Ecrite par Claude Alranq, la fable de la première édition de Festin de pierres sera poursuivie, en faisant référence à un second temps de l’histoire, la Renaissance humaniste, où le Védas a rencontré les interrogations universelles de la société. Elle constituera une étape pour préparer la cité à l’accueil du grand voyageur promis pour bientôt au Védas…
« Après avoir parcouru le Védas à la recherche d'un site où planter racines, Le grand voyageur, dressé sur son immense mante religieuse, frappe aux portes du château. La Draca de la Mosson leur barre le passage...
La Dòna del Terral a convoqué les états généraux du terroir car Joan, le géant du Védas, est atteint d'un mal étrange, la marana. Passant outre la colère de La Draca, La Dòna del Terral reçoit le grand voyageur. Elle demande aux célèbres fantômes du château, Rabelais, Rondelet et Pellicier, de venir conseiller les états qui sont dans l'embarras face à ce mal et à l'inattendu visiteur.
Ceux-ci invitent le public à venir déambuler dans le parc du château rendu à ses souvenirs du XVIème siècle. Il y découvrira trois spectacles de la renaissance dans l’Europe du sud et une taverne chantante, dansante et gouleyante, avant d'être confronté aux "curiosités du nouveau monde".
Alors le géant du Védas trouvera réponse à une obsession qu'il libérera dans l'équinoxe automnal.
La Pégoulade raccompagnera le grand voyageur en jeux, musiques et flambeaux à sa gigantesque mante religieuse.
Et l'apothéose naîtra de la danse de La Draca de la Mosson et de la mante sans frontières.»
« Après avoir parcouru le Védas à la recherche d'un site où planter racines, Le grand voyageur, dressé sur son immense mante religieuse, frappe aux portes du château. La Draca de la Mosson leur barre le passage...
La Dòna del Terral a convoqué les états généraux du terroir car Joan, le géant du Védas, est atteint d'un mal étrange, la marana. Passant outre la colère de La Draca, La Dòna del Terral reçoit le grand voyageur. Elle demande aux célèbres fantômes du château, Rabelais, Rondelet et Pellicier, de venir conseiller les états qui sont dans l'embarras face à ce mal et à l'inattendu visiteur.
Ceux-ci invitent le public à venir déambuler dans le parc du château rendu à ses souvenirs du XVIème siècle. Il y découvrira trois spectacles de la renaissance dans l’Europe du sud et une taverne chantante, dansante et gouleyante, avant d'être confronté aux "curiosités du nouveau monde".
Alors le géant du Védas trouvera réponse à une obsession qu'il libérera dans l'équinoxe automnal.
La Pégoulade raccompagnera le grand voyageur en jeux, musiques et flambeaux à sa gigantesque mante religieuse.
Et l'apothéose naîtra de la danse de La Draca de la Mosson et de la mante sans frontières.»