Les défilés de carnaval commencent dès le 1er week-end de janvier après le 1er de l'an. Cela a commencé très fort avec le défilé de la ville du Gosier puisque 50 000 spectateurs y assistaient ! Un record pour une île qui compte 410 000 habitants.
Tous les week-ends ce sont au moins deux défilés qui se déroulent par une douce température qui flirte avec les 30°. Les alertes météo de métropole annonçant de sérieuses chutes de neige, des gros risques de verglas, des vents glacés à 100 km/h - sacré Mistral, sacrée, bise - n'apportent pas la moindre fraîcheur sur la Guadeloupe. Le thermomètre est stable dans la zone 28-30°. Et les bulletins météos de la métropole ne trouvent aucun écho.
Tout le monde est concentré sur le festival, sur cette période qui s'étale sur plusieurs semaines et pendant lesquelles il est du devoir de chacun de profiter au maximum de la fête.
Il est très simple pour ceux qui sont frigorifiés et recroquevillés sur eux-mêmes, là-bas, en métropole, de redécouvrir la lumière, la chaleur, la musique, les couleurs, la nature luxuriante, les rythmes lancinants des énormes tam-tam : il suffit de sauter dans un avion (on trouve des billets à moins de 500 euros aller-retour).
Un peu (beaucoup) de chaleur dans l'univers froid de l'hiver européen ?
Ressentir la chaleur du soleil sur la peau nue ?
"Trempoter" dans une eau turquoise à 28° ?
C'est ici, dans l'île "papillon" que cela se passe.
Le paradis existe, il suffit de boucler sa valise (sans lainage, sans pantalon chaud : deux chemisettes, deux maillots de bain, des lunettes de soleil, un chapeau, de la crème solaire) et hop, revoilà l'été, le carnaval, en plein hiver.
Pierre Aimar
Tous les week-ends ce sont au moins deux défilés qui se déroulent par une douce température qui flirte avec les 30°. Les alertes météo de métropole annonçant de sérieuses chutes de neige, des gros risques de verglas, des vents glacés à 100 km/h - sacré Mistral, sacrée, bise - n'apportent pas la moindre fraîcheur sur la Guadeloupe. Le thermomètre est stable dans la zone 28-30°. Et les bulletins météos de la métropole ne trouvent aucun écho.
Tout le monde est concentré sur le festival, sur cette période qui s'étale sur plusieurs semaines et pendant lesquelles il est du devoir de chacun de profiter au maximum de la fête.
Il est très simple pour ceux qui sont frigorifiés et recroquevillés sur eux-mêmes, là-bas, en métropole, de redécouvrir la lumière, la chaleur, la musique, les couleurs, la nature luxuriante, les rythmes lancinants des énormes tam-tam : il suffit de sauter dans un avion (on trouve des billets à moins de 500 euros aller-retour).
Un peu (beaucoup) de chaleur dans l'univers froid de l'hiver européen ?
Ressentir la chaleur du soleil sur la peau nue ?
"Trempoter" dans une eau turquoise à 28° ?
C'est ici, dans l'île "papillon" que cela se passe.
Le paradis existe, il suffit de boucler sa valise (sans lainage, sans pantalon chaud : deux chemisettes, deux maillots de bain, des lunettes de soleil, un chapeau, de la crème solaire) et hop, revoilà l'été, le carnaval, en plein hiver.
Pierre Aimar
© Pierre Aimar