Jean-Christophe Maillot et Goyo Montero ont tous deux travaillé autour d’une thématique commune : celle du groupe, la problématique étant ici de montrer comment une chorégraphie qui présente des tableaux vivants grand format, peut lier de manière harmonieuse les nombreuses personnalités qui composent nécessairement une compagnie de ballet.
Atman, la réponse de Goyo Montero, est marquée par une profonde spiritualité. Sa création emprunte à la philosophie hindoue son concept de « moi unifié au tout ». Le chorégraphe madrilène nous plonge ainsi dans une réflexion sur l’individu confronté au nombre dans la société. Il transpose ce cas de figure pour l’appliquer à la compagnie en cherchant à atteindre la plus grande fluidité et l’équilibre le plus juste entre les danseurs.
Avec Core Meu, Jean-Christophe Maillot nous donne à voir une danse de groupe survoltée où chaque danseur se jette à corps perdu dans une tarentelle fiévreuse. Par son énergie et sa générosité, cette création montre comment la danse peut briller collectivement sans nier pour autant les individus. Il s’agit là de l’essence même des Ballets de Monte-Carlo, une compagnie peu marquée par la hiérarchie qui s’est toujours donnée pour objectif de nourrir artistiquement chacun de ses danseur. Pour cette nouvelle pièce, le Chorégraphe-Directeur des Ballets de Monte-Carlo a demandé à Antonio Castrignanò et son orchestre de la Région des Pouilles d’accompagner la compagnie sur scène.
Atman, la réponse de Goyo Montero, est marquée par une profonde spiritualité. Sa création emprunte à la philosophie hindoue son concept de « moi unifié au tout ». Le chorégraphe madrilène nous plonge ainsi dans une réflexion sur l’individu confronté au nombre dans la société. Il transpose ce cas de figure pour l’appliquer à la compagnie en cherchant à atteindre la plus grande fluidité et l’équilibre le plus juste entre les danseurs.
Avec Core Meu, Jean-Christophe Maillot nous donne à voir une danse de groupe survoltée où chaque danseur se jette à corps perdu dans une tarentelle fiévreuse. Par son énergie et sa générosité, cette création montre comment la danse peut briller collectivement sans nier pour autant les individus. Il s’agit là de l’essence même des Ballets de Monte-Carlo, une compagnie peu marquée par la hiérarchie qui s’est toujours donnée pour objectif de nourrir artistiquement chacun de ses danseur. Pour cette nouvelle pièce, le Chorégraphe-Directeur des Ballets de Monte-Carlo a demandé à Antonio Castrignanò et son orchestre de la Région des Pouilles d’accompagner la compagnie sur scène.