Pour commencer, une recherche sur l’attente
Que procure-t-elle ? Par quelles émotions est-on traversé ? Attendre sans bouger ? Dans le noir ? Dans le silence ? Les yeux fermés ? En colère ? Avec son chien ? Avec ses souvenirs ?
Le mouvement surgit-il ? Par habitude ? Par salut ? Par manque de patience ? Par asphyxie ?
Bouger pour exister, pour se sentir vivant, ou bien ne pas bouger, jusqu’à faire disparaître le mouvement, pour faire place au vide, au rien ? Bouger pour vivre ? Attendre pour exister ?
Le non-mouvement s'apparente-t-il à la mort ?
Meurt-on lorsqu'on n'attend plus ? Lorsqu'on n'attend plus rien de la vie ?
Puis, ces questions ont été altérées par la rencontre avec seize femmes de marins pêcheurs ou au long cours. Nous sommes allées chez elles, entre Quimper et La Rochelle, et nous avons accueilli leurs témoignages quant à leur vie à terre, lorsque leur mari est absent. Parfois nous les avons rencontrées seules, parfois à plusieurs, et l'entretien a pris alors des allures de goûter, où toutes y allions de notre petite histoire ou anecdote.
Ni documentaire, ni anthropologique, nous pensons cette pièce comme un solo chorégraphique qui se nourrit de la matière reccueillie.” Cie L’œil de Pénélope
Infos et réservation info@compagnie-maguy-marin.fr ou 04 72 01 12 30
Ouverture publique au ccn le jeudi 25 février à 18h30 (entrée libre sur réservation) // www.compagnie-maguy-marin.fr
Le mouvement surgit-il ? Par habitude ? Par salut ? Par manque de patience ? Par asphyxie ?
Bouger pour exister, pour se sentir vivant, ou bien ne pas bouger, jusqu’à faire disparaître le mouvement, pour faire place au vide, au rien ? Bouger pour vivre ? Attendre pour exister ?
Le non-mouvement s'apparente-t-il à la mort ?
Meurt-on lorsqu'on n'attend plus ? Lorsqu'on n'attend plus rien de la vie ?
Puis, ces questions ont été altérées par la rencontre avec seize femmes de marins pêcheurs ou au long cours. Nous sommes allées chez elles, entre Quimper et La Rochelle, et nous avons accueilli leurs témoignages quant à leur vie à terre, lorsque leur mari est absent. Parfois nous les avons rencontrées seules, parfois à plusieurs, et l'entretien a pris alors des allures de goûter, où toutes y allions de notre petite histoire ou anecdote.
Ni documentaire, ni anthropologique, nous pensons cette pièce comme un solo chorégraphique qui se nourrit de la matière reccueillie.” Cie L’œil de Pénélope
Infos et réservation info@compagnie-maguy-marin.fr ou 04 72 01 12 30
Ouverture publique au ccn le jeudi 25 février à 18h30 (entrée libre sur réservation) // www.compagnie-maguy-marin.fr