« Je n’ai pas seulement épousé Jean, mais aussi ses idées, moi qui suis née à Varsovie où le mot communisme était devenu un mot grossier dénué de sens », nos idées nous les avons défendues en
chansons depuis toujours, celles qui proclamaient que l’homme serait un jour plus grand que l’homme, notre idée de l’homme toujours en combat, contre l’égoïsme, le repli sur soi, l’acceptation de nos défaites, tout renaît, recommence, même notre jeunesse, nous nous reconnaissons toujours en ceux qui luttent pour que
vive l’espoir d’une autre vie, attendant l’arrivée de cet homme libre, ce monde libre qui restent à inventer.
« Dans notre âme pas un cheveu blanc ! »
contacts pour organiser un tour de chant:
Sandra Gresse, chargée de diffusion
scenedubalcon1@aol.com
téléphone : 01.42.96.34.98 – télécopie : 01.42.96.00.35
chansons depuis toujours, celles qui proclamaient que l’homme serait un jour plus grand que l’homme, notre idée de l’homme toujours en combat, contre l’égoïsme, le repli sur soi, l’acceptation de nos défaites, tout renaît, recommence, même notre jeunesse, nous nous reconnaissons toujours en ceux qui luttent pour que
vive l’espoir d’une autre vie, attendant l’arrivée de cet homme libre, ce monde libre qui restent à inventer.
« Dans notre âme pas un cheveu blanc ! »
contacts pour organiser un tour de chant:
Sandra Gresse, chargée de diffusion
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téléphone : 01.42.96.34.98 – télécopie : 01.42.96.00.35
Anna Prucnal
Anna-Amour, Anna-Nostalgie, Anna-Rage mais Anna-Passion. Toujours.
Elle est née en Pologne. À Varsovie. Un père chirurgien d'origine paysanne, mi-juif, mi-tzigane. Une mère très noble et même un peu princesse, descendante de Stanislas Leszczcynski.
Puis Jan Prucnal est assassiné par les nazis.
Première déchirure. Il y en aura d’autres.
Alors, elle se met en route. Et depuis, elle joue, écrit, chante, vibre en cinq continents.
Avide, assoiffée, insatiable, elle explore, recherche…
Anna rit. Anna pleure. Vivre. Survivre. Passionnément.
Et puis, il y aura Jean. Et puis, il y aura Piotr.
Anna Amoureuse, Anna Mère.
Mais par-dessus tout, Anna Femme. Infiniment.
Elle nous offre ses blessures, ses cris, ses joies, son étoile à mille branches, avec une générosité grande comme ce monde qu’elle arpente, gourmande.
Elle, l’épouse d’un instant.
À chaque rencontre avec le public, c’est le prodige : elle se livre, se délivre, se donne, entière, comme si c’était la pour première et pour la dernière fois.
Anna Aujourd’hui. Plus que jamais. Anna La Vie.
Elle est née en Pologne. À Varsovie. Un père chirurgien d'origine paysanne, mi-juif, mi-tzigane. Une mère très noble et même un peu princesse, descendante de Stanislas Leszczcynski.
Puis Jan Prucnal est assassiné par les nazis.
Première déchirure. Il y en aura d’autres.
Alors, elle se met en route. Et depuis, elle joue, écrit, chante, vibre en cinq continents.
Avide, assoiffée, insatiable, elle explore, recherche…
Anna rit. Anna pleure. Vivre. Survivre. Passionnément.
Et puis, il y aura Jean. Et puis, il y aura Piotr.
Anna Amoureuse, Anna Mère.
Mais par-dessus tout, Anna Femme. Infiniment.
Elle nous offre ses blessures, ses cris, ses joies, son étoile à mille branches, avec une générosité grande comme ce monde qu’elle arpente, gourmande.
Elle, l’épouse d’un instant.
À chaque rencontre avec le public, c’est le prodige : elle se livre, se délivre, se donne, entière, comme si c’était la pour première et pour la dernière fois.
Anna Aujourd’hui. Plus que jamais. Anna La Vie.
Jean Mailland
Né à Aix-les-Bains (Savoie) le 26 avril 1937, cela n'aurait aucune importance si ce n'était le jour du bombardement de Guernica. De quoi vous donner une responsabilité et si Jean Mailland ne veut pas parler au nom des milliers de morts de cet holocauste, il ne s'en sent pas moins en fraternité avec ces victimes innocentes de la barbarie nazie. Son travail sera toujours lié au symbole de liberté du chêne de Guernica.
Après des études à Lyon où il découvre le théâtre, Brecht, Ionesco, Adamov grâce à Roger Planchon dans son petit théâtre de la rue des Marronniers, et la littérature avec la rencontre de Roger Vailland, il devient cinéaste à Paris, assistant de Joris Ivens, René Allio, Louis Daquin, Jean-Paul Le Chanois. Mais c'est surtout sa longue collaboration avec Armand Gatti qui déterminera sa vie. Des livres, "Armand Gatti-
L'Enclos", "La tête à la renverse", des films "Hamida" (d’après le roman de Gabriele Estival), "Un jeune homme seul" (d'après le roman de Roger Vailland), puis en 1965 la rencontre avec Anna Prucnal à Babelsberg (Berlin-Est).
Dès lors entre deux films pour la télévision, quand la télévision était encore un art de communiquer, il se consacre à la carrière d'Anna Prucnal écrivant ses chansons et mettant en scène, filmant ses spectacles.
En 2004, il collabore avec Anna à la rédaction de son livre de souvenirs "Moi qui suis née à Varsovie " (L’Archipel) et publie aux éditions L’Amourier "Chansons et contrechansons pour Anna".
Il se consacre depuis entièrement à l’écriture et a publié alors régulièrement
principalement aux Éditions le Bruit des autres, du théâtre "La brûlée vive", " Noyés précédé de Chez Maria ", un roman "Déclaration d'absence", des poèmes " Le présent définitif ", "Ombres des choses naturelles " et aujourd’hui "Le journal des arbres " en co-édition avec L’Amourier.
Après des études à Lyon où il découvre le théâtre, Brecht, Ionesco, Adamov grâce à Roger Planchon dans son petit théâtre de la rue des Marronniers, et la littérature avec la rencontre de Roger Vailland, il devient cinéaste à Paris, assistant de Joris Ivens, René Allio, Louis Daquin, Jean-Paul Le Chanois. Mais c'est surtout sa longue collaboration avec Armand Gatti qui déterminera sa vie. Des livres, "Armand Gatti-
L'Enclos", "La tête à la renverse", des films "Hamida" (d’après le roman de Gabriele Estival), "Un jeune homme seul" (d'après le roman de Roger Vailland), puis en 1965 la rencontre avec Anna Prucnal à Babelsberg (Berlin-Est).
Dès lors entre deux films pour la télévision, quand la télévision était encore un art de communiquer, il se consacre à la carrière d'Anna Prucnal écrivant ses chansons et mettant en scène, filmant ses spectacles.
En 2004, il collabore avec Anna à la rédaction de son livre de souvenirs "Moi qui suis née à Varsovie " (L’Archipel) et publie aux éditions L’Amourier "Chansons et contrechansons pour Anna".
Il se consacre depuis entièrement à l’écriture et a publié alors régulièrement
principalement aux Éditions le Bruit des autres, du théâtre "La brûlée vive", " Noyés précédé de Chez Maria ", un roman "Déclaration d'absence", des poèmes " Le présent définitif ", "Ombres des choses naturelles " et aujourd’hui "Le journal des arbres " en co-édition avec L’Amourier.
Antoine-Marie Millet
Né à Lyon en 1942. Premier prix de piano, composition et harmonie du conservatoire de Lyon. Lauréat du conservatoire de Genève. École nationale de musique de Paris.
Pianiste, chef d'orchestre, compositeur d'Isabelle Aubret, Georges Chelon, Francis Blanche, Fernand Raynaud, Gérard Lenormand, Enrico Macias, Dalida, Sacha Distel, Jo Dassin, Sylvie Vartan, Jean Guidoni, Henri Tachan, chef d’orchestre dans les spectacles de Jérôme Savary à l’Opéra Comique.
Depuis 1985 pianiste accompagnateur, arrangeur d'Anna Prucnal pour Chansons de ma vie, Autoportrait, Monsieur Brecht, C'était à Babelsberg, pour l'Intégrale au Théâtre Dejazet (mars/avril 1996) et Gernika 1937, une revue Lyrique création au Manège de Reims (Novembre 1996 et Berlin 1997) Moi qui suis née à Varsovie (2002-2008). Compositeur et arrangeur pour Henri Tachan et Christiane Courvoisier.
Professeur de piano dans différents conservatoires de Paris et de la région parisienne.
Directeur musical de vingt stages AFDAS dirigés par Anna Prucnal
Brecht/Weill/Mahagonny depuis 1994, Mettre en scène la chanson, Voyage dans l'opérette d'Europe Centrale, Chanter avec Anna Prucnal, Poésie, chansons & cabaret.
Pianiste, chef d'orchestre, compositeur d'Isabelle Aubret, Georges Chelon, Francis Blanche, Fernand Raynaud, Gérard Lenormand, Enrico Macias, Dalida, Sacha Distel, Jo Dassin, Sylvie Vartan, Jean Guidoni, Henri Tachan, chef d’orchestre dans les spectacles de Jérôme Savary à l’Opéra Comique.
Depuis 1985 pianiste accompagnateur, arrangeur d'Anna Prucnal pour Chansons de ma vie, Autoportrait, Monsieur Brecht, C'était à Babelsberg, pour l'Intégrale au Théâtre Dejazet (mars/avril 1996) et Gernika 1937, une revue Lyrique création au Manège de Reims (Novembre 1996 et Berlin 1997) Moi qui suis née à Varsovie (2002-2008). Compositeur et arrangeur pour Henri Tachan et Christiane Courvoisier.
Professeur de piano dans différents conservatoires de Paris et de la région parisienne.
Directeur musical de vingt stages AFDAS dirigés par Anna Prucnal
Brecht/Weill/Mahagonny depuis 1994, Mettre en scène la chanson, Voyage dans l'opérette d'Europe Centrale, Chanter avec Anna Prucnal, Poésie, chansons & cabaret.