Des gueules cabossées, déformées par un trop-plein de sentiments contenus qui ne demandent qu’à exploser… Pour les décrire, l’artiste parle de « têtes avec un cœur dedans ». Par ses dessins empreints de tendresse et de révolte, Anouk Grinberg rend visibles des silences qui font plus de bruit que la rumeur, dans une observation quasi-politique.
Robert Delpire, Germain Viatte et Louis Deledicq se sont laissés toucher par les pastels d’Anouk Grinberg…
- « Il n’y a rien de préconçu dans ce qu’offre cette exposition. Ce qui frappe, dans le cas d’Anouk, c’est la fulgurance avec laquelle elle est passée d’une peinture d’une apparente naïveté à un champ d’expression totalement autre et autrement plus grave », prévient Robert Delpire.
- « Elle est sortie pour reconnaître ces anonymes géants ou minuscules, lisses ou écorchés de nombreux piquants, noués ou aplatis ; elle les a entraînés avec elle, en elle, aimés, mâchés, digérés », écrit Germain Viatte.
- « Ces visages sont peut-être cernés par l’angoisse, mais leurs yeux, bien vivants, vous touchent droit à l’âme, et c'est l’espérance qui prend le pas sur le désespoir », commente Louis Deledicq, commissaire de l’exposition.
L’Espace Berggruen
68-70 rue de l’Université – 75007 Paris
Tél. 01 42 22 12 51 / Fax. 01 42 22 14 44
Entrée libre du mardi au samedi (14h30-18h30) et sur rdv, sauf jours fériés.
Plus d’info sur : anoukgrinberg-pastels.over-blog.com/
Robert Delpire, Germain Viatte et Louis Deledicq se sont laissés toucher par les pastels d’Anouk Grinberg…
- « Il n’y a rien de préconçu dans ce qu’offre cette exposition. Ce qui frappe, dans le cas d’Anouk, c’est la fulgurance avec laquelle elle est passée d’une peinture d’une apparente naïveté à un champ d’expression totalement autre et autrement plus grave », prévient Robert Delpire.
- « Elle est sortie pour reconnaître ces anonymes géants ou minuscules, lisses ou écorchés de nombreux piquants, noués ou aplatis ; elle les a entraînés avec elle, en elle, aimés, mâchés, digérés », écrit Germain Viatte.
- « Ces visages sont peut-être cernés par l’angoisse, mais leurs yeux, bien vivants, vous touchent droit à l’âme, et c'est l’espérance qui prend le pas sur le désespoir », commente Louis Deledicq, commissaire de l’exposition.
L’Espace Berggruen
68-70 rue de l’Université – 75007 Paris
Tél. 01 42 22 12 51 / Fax. 01 42 22 14 44
Entrée libre du mardi au samedi (14h30-18h30) et sur rdv, sauf jours fériés.
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