A travers une trentaine d’oeuvres en Noir & Blanc et des sculptures colorées, ...
... « Cosmos » met en regard le travail des ces artistes, dont l’univers se nourrit de récits d’anticipation et d’imagerie de Science- Fiction. Si l’exposition permet de mettre en évidence les sources d’influences communes des deux hommes, elle témoigne surtout de la richesse créative de chacun. Habitué des teintes acidulées, Di Rosa livre ici une série inédite de toiles Noir & Blanc, où sa pléiade de personnages évolue dans la touffeur des décors. En regard, les peintures grand format Noir & Blanc de Philippe Druillet explorent territoires graphiques et contrées cosmiques.
Une rencontre artistique du 3ème type, où robots cyclopes et autres créatures déjantées de Di Rosa se confrontent à la noirceur des abîmes de Philippe Druillet.
Une rencontre artistique du 3ème type, où robots cyclopes et autres créatures déjantées de Di Rosa se confrontent à la noirceur des abîmes de Philippe Druillet.
Initiateur avec Robert Combas de la Figuration Libre, concepteur de « l’art modeste », ...
... Hervé Di Rosa explore depuis plus de trente ans les chemins sinueux de la création. Se réinventant à chaque étape de son parcours, l’oeuvre d’Hervé Di Rosa témoigne d’une incroyable diversité et d’une richesse d’invention. Son travail se nourrit de la contre-culture, du rock, d’images populaires, de graffitis et des cultures du monde.
Mixant indistinctement peinture et Bande Dessinée, l’artiste ne cesse d’entretenir une relation étroite avec le 9ème art. Les codes, l’imagerie, la narration ou l’humour de cet art populaire alimente l’imaginaire d’Hervé Di Rosa. Des classiques Franco-Belge, aux romans graphiques, en passant par l’underground, les mangas ou encore les comics américains, tout le fascine … Et c’est du côté de la Bande Dessinée de Science Fiction que l’on peut trouver une partie de ses influences graphiques : décors fantastiques, monstres robots, héros cyclopes aux grandes bouches et autres créatures délirantes.
Dans un entretien, Hervé Di Rosa raconte « Je suis un peu plus jeune que Philippe Druillet et je me souviens vers mes 12 ans, avoir été marqué par « Delirius ». Je me suis aperçu ensuite que ça avait été fondamental pour ma construction formelle ».
Il est vrai que l’oeuvre de Philippe Druillet a marqué de son empreinte toute une génération d’artistes. La sortie de son premier album « Le mystère des abîmes » en 1966, mettant en scène pour la première fois son célèbre héros Lone Sloane, bouleverse l’univers de la Bande Dessinée. L'explosion graphique, le style sombre et monumental, et la mise en page audacieuse de cet ouvrage, laisse entrevoir le génie de l’auteur. Philippe Druillet met en scène des héros fantasmagoriques, évoluant aux confins de la planète Delirius, lieu de plaisir à l’échelle cosmique. Au fil des aventures, l’univers s’affirme et la construction du récit prend toute sa dimension.
Dessinateur, scénariste hors paire, designer, sculpteur et peintre, Philippe Druillet explore les médiums artistiques les plus divers pour rendre compte de ses univers. Ses créations et ses visions étranges ouvrent la voie à de nombreux artistes, dessinateurs et réalisateurs tels que Georges Lucas ou encore Ridley Scott. A travers des personnages, voguant entre les mythologies du Bien et du Mal, les peintures de Druillet interrogent sur la condition humaine, le mythe de l’antihéros, l’animalisation ou encore la femme objet.
Mixant indistinctement peinture et Bande Dessinée, l’artiste ne cesse d’entretenir une relation étroite avec le 9ème art. Les codes, l’imagerie, la narration ou l’humour de cet art populaire alimente l’imaginaire d’Hervé Di Rosa. Des classiques Franco-Belge, aux romans graphiques, en passant par l’underground, les mangas ou encore les comics américains, tout le fascine … Et c’est du côté de la Bande Dessinée de Science Fiction que l’on peut trouver une partie de ses influences graphiques : décors fantastiques, monstres robots, héros cyclopes aux grandes bouches et autres créatures délirantes.
Dans un entretien, Hervé Di Rosa raconte « Je suis un peu plus jeune que Philippe Druillet et je me souviens vers mes 12 ans, avoir été marqué par « Delirius ». Je me suis aperçu ensuite que ça avait été fondamental pour ma construction formelle ».
Il est vrai que l’oeuvre de Philippe Druillet a marqué de son empreinte toute une génération d’artistes. La sortie de son premier album « Le mystère des abîmes » en 1966, mettant en scène pour la première fois son célèbre héros Lone Sloane, bouleverse l’univers de la Bande Dessinée. L'explosion graphique, le style sombre et monumental, et la mise en page audacieuse de cet ouvrage, laisse entrevoir le génie de l’auteur. Philippe Druillet met en scène des héros fantasmagoriques, évoluant aux confins de la planète Delirius, lieu de plaisir à l’échelle cosmique. Au fil des aventures, l’univers s’affirme et la construction du récit prend toute sa dimension.
Dessinateur, scénariste hors paire, designer, sculpteur et peintre, Philippe Druillet explore les médiums artistiques les plus divers pour rendre compte de ses univers. Ses créations et ses visions étranges ouvrent la voie à de nombreux artistes, dessinateurs et réalisateurs tels que Georges Lucas ou encore Ridley Scott. A travers des personnages, voguant entre les mythologies du Bien et du Mal, les peintures de Druillet interrogent sur la condition humaine, le mythe de l’antihéros, l’animalisation ou encore la femme objet.
Pratique
Galerie Petits Papiers
Place du Grand Sablon
8A rue de Bodenbroeck
1000 Bruxelles
BELGIQUE
Ouvert du mercredi au dimanche de 11h à 18h30
www.petitspapiers.be
00 32 (0) 478 31 92 82
contact@petitspapiers.be
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