Concert dans l'Abbatiale © DR
Très remarqué l’an dernier dans des cantates de Bach et dans Acis et Galatée de Haendel, Damien Guillon sera à la fois chef et soliste (Amour céleste) dans l’oratorio Maddalena ai piedi di Cristo du vénitien Antonio Caldara (1670-1736), avec la soprano Emmanuelle De Negri dans le rôle-titre (concert n°1). Johann Sebastian Bach sera doublement à l’honneur cette année, avec sa musique profane (Concertos brandebourgeois, dir. Bertrand Cuiller – concert n°9) et avec sa Passion selon saint Jean, que dirigera Marc Minkowski, invité pour la première fois à La Chaise-Dieu : il sera à la tête des Musiciens du Louvre et d’un chœur de solistes, dans lequel le ténor suisse Fabio Trümpy tiendra le rôle de l’Évangéliste (concerts n°12 & 14).
Toujours sur le thème de la Passion, c’est le Stabat Mater de Haydn qui décrira la douleur de la ‘Mater Dolorosa‘ au pied de la Croix, dans l’interprétation qu’en donnera Nicole Corti avec son chœur Spirito, l’Orchestre des Pays de Savoie et un quatuor de jeunes solistes : Marion Tassou (s.), Théophile Alexandre (a.), Benjamin Alunni (t.) et Geoffroy Buffière (b.) (concert n°26). Les grands pages sacrées du XIXe siècle ne seront pas oubliées, avec la Messe à Sainte-Cécile de Gounod (1855) et le Te Deum de Bizet (1858), par le Chœur Nicolas de Grigny et l’Orchestre national de Lorraine (dir. Jacques Mercier – concert n°29), et deux représentations du Requiem de Verdi (1874) par le Chœur et l’Orchestre symphoniques Giuseppe Verdi de Milan, dir. Daniel Kawka (concerts n°5 & 6).
Dans le registre symphonique profane, l’abbatiale accueillera deux excellents orchestres de chambre : l’Orchestre d’Auvergne (dir. Roberto Fores Veses), pour une soirée Mendelssohn (intégrale de la musique de scène du Songe d’une nuit d’été – concert n°8) et l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie, dans la 8e symphonie de Beethoven et le Concerto pour harpe de Boieldieu (sol. Agnès Clément, dir. Jonathon Heyward - concerts nos 19 & 21), ainsi que deux grandes phalanges : l’Orchestre philharmonique royal de Liège, dans un programme américain (Symphonie du Nouveau Monde de Dvořák et Rhapsody in blue de Gershwin, sol. Simon Ghraichy, dir. Christian Arming – concerts nos 22 & 24) et l’Orchestre national de Lyon, dans La Mer de Debussy et les deux Poèmes – l’un vocal, l’autre instrumental – d’Ernest Chausson (1855-1899), dirigés par Marzena Diakun (concert n°28).
Enfin, dans un face-à-face qui s’annonce impressionnant entre l’instrument et l’architecture du lieu, deux récitals de piano auront lieu cette année en l’abbatiale : l’un de Michaël Levinas, consacré à Bach, Beethoven et Debussy (concert n°2), l’autre de Roger Muraro, qui donnera le splendide cycle des Vingt Regards sur l’Enfant-Jésus (1944) de Messiaen (concert n°16).
Toujours dans l’enceinte de l’abbaye de La Chaise-Dieu, l’auditorium Cziffra (200 places) accueillera plusieurs concerts autour du clavecin acquis par le festival en 2016 : un récital de Benjamin Alard (Frescobaldi, Scarlatti, Bach, Rameau– concert n°7), un programme de concertos à deux claviers de Bach (Benjamin Alard & Bertrand Cuiller – concert n°15) et une après-midi Telemann, par l’ensemble Masques (dir. Olivier Fortin – concert n°11). On pourra également entendre dans cette salle un récital de guitare consacré à l’espagnol Fernando Sor (1778-1839) par Philippe Mouratoglou (concert n°4) ainsi qu’un programme de musique russe pour violoncelle et piano (Xavier Phillips & Igor Tchetuev - concert n°25). Le violoncelle sera également à l’honneur, mais cette fois en solo, en l’église Saint- André de Lavaudieu (Bach, Britten par Ophélie Gaillard – concert n° 13), abbaye "sœur" de La Chaise-Dieu, fondée par Saint Robert en 1057 pour y installer les moniales.
Toutes remarquables par leur histoire, leur architecture et leurs qualités acoustiques, les autres églises investies permettront notamment d’élargir le répertoire de ce 51e Festival à la musique sacrée a cappella - ainsi avec l’Ensemble Jacques Moderne, pour un programme Renaissance à Chamalières-sur-Loire (dir. Joël Suhubiette – concert n°3) ou encore avec The Tallis Scholars qui donneront le Miserere d’Allegri en la collégiale de Saint-Paulien (dir. Peter Phillips – concert n°10).
Deux de ces églises se prêteront plus particulièrement à un éclairage sur la musique française de notre temps : ainsi l’église Saint-Jean d’Ambert (concert n°23), dont l’orgue romantique Merklin (1879) vient d’être rénové, accueillera l’Ensemble Sequenza 9.3 (dir. Catherine Simonpietri) pour une version avec orgue seul du Requiem de Duruflé, associé à des improvisations et des compositions – dont l’une en création – de Thomas Lacôte (né en 1982), et la Cathédrale Notre- Dame du Puy (concert n°27) sera le cadre idéal du programme marial proposé par l’Ensemble Aedes (dir. Mathieu Romano), comprenant les Litanies à la Vierge Noire de Poulenc et les Vêpres de la Vierge Marie de Philippe Hersant (né en 1949).
Enfin, tout au long de ces dix jours de festival, de jeunes chefs, jeunes solistes et jeunes ensembles feront leurs débuts au festival, qui confirme par là son rôle dans la promotion et le soutien des jeunes talents. Tous deux fondés en 2014, Le Caravansérail (dir. Bertrand Cuiller) se produira en l’abbatiale, tandis que Les Accents (, dir. Thibault Noally) se produira en la basilique de Brioude, avec la jeune contralto Anthea Pitchanik (concert n°20). Ce même soir, l’américain Jonathon Heyward (25 ans), 1er Prix du Concours international de jeunes chefs d’orchestre de Besançon 2015, sera à la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Rouen- Normandie, et accompagnera la harpiste Agnès Clément (27 ans), 1er Prix du Concours international ARD de Munich en 2016. Le 27 août, la jeune chef d’origine polonaise Marzena Diakun, qui fut chef assistante de l’Orchestre philarmonique de Radio-France en 2015 et 2016, prendra les rênes de l’Orchestre national de Lyon.
Toujours sur le thème de la Passion, c’est le Stabat Mater de Haydn qui décrira la douleur de la ‘Mater Dolorosa‘ au pied de la Croix, dans l’interprétation qu’en donnera Nicole Corti avec son chœur Spirito, l’Orchestre des Pays de Savoie et un quatuor de jeunes solistes : Marion Tassou (s.), Théophile Alexandre (a.), Benjamin Alunni (t.) et Geoffroy Buffière (b.) (concert n°26). Les grands pages sacrées du XIXe siècle ne seront pas oubliées, avec la Messe à Sainte-Cécile de Gounod (1855) et le Te Deum de Bizet (1858), par le Chœur Nicolas de Grigny et l’Orchestre national de Lorraine (dir. Jacques Mercier – concert n°29), et deux représentations du Requiem de Verdi (1874) par le Chœur et l’Orchestre symphoniques Giuseppe Verdi de Milan, dir. Daniel Kawka (concerts n°5 & 6).
Dans le registre symphonique profane, l’abbatiale accueillera deux excellents orchestres de chambre : l’Orchestre d’Auvergne (dir. Roberto Fores Veses), pour une soirée Mendelssohn (intégrale de la musique de scène du Songe d’une nuit d’été – concert n°8) et l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie, dans la 8e symphonie de Beethoven et le Concerto pour harpe de Boieldieu (sol. Agnès Clément, dir. Jonathon Heyward - concerts nos 19 & 21), ainsi que deux grandes phalanges : l’Orchestre philharmonique royal de Liège, dans un programme américain (Symphonie du Nouveau Monde de Dvořák et Rhapsody in blue de Gershwin, sol. Simon Ghraichy, dir. Christian Arming – concerts nos 22 & 24) et l’Orchestre national de Lyon, dans La Mer de Debussy et les deux Poèmes – l’un vocal, l’autre instrumental – d’Ernest Chausson (1855-1899), dirigés par Marzena Diakun (concert n°28).
Enfin, dans un face-à-face qui s’annonce impressionnant entre l’instrument et l’architecture du lieu, deux récitals de piano auront lieu cette année en l’abbatiale : l’un de Michaël Levinas, consacré à Bach, Beethoven et Debussy (concert n°2), l’autre de Roger Muraro, qui donnera le splendide cycle des Vingt Regards sur l’Enfant-Jésus (1944) de Messiaen (concert n°16).
Toujours dans l’enceinte de l’abbaye de La Chaise-Dieu, l’auditorium Cziffra (200 places) accueillera plusieurs concerts autour du clavecin acquis par le festival en 2016 : un récital de Benjamin Alard (Frescobaldi, Scarlatti, Bach, Rameau– concert n°7), un programme de concertos à deux claviers de Bach (Benjamin Alard & Bertrand Cuiller – concert n°15) et une après-midi Telemann, par l’ensemble Masques (dir. Olivier Fortin – concert n°11). On pourra également entendre dans cette salle un récital de guitare consacré à l’espagnol Fernando Sor (1778-1839) par Philippe Mouratoglou (concert n°4) ainsi qu’un programme de musique russe pour violoncelle et piano (Xavier Phillips & Igor Tchetuev - concert n°25). Le violoncelle sera également à l’honneur, mais cette fois en solo, en l’église Saint- André de Lavaudieu (Bach, Britten par Ophélie Gaillard – concert n° 13), abbaye "sœur" de La Chaise-Dieu, fondée par Saint Robert en 1057 pour y installer les moniales.
Toutes remarquables par leur histoire, leur architecture et leurs qualités acoustiques, les autres églises investies permettront notamment d’élargir le répertoire de ce 51e Festival à la musique sacrée a cappella - ainsi avec l’Ensemble Jacques Moderne, pour un programme Renaissance à Chamalières-sur-Loire (dir. Joël Suhubiette – concert n°3) ou encore avec The Tallis Scholars qui donneront le Miserere d’Allegri en la collégiale de Saint-Paulien (dir. Peter Phillips – concert n°10).
Deux de ces églises se prêteront plus particulièrement à un éclairage sur la musique française de notre temps : ainsi l’église Saint-Jean d’Ambert (concert n°23), dont l’orgue romantique Merklin (1879) vient d’être rénové, accueillera l’Ensemble Sequenza 9.3 (dir. Catherine Simonpietri) pour une version avec orgue seul du Requiem de Duruflé, associé à des improvisations et des compositions – dont l’une en création – de Thomas Lacôte (né en 1982), et la Cathédrale Notre- Dame du Puy (concert n°27) sera le cadre idéal du programme marial proposé par l’Ensemble Aedes (dir. Mathieu Romano), comprenant les Litanies à la Vierge Noire de Poulenc et les Vêpres de la Vierge Marie de Philippe Hersant (né en 1949).
Enfin, tout au long de ces dix jours de festival, de jeunes chefs, jeunes solistes et jeunes ensembles feront leurs débuts au festival, qui confirme par là son rôle dans la promotion et le soutien des jeunes talents. Tous deux fondés en 2014, Le Caravansérail (dir. Bertrand Cuiller) se produira en l’abbatiale, tandis que Les Accents (, dir. Thibault Noally) se produira en la basilique de Brioude, avec la jeune contralto Anthea Pitchanik (concert n°20). Ce même soir, l’américain Jonathon Heyward (25 ans), 1er Prix du Concours international de jeunes chefs d’orchestre de Besançon 2015, sera à la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Rouen- Normandie, et accompagnera la harpiste Agnès Clément (27 ans), 1er Prix du Concours international ARD de Munich en 2016. Le 27 août, la jeune chef d’origine polonaise Marzena Diakun, qui fut chef assistante de l’Orchestre philarmonique de Radio-France en 2015 et 2016, prendra les rênes de l’Orchestre national de Lyon.
Informations et réservations
Bureau d'information touristique de La Chaise-Dieu
43160 LA CHAISE-DIEU
Tel : 04 71 00 01 16
reservation@chaise-dieu.com
Billetterie en ligne : www.chaise-dieu.com
Tarifs : de 8 à 85 euros - Abonnements à la carte : dès 3 concerts et jusqu’à -25%
Tarif réduit : - de 28 ans, demandeurs d'emplois et bénéficiaires des minima sociaux
Tarif dernière minute : environ -50% (une heure avant le concert)
43160 LA CHAISE-DIEU
Tel : 04 71 00 01 16
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Tarifs : de 8 à 85 euros - Abonnements à la carte : dès 3 concerts et jusqu’à -25%
Tarif réduit : - de 28 ans, demandeurs d'emplois et bénéficiaires des minima sociaux
Tarif dernière minute : environ -50% (une heure avant le concert)