Grigory Sokolov, « Le Magistral », enfin à Toulon !
Grigory Sokolov, piano
Schumann Grande Humoresque en si bémol majeur, opus 20 / Quatre pièces : Scherzo, Gigue, Romance et Fughetta, opus 32
Le complément de programme sera communiqué ultérieurement
De l'avis unanime des mélomanes et des critiques, un récital de ce « pianiste hors du commun », selon le mot d'une mélomane passionnée, est un moment unique, inoubliable. Il surgit des coulisses, salue à peine, tout juste assis il se met à jouer. Et là aussitôt la magie opère. Le public est transporté dans un autre univers, vers les sommets de la musique. C'est un « recueillement de cathédrale » qui s'installe jusqu'à la fin du concert. D'après un critique subjugué par son récital à Aix-en-Provence en août dernier, « Sokolov ne joue pas du piano, il est le piano ».
Sur plus de soixante concerts que Grigory Sokolov donnera dans la saison actuelle et jusqu'au mois d'août prochain, quatre seulement sont programmés en France, dont celui de Toulon avec Paris au Théâtre des Champs-Elysées, Toulouse et Lyon. C'est donc une occasion exceptionnelle de l'entendre chez nous.
Sokolov peaufine et élabore avec beaucoup de soins ses programmes. Il vient de nous faire connaître une partie de ce qu'il interprètera en février prochain à Toulon : Schumann, Grande Humoresque en si bémol majeur, opus 20 / Quatre pièces : scherzo, Gigue, Romance et Fughetta, opus 32.
Le grand piano schumannien est régulièrement visité par Grigory Sokolov qui sait en extraire tout le miel avec une pure émotion.
Vendredi 4 février, 20h30, Palais Neptune
« Récital » Grigory Sokolov, piano
Le complément de programme sera communiqué ultérieurement
De l'avis unanime des mélomanes et des critiques, un récital de ce « pianiste hors du commun », selon le mot d'une mélomane passionnée, est un moment unique, inoubliable. Il surgit des coulisses, salue à peine, tout juste assis il se met à jouer. Et là aussitôt la magie opère. Le public est transporté dans un autre univers, vers les sommets de la musique. C'est un « recueillement de cathédrale » qui s'installe jusqu'à la fin du concert. D'après un critique subjugué par son récital à Aix-en-Provence en août dernier, « Sokolov ne joue pas du piano, il est le piano ».
Sur plus de soixante concerts que Grigory Sokolov donnera dans la saison actuelle et jusqu'au mois d'août prochain, quatre seulement sont programmés en France, dont celui de Toulon avec Paris au Théâtre des Champs-Elysées, Toulouse et Lyon. C'est donc une occasion exceptionnelle de l'entendre chez nous.
Sokolov peaufine et élabore avec beaucoup de soins ses programmes. Il vient de nous faire connaître une partie de ce qu'il interprètera en février prochain à Toulon : Schumann, Grande Humoresque en si bémol majeur, opus 20 / Quatre pièces : scherzo, Gigue, Romance et Fughetta, opus 32.
Le grand piano schumannien est régulièrement visité par Grigory Sokolov qui sait en extraire tout le miel avec une pure émotion.
Vendredi 4 février, 20h30, Palais Neptune
« Récital » Grigory Sokolov, piano