Eliane Radigue - L’Écoute virtuose. Réalisation : Anaïs Prosaïc (France, 2011, 61', La Huit Distribution)
Le portrait intime d'une pionnière des musiques électroniques.
De 1967 à 2000, Éliane Radigue a composé une vingtaine d’oeuvres de musique électronique. Pionnière méconnue, sa pratique de l’art sonore, qu’elle pratique avec obsession - et parfois très loin des sentiers balisés par Pierre Henry et Pierre Schaeffer - depuis plus de 50 ans, développe de longs déploiements de fréquences électroniques sculptées. Ces «bourdons » ou « drones » composés sur synthétiseur (le système modulaire ARP 2500), elle les superpose et les polit à la milliseconde près, puis les structure à l’aide d’un simple chronomètre, dans le but avoué d’influencer le corps et l’esprit de l’auditeur, de précipiter un autre temps particulier dans l’espace du temps normal. Depuis 2001, Éliane Radigue a abandonné la composition sur synthétiseur analogique, pour se consacrer à un travail instrumental qui prolonge sans rupture esthétique son oeuvre électronique. Pour la compositrice, qui a toujours travaillé seule, l'étroite collaboration avec les interprètes durant le processus de composition est une révélation.
En juin 2011 à Londres, Sound and Music a rendu hommage à l'ensemble de son oeuvre. Un parcours passionnant que restitue avec justice ce documentaire d'Anaïs Prosaïc, auteur de nombreux portraits documentaires et longtemps collaboratrice de L'oeil du cyclone et de Mégamix.
http://www.gaite-lyrique.net/evenement/eliane-radigue-l-ecoute-virtuose-de-anais-prosaic
De 1967 à 2000, Éliane Radigue a composé une vingtaine d’oeuvres de musique électronique. Pionnière méconnue, sa pratique de l’art sonore, qu’elle pratique avec obsession - et parfois très loin des sentiers balisés par Pierre Henry et Pierre Schaeffer - depuis plus de 50 ans, développe de longs déploiements de fréquences électroniques sculptées. Ces «bourdons » ou « drones » composés sur synthétiseur (le système modulaire ARP 2500), elle les superpose et les polit à la milliseconde près, puis les structure à l’aide d’un simple chronomètre, dans le but avoué d’influencer le corps et l’esprit de l’auditeur, de précipiter un autre temps particulier dans l’espace du temps normal. Depuis 2001, Éliane Radigue a abandonné la composition sur synthétiseur analogique, pour se consacrer à un travail instrumental qui prolonge sans rupture esthétique son oeuvre électronique. Pour la compositrice, qui a toujours travaillé seule, l'étroite collaboration avec les interprètes durant le processus de composition est une révélation.
En juin 2011 à Londres, Sound and Music a rendu hommage à l'ensemble de son oeuvre. Un parcours passionnant que restitue avec justice ce documentaire d'Anaïs Prosaïc, auteur de nombreux portraits documentaires et longtemps collaboratrice de L'oeil du cyclone et de Mégamix.
http://www.gaite-lyrique.net/evenement/eliane-radigue-l-ecoute-virtuose-de-anais-prosaic
Quartetski does Stravinsky. Le sacre du printemps
Quartetski does Stravinsky
Pierre-Yves Martel viole de gambe, direction
Isaiah Ceccarelli percussions
Bernard Falaise guitare électrique
Philippe Lauzier clarinette basse, saxophone soprano
Josh Zubot violon
Fondé en 2007, Quartetski repense et interprète les oeuvres de grands compositeurs dans un contexte d’improvisation. Tout en demeurant fidèle à l'esprit des compositeurs, l’ensemble utilise leurs pièces comme laboratoire d'expérimentation sonore. En résulte une nouvelle musique de chambre, mélange de traditions, de styles et d’approches encore inexploités, qui nous conduit de la chambre vers des lieux étranges, de vastes salles résonnantes, des couloirs qui bifurquent …
Depuis ses débuts, Quartetski a créé une adaptation des Visions fugitives de Serge Prokofiev, pour laquelle le groupe a reçu le Prix de L'OFF Festival de Jazz de Montréal; ont suivi, peu après, des projets dédiés aux compositeurs Duke Ellington, Erik Satie, Henry Purcell, Tobias Hume et John Cage. Aujourd’hui à l’occasion du centième anniversaire de la création du Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky, Quartetski nous offre une réinterprétation de cette oeuvre monumentale qui fit scandale dans le Paris de 1913.
www.quartetski.com/home.cfm
Isaiah Ceccarelli percussions
Bernard Falaise guitare électrique
Philippe Lauzier clarinette basse, saxophone soprano
Josh Zubot violon
Fondé en 2007, Quartetski repense et interprète les oeuvres de grands compositeurs dans un contexte d’improvisation. Tout en demeurant fidèle à l'esprit des compositeurs, l’ensemble utilise leurs pièces comme laboratoire d'expérimentation sonore. En résulte une nouvelle musique de chambre, mélange de traditions, de styles et d’approches encore inexploités, qui nous conduit de la chambre vers des lieux étranges, de vastes salles résonnantes, des couloirs qui bifurquent …
Depuis ses débuts, Quartetski a créé une adaptation des Visions fugitives de Serge Prokofiev, pour laquelle le groupe a reçu le Prix de L'OFF Festival de Jazz de Montréal; ont suivi, peu après, des projets dédiés aux compositeurs Duke Ellington, Erik Satie, Henry Purcell, Tobias Hume et John Cage. Aujourd’hui à l’occasion du centième anniversaire de la création du Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky, Quartetski nous offre une réinterprétation de cette oeuvre monumentale qui fit scandale dans le Paris de 1913.
www.quartetski.com/home.cfm
Pratique
Cinéma Henri Verneuil & Théâtre Marelios
Rue Louis-Jouvet
Quartier La Coupiane
83160 La Valette-du-Var
Plein tarif 15 €
Tarif réduit : 8 €
Réservations : 06 82 92 34 61
Rue Louis-Jouvet
Quartier La Coupiane
83160 La Valette-du-Var
Plein tarif 15 €
Tarif réduit : 8 €
Réservations : 06 82 92 34 61