les plus grands graveurs contemporains du Mexique. Dès que l’on parle du Mexique, des stéréotypes nous viennent en tête : la musique, les mariachis, la téquila, les tacos ou encore le guacamole. On pense aussi aux grands artistes mexicains Diego Rivera et Frida Khalo, mais on oublie souvent Rufino Tamayo et Francisco Toledo, deux artistes qui sont à l’origine de l’essor de la gravure au Mexique. Nous découvrirons les eaux fortes d’artistes abstraits, mais le plus souvent figuratifs, inspirés de représentations humaines et animales, de formes totémiques, résurgences de la civilisation du peuple Inca.
L’art de la gravure au Mexique est un véritable moyen d'expression et de communication, qui s’affiche sur les murs des villes et a été popularisé par l’emploi des techniques de gravure sur bois et de linogravure.
A 500 km au sud-est de Mexico, Oaxaca, capitale de l'état du même nom, berceau de l'une des plus anciennes civilisations préhispaniques, les Zapotèques, est devenue le centre de la gravure composé de plusieurs dizaines d’ateliers et de galeries consacrées à l’art de l’estampe.
Sous l’impulsion de Fernando Aceves Humana, artiste graveur, nombre d’artistes se sont impliqués avec beaucoup de générosité dans la diffusion de la pratique de cet art, en créant des ateliers éphémères de gravure, dans les villages pauvres de la périphérie d’Oaxaca. Ils ont aussi rendu possible la création d’un atelier de gravure dans la prison d’Oaxaca, à destination des prisonniers de longue peine.
2. L’artiste invité d’honneur : Assadour, peintre-graveur libanais
Né au Liban en 1943 et initié au dessin à Beyrouth, Assadour Bezdikian, dit Assadour, a poursuivi sa formation à l’Ecole des Beaux-arts de Paris dans l’atelier de Lucien Coutaud. Son œuvre fait partie aujourd’hui de collections publiques et privées en France et à l’international.
Assadour est avant tout un graveur : « Quand je grave, dit-il j’exprime un côté analytique de mon tempérament, je dissèque l’image et, avec elle, la pensée. Je suis comme un chirurgien ».
Assadour fait sa première exposition à Beyrouth, en mars 1964, l'année même où il s’installe à Paris et s’inscrit à l'Ecole nationale supérieure des Beaux-arts. Sa peinture s'inscrit dans le cadre arménien : rhétorique et symbolique du paysage intérieur, de sa désolation et de sa prise en charge dans une douleur figée et répétitive que soutient une virtuosité technique devenue le nécessaire corollaire de l'expression. Il semble ne parler que de paysages désertiques et de mondes désarticulés, mais de façon si précise, méticuleuse et à la limite de la lisibilité qui peut toucher le grand public, qu'il n'y joue plus de facilités de thèmes ou de variations thématiques, mais du montage d'un monde intérieur à partir d'éléments picturaux progressivement mis en place.
3. Une carte blanche au Canada, à la Colombie, à l’Italie, au Japon, à la Pologne, à l'Arménie, au Liban et à l’Ukraine.
Véritables « piliers » de la Biennale, plusieurs de ces pays invités des éditions précédentes répondent présents avec des œuvres inédites dont la large représentation permet de mesurer l'évolution des tendances au fil du temps. A noter dans cette carte blanche une touchante réunion de gravures, réalisées par des artistes colombiens, des artistes italiens et par des artistes libanais, spécialement pour cette édition.
4. L’atelier de gravure de l’Ecole d’Art Janine Haddad ouvert à la pratique tous azimuts, dans et hors les murs
La Biennale permet de faire découvrir la pratique de la gravure et l’atelier de gravure de l’Ecole d’Art Janine Haddad doté de 4 presses, qui propose d’aborder une grande diversité de techniques : pointe sèche, linogravure, taille-douce, manière noire, carborundum, collagraphie, eau-forte, aquatinte, bois, burin, etc.
Des visites commentées de l'exposition proposées par la Direction des affaires culturelles de la Ville et des visites-ateliers de sensibilisation et de pratique de la gravure sont organisées pour tout public et animés par le personnel de l'école d'art Janine Haddad en direction des : enfants, adolescents et adultes, en groupes scolaires, groupes d'accueils de loisirs, de maisons de quartier, de centres sociaux, groupes de médiation associatifs et dans le cadre de visites libres des publics.
Pendant les deux semaines d'exposition, ces groupes vont bénéficier de rencontres avec des étudiants de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts et de l’Ecole Estienne de Paris, qui leur présenteront leurs productions de l'année, fruit de longues recherches et expérimentations qu'ils expliqueront. Ces échanges ont pour objet de faire bénéficier la jeunesse des expériences d'étudiants, témoignant de leur parcours scolaire, des différents choix d'orientation professionnelle qu'offre leur école.
Cette exposition donne ainsi place à un programme d'actions d'éducation artistique et culturelle à destination des jeunes et des familles des quartiers prioritaires sur les temps scolaire, périscolaire et extrascolaire qui s'inscrit dans la convention de partenariat pour l'éducation artistique et culturelle, établie en 2021 entre la Ville de Sarcelles et l'Académie de Versailles pour une durée de 3 ans. Plus de soixante heures d’ateliers de sensibilisation et de pratique de la gravure y seront proposées pour tous publics : scolaires, centres de loisirs, enfants, adolescents et adultes.
Ce parcours articulé autour des 3 piliers de l'éducation artistique, conjugue :
a) la rencontre du jeune public avec des œuvres d'art, pour lui permettre de cultiver sa sensibilité, sa curiosité, son don d'observation, d'échanger avec un artiste-graveur, d'identifier la diversité des lieux et des acteurs culturels du territoire ;
b) l'initiation du jeune public à l'art de la gravure, dans l'objectif de lui permettre d'utiliser des techniques d'expression artistique adaptées à une production, de mettre en œuvre un processus de création ;
c) la transmission de savoirs et de connaissances pour permettre aux jeunes d'exprimer une émotion esthétique et un jugement critique, d'utiliser un vocabulaire approprié à chaque domaine artistique, de mettre en relation différents champs de connaissance, de mobiliser leurs savoirs et leurs expériences au service de la compréhension d'une œuvre.
Cette exposition propose également des conférences et des démonstrations tous publics. De quoi donner à voir et à vivre toute la vitalité de la gravure contemporaine et la richesse d’un art en constante évolution depuis la première trace laissée par l’homme préhistorique. 4 000 personnes sont attendues pour cette manifestation résolument placée sous le signe de la découverte et de l’étonnement, dont l'entrée est gratuite.
1. Les graveurs du Mexique mis à l’honneur
Depuis sa création, la Biennale met un pays ou une région du monde à l’honneur. Pour cette 21ème édition, elle présente une sélection inédite de gravures d'artistes parmi les plus grands graveurs contemporains du Mexique. Dès que l’on parle du Mexique, des stéréotypes nous viennent en tête : la musique, les mariachis, la téquila, les tacos ou encore le guacamole. On pense aussi aux grands artistes mexicains Diego Rivera et Frida Khalo, mais on oublie souvent Rufino Tamayo et Francisco Toledo, deux artistes qui sont à l’origine de l’essor de la gravure au Mexique. Nous découvrirons les eaux fortes d’artistes abstraits, mais le plus souvent figuratifs, inspirés de représentations humaines et animales, de formes totémiques, résurgences de la civilisation du peuple Inca.
L’art de la gravure au Mexique est un véritable moyen d'expression et de communication, qui s’affiche sur les murs des villes et a été popularisé par l’emploi des techniques de gravure sur bois et de linogravure.
A 500 km au sud-est de Mexico, Oaxaca, capitale de l'état du même nom, berceau de l'une des plus anciennes civilisations préhispaniques, les Zapotèques, est devenue le centre de la gravure composé de plusieurs dizaines d’ateliers et de galeries consacrées à l’art de l’estampe.
Sous l’impulsion de Fernando Aceves Humana, artiste graveur, nombre d’artistes se sont impliqués avec beaucoup de générosité dans la diffusion de la pratique de cet art, en créant des ateliers éphémères de gravure, dans les villages pauvres de la périphérie d’Oaxaca. Ils ont aussi rendu possible la création d’un atelier de gravure dans la prison d’Oaxaca, à destination des prisonniers de longue peine.
2. L’artiste invité d’honneur : Assadour, peintre-graveur libanais
Né au Liban en 1943 et initié au dessin à Beyrouth, Assadour Bezdikian, dit Assadour, a poursuivi sa formation à l’Ecole des Beaux-arts de Paris dans l’atelier de Lucien Coutaud. Son œuvre fait partie aujourd’hui de collections publiques et privées en France et à l’international.
Assadour est avant tout un graveur : « Quand je grave, dit-il j’exprime un côté analytique de mon tempérament, je dissèque l’image et, avec elle, la pensée. Je suis comme un chirurgien ».
Assadour fait sa première exposition à Beyrouth, en mars 1964, l'année même où il s’installe à Paris et s’inscrit à l'Ecole nationale supérieure des Beaux-arts. Sa peinture s'inscrit dans le cadre arménien : rhétorique et symbolique du paysage intérieur, de sa désolation et de sa prise en charge dans une douleur figée et répétitive que soutient une virtuosité technique devenue le nécessaire corollaire de l'expression. Il semble ne parler que de paysages désertiques et de mondes désarticulés, mais de façon si précise, méticuleuse et à la limite de la lisibilité qui peut toucher le grand public, qu'il n'y joue plus de facilités de thèmes ou de variations thématiques, mais du montage d'un monde intérieur à partir d'éléments picturaux progressivement mis en place.
3. Une carte blanche au Canada, à la Colombie, à l’Italie, au Japon, à la Pologne, à l'Arménie, au Liban et à l’Ukraine.
Véritables « piliers » de la Biennale, plusieurs de ces pays invités des éditions précédentes répondent présents avec des œuvres inédites dont la large représentation permet de mesurer l'évolution des tendances au fil du temps. A noter dans cette carte blanche une touchante réunion de gravures, réalisées par des artistes colombiens, des artistes italiens et par des artistes libanais, spécialement pour cette édition.
4. L’atelier de gravure de l’Ecole d’Art Janine Haddad ouvert à la pratique tous azimuts, dans et hors les murs
La Biennale permet de faire découvrir la pratique de la gravure et l’atelier de gravure de l’Ecole d’Art Janine Haddad doté de 4 presses, qui propose d’aborder une grande diversité de techniques : pointe sèche, linogravure, taille-douce, manière noire, carborundum, collagraphie, eau-forte, aquatinte, bois, burin, etc.
Des visites commentées de l'exposition proposées par la Direction des affaires culturelles de la Ville et des visites-ateliers de sensibilisation et de pratique de la gravure sont organisées pour tout public et animés par le personnel de l'école d'art Janine Haddad en direction des : enfants, adolescents et adultes, en groupes scolaires, groupes d'accueils de loisirs, de maisons de quartier, de centres sociaux, groupes de médiation associatifs et dans le cadre de visites libres des publics.
Pendant les deux semaines d'exposition, ces groupes vont bénéficier de rencontres avec des étudiants de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts et de l’Ecole Estienne de Paris, qui leur présenteront leurs productions de l'année, fruit de longues recherches et expérimentations qu'ils expliqueront. Ces échanges ont pour objet de faire bénéficier la jeunesse des expériences d'étudiants, témoignant de leur parcours scolaire, des différents choix d'orientation professionnelle qu'offre leur école.
Cette exposition donne ainsi place à un programme d'actions d'éducation artistique et culturelle à destination des jeunes et des familles des quartiers prioritaires sur les temps scolaire, périscolaire et extrascolaire qui s'inscrit dans la convention de partenariat pour l'éducation artistique et culturelle, établie en 2021 entre la Ville de Sarcelles et l'Académie de Versailles pour une durée de 3 ans. Plus de soixante heures d’ateliers de sensibilisation et de pratique de la gravure y seront proposées pour tous publics : scolaires, centres de loisirs, enfants, adolescents et adultes.
Ce parcours articulé autour des 3 piliers de l'éducation artistique, conjugue :
a) la rencontre du jeune public avec des œuvres d'art, pour lui permettre de cultiver sa sensibilité, sa curiosité, son don d'observation, d'échanger avec un artiste-graveur, d'identifier la diversité des lieux et des acteurs culturels du territoire ;
b) l'initiation du jeune public à l'art de la gravure, dans l'objectif de lui permettre d'utiliser des techniques d'expression artistique adaptées à une production, de mettre en œuvre un processus de création ;
c) la transmission de savoirs et de connaissances pour permettre aux jeunes d'exprimer une émotion esthétique et un jugement critique, d'utiliser un vocabulaire approprié à chaque domaine artistique, de mettre en relation différents champs de connaissance, de mobiliser leurs savoirs et leurs expériences au service de la compréhension d'une œuvre.
Cette exposition propose également des conférences et des démonstrations tous publics. De quoi donner à voir et à vivre toute la vitalité de la gravure contemporaine et la richesse d’un art en constante évolution depuis la première trace laissée par l’homme préhistorique. 4 000 personnes sont attendues pour cette manifestation résolument placée sous le signe de la découverte et de l’étonnement, dont l'entrée est gratuite.
Du 25 novembre au 10 décembre, la fine fleur de la gravure mondiale a rendez-vous à Sarcelles
Biennale Internationale de la Gravure de Sarcelles
Du 25 novembre au 10 décembre 2023
Plus de 36 pays représentés, 250 artistes, 450 gravures, Eau-forte, burin, aquatinte en noir et blanc ou en couleur.
Exposition, conférences, visites-ateliers, démonstrations
Un événement placé sous le parrainage du ministère de la Culture
Un pays mis à l’honneur : le Mexique
Carte blanche au Canada, à la Colombie, à l’Italie, à la Pologne, au Japon, au Liban, à l’Arménie et à l’Ukraine qui exposent une sélection d’artistes.
Sous le parrainage d’Astrid de La Forest, artiste plasticienne française de l’Académie des Beaux-arts
Commissariat d’exposition Jean-Pierre Tanguy, artiste, professeur honoraire de gravure à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts de Paris
Cet événement est proposé par la municipalité de Sarcelles et son école d’art Janine Haddad.
****************
ACCUEIL DU PUBLIC
Du 25 novembre au 10 décembre 2023
Entrée libre (sans réservation) du mardi au samedi de 10 h à 17 h 30, le jeudi de 10 h à 20 h 30 et le dimanche de 14 h à 17 h.
Village de la Gravure, Ecole d’art Janine Haddad
VISITES-ATELIERS ET DÉMONSTRATIONS
Pour les scolaires et groupes. Sur rendez-vous auprès de la Direction des affaires culturelles au 01 34 38 20 56
VISITES-CONFÉRENCES ANIMÉES PAR LE COMMISSAIRE DE LA BIENNALE
Le jeudi 30 novembre 2023 de 19 h à 20 h 30,
Le samedi 9 décembre 2023 de 15 h 30 à 17 h.
Entrée gratuite sur réservation auprès de l'École d'Art Janine Haddad.
Tél. : 01 39 90 54 17 et ecoledart@sarcelles.fr
Adresse : Village de la Gravure, Ecole d’art Janine Haddad
5 route de Garges - 95200 Sarcelles
Transilien ligne H (départ en gare de surface à Gare du Nord), arrêt Sarcelles Saint-Brice
Du 25 novembre au 10 décembre 2023
Plus de 36 pays représentés, 250 artistes, 450 gravures, Eau-forte, burin, aquatinte en noir et blanc ou en couleur.
Exposition, conférences, visites-ateliers, démonstrations
Un événement placé sous le parrainage du ministère de la Culture
Un pays mis à l’honneur : le Mexique
Carte blanche au Canada, à la Colombie, à l’Italie, à la Pologne, au Japon, au Liban, à l’Arménie et à l’Ukraine qui exposent une sélection d’artistes.
Sous le parrainage d’Astrid de La Forest, artiste plasticienne française de l’Académie des Beaux-arts
Commissariat d’exposition Jean-Pierre Tanguy, artiste, professeur honoraire de gravure à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts de Paris
Cet événement est proposé par la municipalité de Sarcelles et son école d’art Janine Haddad.
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ACCUEIL DU PUBLIC
Du 25 novembre au 10 décembre 2023
Entrée libre (sans réservation) du mardi au samedi de 10 h à 17 h 30, le jeudi de 10 h à 20 h 30 et le dimanche de 14 h à 17 h.
Village de la Gravure, Ecole d’art Janine Haddad
VISITES-ATELIERS ET DÉMONSTRATIONS
Pour les scolaires et groupes. Sur rendez-vous auprès de la Direction des affaires culturelles au 01 34 38 20 56
VISITES-CONFÉRENCES ANIMÉES PAR LE COMMISSAIRE DE LA BIENNALE
Le jeudi 30 novembre 2023 de 19 h à 20 h 30,
Le samedi 9 décembre 2023 de 15 h 30 à 17 h.
Entrée gratuite sur réservation auprès de l'École d'Art Janine Haddad.
Tél. : 01 39 90 54 17 et ecoledart@sarcelles.fr
Adresse : Village de la Gravure, Ecole d’art Janine Haddad
5 route de Garges - 95200 Sarcelles
Transilien ligne H (départ en gare de surface à Gare du Nord), arrêt Sarcelles Saint-Brice