La photographie s’y livrera pour la première fois aux regards, amateurs ou avertis, leur offrant les clefs
de la réalité, celle de l’infinité des sens. Témoins de l’avenir, une quinzaine de jeunes artistes seront
également invités à s’exposer et à s’exprimer dans un espace qui leur sera dédié. Pour les plus jeunes,
seront conçus des ateliers d’initiations ludiques.
de la réalité, celle de l’infinité des sens. Témoins de l’avenir, une quinzaine de jeunes artistes seront
également invités à s’exposer et à s’exprimer dans un espace qui leur sera dédié. Pour les plus jeunes,
seront conçus des ateliers d’initiations ludiques.
Avida Dollar, Salvador Dali en vedette
Cette année, le « Petit Musée » se consacre à Salvador Dali. Personnage unique et double à la fois, il n’a
jamais pu se cantonner à un mouvement, aussi révolutionnaire que put être le surréalisme. Sa volonté
boulimique de pénétrer au cœur des réalités et de révéler le sens caché des choses font de Salvador Dali
un génie sans commune mesure. Touche-à-tout provocateur, aucun art ne lui échappe : peinture, sculpture,
architecture, photographie, cinéma, théâtre, écriture mais aussi design, publicité et chorégraphie… sexuelle !
Loin de toute orthodoxie, il orchestre des scènes liturgiques de jeux érotiques, donnant libre cours à ses
fantasmes : « aucun désir n’est coupable, il y a faute uniquement dans le refoulement. » L’érotisme dalinien,
autre moyen d’affirmer la réalité psychique, lève les tabous sexuels. L’iconographie érotique débridée de Dali
fera l’objet d’un thème particulier au « Petit Musée ».
jamais pu se cantonner à un mouvement, aussi révolutionnaire que put être le surréalisme. Sa volonté
boulimique de pénétrer au cœur des réalités et de révéler le sens caché des choses font de Salvador Dali
un génie sans commune mesure. Touche-à-tout provocateur, aucun art ne lui échappe : peinture, sculpture,
architecture, photographie, cinéma, théâtre, écriture mais aussi design, publicité et chorégraphie… sexuelle !
Loin de toute orthodoxie, il orchestre des scènes liturgiques de jeux érotiques, donnant libre cours à ses
fantasmes : « aucun désir n’est coupable, il y a faute uniquement dans le refoulement. » L’érotisme dalinien,
autre moyen d’affirmer la réalité psychique, lève les tabous sexuels. L’iconographie érotique débridée de Dali
fera l’objet d’un thème particulier au « Petit Musée ».
13 dessinateurs du Canard Enchaîné s'invitent ... et ils ont bien raison
Le « Canard enchaîné », puis « déchaîné » pour un temps (1918-1920), est le journal indépendant, libéré de la censure et de tout préjugé. Caustiques parfois, satiriques toujours, les dessinateurs manient leur art, souvent sous forme de caricature, pour le grand bonheur de la liberté d’expression. Treize dessinateurs du Canard s’invitent donc au Salon des Indépendants pour sa 120ème édition. Quand l’art et l’histoire se marient au service de l’information, se produisent des vérités à l’odeur de souffre, mais qui rappellent au monde qu’il fait bon de respirer…
A propos du salon...
Dans une mouvance de révolte, les Peintres Néo-impressionnistes, lassés d’être les Refusés des jurys du Salon Officiel, décident de créer leur Salon, avec pour devise « ni jury, ni récompense ». Un petit
groupe d’artistes novateurs, les pères précurseurs Paul Cézanne, Paul Gauguin, Henri de Toulouse-
Lautrec, Camille Pissarro et fondateurs Albert Dubois-Pillet, Odilon Redon, Cross, Georges Seurat, Paul Signac, créent le Salon des Indépendants en 1884. Cette association Loi 1901, reconnue d’utilité publique le 30 mars 1923, revendiquent de présenter en toute liberté leurs œuvres au public. Fidèle reflet de ce qui se crée aujourd’hui, aucune instance officielle, publique ou privée, ne vient alors formater voire uniformiser la
sélection présentée au public.
120ème Salon deS artiSteS indépendantS
Du 4 au 9 avril 2009 - de 11h30 à 19h30 - Espace Champerret Paris 17ème
groupe d’artistes novateurs, les pères précurseurs Paul Cézanne, Paul Gauguin, Henri de Toulouse-
Lautrec, Camille Pissarro et fondateurs Albert Dubois-Pillet, Odilon Redon, Cross, Georges Seurat, Paul Signac, créent le Salon des Indépendants en 1884. Cette association Loi 1901, reconnue d’utilité publique le 30 mars 1923, revendiquent de présenter en toute liberté leurs œuvres au public. Fidèle reflet de ce qui se crée aujourd’hui, aucune instance officielle, publique ou privée, ne vient alors formater voire uniformiser la
sélection présentée au public.
120ème Salon deS artiSteS indépendantS
Du 4 au 9 avril 2009 - de 11h30 à 19h30 - Espace Champerret Paris 17ème