© Yvan Travert
Parmi les photographes représentés par l'agence photo akg-images, le nom d'Yvan Travert s'est imposé avec évidence lorsqu'il a fallu choisir celui qui pourrait réaliser le reportage photographique destiné à être exposé dans le cadre des Journées de l'Artsakh en France.
Reporter-photographe depuis une quarantaine d'années, il s'intéresse depuis longtemps à l'Arménie et a publié en 2007 aux Editions du Patrimoine avec Raymond Kévorkian un ouvrage de référence sur l'art sacré arménien « Lumière de l'Arménie chrétienne ».
Mais c'est surtout son grand travail sur les peuples qui luttent pour préserver leurs traditions et leur mode de vie dans un contexte géopolitique difficile, qui le prédestinait à faire ce reportage. Son enthousiasme pour explorer l'Artsakh, qu'il avait brièvement visité dans le cadre de son livre il y a dix ans, fut immédiat.
La cohabitation sur un territoire d'une culture millénaire, de la langue arménienne, des réminiscences de l'époque soviétique et de la guerre contre l'Azerbaïdjan ne pouvait que fasciner un photographe habitué aux pays riches de leur histoire complexe. Que dire alors de cette nature montagneuse, rugueuse et boisée qui forge le caractère des Artsakhiotes et qui était faite pour inspirer Yvan Travert.
Mais, il s'agissait d'abord et avant tout pour le photographe de partir à la rencontre des hommes et des femmes, jeunes et moins jeunes, urbains et ruraux, sur leur lieu de travail ou de loisirs, aux offices religieux ou lors de festivités pour donner à voir la diversité de l'Artsakh.
Yvan Travert a ramené plusieurs centaines de photos parmi lesquelles il a fallu retenir trente images pour cette exposition. A travers cette sélection, nous avons cherché à trouver un équilibre entre des vues de paysage, de patrimoine, des scènes de vie et des portraits, comme autant de « petits bouts d'Artsakh », autant de fenêtres sur un pays à découvrir.
Chaque image a été choisie à titre exemplaire, pour évoquer tout un monde qui s'ouvre au-delà des photos. Chacune d'entre elles a des qualités artistiques, documentaires ou émotionnelles pouvant susciter l'intérêt, la curiosité, l'empathie et l'imagination - dans le but de créer un lien avec ce qui est lointain et finalement si proche.
Puisse cette exposition révéler une parcelle de l'âme de ce pays en quête de reconnaissance.
Ulrike Haussen, commissaire de l'exposition
Reporter-photographe depuis une quarantaine d'années, il s'intéresse depuis longtemps à l'Arménie et a publié en 2007 aux Editions du Patrimoine avec Raymond Kévorkian un ouvrage de référence sur l'art sacré arménien « Lumière de l'Arménie chrétienne ».
Mais c'est surtout son grand travail sur les peuples qui luttent pour préserver leurs traditions et leur mode de vie dans un contexte géopolitique difficile, qui le prédestinait à faire ce reportage. Son enthousiasme pour explorer l'Artsakh, qu'il avait brièvement visité dans le cadre de son livre il y a dix ans, fut immédiat.
La cohabitation sur un territoire d'une culture millénaire, de la langue arménienne, des réminiscences de l'époque soviétique et de la guerre contre l'Azerbaïdjan ne pouvait que fasciner un photographe habitué aux pays riches de leur histoire complexe. Que dire alors de cette nature montagneuse, rugueuse et boisée qui forge le caractère des Artsakhiotes et qui était faite pour inspirer Yvan Travert.
Mais, il s'agissait d'abord et avant tout pour le photographe de partir à la rencontre des hommes et des femmes, jeunes et moins jeunes, urbains et ruraux, sur leur lieu de travail ou de loisirs, aux offices religieux ou lors de festivités pour donner à voir la diversité de l'Artsakh.
Yvan Travert a ramené plusieurs centaines de photos parmi lesquelles il a fallu retenir trente images pour cette exposition. A travers cette sélection, nous avons cherché à trouver un équilibre entre des vues de paysage, de patrimoine, des scènes de vie et des portraits, comme autant de « petits bouts d'Artsakh », autant de fenêtres sur un pays à découvrir.
Chaque image a été choisie à titre exemplaire, pour évoquer tout un monde qui s'ouvre au-delà des photos. Chacune d'entre elles a des qualités artistiques, documentaires ou émotionnelles pouvant susciter l'intérêt, la curiosité, l'empathie et l'imagination - dans le but de créer un lien avec ce qui est lointain et finalement si proche.
Puisse cette exposition révéler une parcelle de l'âme de ce pays en quête de reconnaissance.
Ulrike Haussen, commissaire de l'exposition
Pratique
Du vendredi 1er décembre (18h30) au dimanche 17 décembre 2017 à l'Espace Jeanne de Flandreysy, Square Charles Aznavour, 26000 Valence