Alex Boucaud à l'œuvre. Photo © Pierre Aimar 2008
Le plus surprenant à la découverte des sculptures d’Alex Boucaud c’est l’authenticité de ses œuvres.
Expliquons le qualificatif « authentique ».
La plupart des sculptures de l’artiste guadeloupéen ont une parenté forte avec les masques et totems d’Afrique Noire que nous avons l’habitude de voir chez Barbier-Mueller à Genève ou dans certaines sections au musée du Quai Branly.
C’est une parenté, un voisinage, un style de traits qui émanent plus de l’inspiration naturelle et libre que de la copie d’œuvres africaines.
Alex Boucaud revendique l’absence de toute culture artistique.
« Il y a quatre ans, j’ai eu envie de sculpter le bois. Une envie que je traîne sans doute confusément
depuis longtemps. Je n’avais, et je n’ai toujours pas d’idée préconçue lorsque je décide de travailler une pièce de bois. C’est vraiment le bois qui me guide, m’indique ce que je peux dessiner, dans quel sens je
dois suivre les fibres. »
Lire la suite dans le document Pdf de 8 pages joint à cette news letter en cliquant sur lien (fichier de 750 Ko)
Contact :
Pierre Aimar [sortir@wanadoo.fr]mail:
Expliquons le qualificatif « authentique ».
La plupart des sculptures de l’artiste guadeloupéen ont une parenté forte avec les masques et totems d’Afrique Noire que nous avons l’habitude de voir chez Barbier-Mueller à Genève ou dans certaines sections au musée du Quai Branly.
C’est une parenté, un voisinage, un style de traits qui émanent plus de l’inspiration naturelle et libre que de la copie d’œuvres africaines.
Alex Boucaud revendique l’absence de toute culture artistique.
« Il y a quatre ans, j’ai eu envie de sculpter le bois. Une envie que je traîne sans doute confusément
depuis longtemps. Je n’avais, et je n’ai toujours pas d’idée préconçue lorsque je décide de travailler une pièce de bois. C’est vraiment le bois qui me guide, m’indique ce que je peux dessiner, dans quel sens je
dois suivre les fibres. »
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