Plus de 50 ans de carrière ont permis à Mariano Otero d’exposer son travail à Paris, Londres, Bruxelles, New York. Mais aussi à Valladolid et Madrid - au plus près de ses racines ibères - et Rennes, Saint-Malo, Saint Grégoire, Dinard - dans cette Bretagne qui l’a accueilli alors qu’il fuyait le franquisme avec sa famille.
Mariano Otero intègre en 1957 les Beaux-Arts de Rennes et obtient le Diplôme National de Peinture à Paris en 1962. Dès lors, il ne cesse de peindre et d’exposer en France, mais aussi à l’étranger.
La figure humaine occupe une place prépondérante dans l’oeuvre de l’artiste. La femme est omniprésente, tantôt inquiétante, aux traits anguleux; tantôt ras- surante, aux formes rondes et maternelles. Pour Mariano, la femme n’est pas une obsession, mais plutôt une attirance. Les sujets humains, notamment les femmes, ont toujours été ses sujets de prédilection.
Tango, Baigneuses, Nus et Natures mortes : une exposition consacrée aux célèbres séries de Mariano Otero
Pour Mariano, «la peinture exige un travail constant». Il travaille des thèmes qui lui viennent comme des déclics. Il s’inspire de croquis, se documente, travaille avec des modèles. Il s’approprie et réinterprète ses sujets avec un trait vif et nerveux, la signature de l’artiste. Les corps sont souvent pulpeux et les nus pudiques. On y remarque un contraste entre la lourdeur des corps et la légèreté des gestes.
Sa série sur le tango démontre son exigence pour la précision des mouvements. Inspiré par sa mère, danseuse de tango, Mariano s’est imprégné de la gestuelle riche de cette danse envoûtante pour reproduire avec justesse les attitudes et expressions.
Mariano Otero intègre en 1957 les Beaux-Arts de Rennes et obtient le Diplôme National de Peinture à Paris en 1962. Dès lors, il ne cesse de peindre et d’exposer en France, mais aussi à l’étranger.
La figure humaine occupe une place prépondérante dans l’oeuvre de l’artiste. La femme est omniprésente, tantôt inquiétante, aux traits anguleux; tantôt ras- surante, aux formes rondes et maternelles. Pour Mariano, la femme n’est pas une obsession, mais plutôt une attirance. Les sujets humains, notamment les femmes, ont toujours été ses sujets de prédilection.
Tango, Baigneuses, Nus et Natures mortes : une exposition consacrée aux célèbres séries de Mariano Otero
Pour Mariano, «la peinture exige un travail constant». Il travaille des thèmes qui lui viennent comme des déclics. Il s’inspire de croquis, se documente, travaille avec des modèles. Il s’approprie et réinterprète ses sujets avec un trait vif et nerveux, la signature de l’artiste. Les corps sont souvent pulpeux et les nus pudiques. On y remarque un contraste entre la lourdeur des corps et la légèreté des gestes.
Sa série sur le tango démontre son exigence pour la précision des mouvements. Inspiré par sa mère, danseuse de tango, Mariano s’est imprégné de la gestuelle riche de cette danse envoûtante pour reproduire avec justesse les attitudes et expressions.
Infos pratiques
Charivari - Galerie d’art - 7 rue Fontange 13006 Marseille