Vincent Chevillon, Et in Arcadia, Production Mucem 2019 © François Deladerrière
Cette réalisation est le fruit du partenariat entre l’IMéRA, Aix-Marseille Université et le Mucem, réunis pour l’accueil en résidence de chercheurs et d’artistes travaillant sur le monde méditerranéen.
Elle s’inscrit dans le cadre de la recherche menée par Marta Jecu (chercheur et commissaire), activant le sens des objets ethnographiques par l’art conceptuel.
Vincent Chevillon compare « Ruralités » à une Arcadie (un lieu où les objets se soucient de l’équilibre et de l’autonomie de l’écosystème), et il élargit cette approche sereine à l’inquiétude globale contemporaine concernant les ressources de la planète.
L’artiste propose une installation construite à la fois, à partir des archives constituées par Edouard de Laubrie, commissaire de
«Ruralités», et de ses propres images et matériaux, qui reflètent la dimension sociale des produits et techniques agricoles.
Son oeuvre capte les traces matérielles du monde paysan à travers le temps et l’espace.
Une publication accompagne le projet.
Vincent Chevillon : a grandi en outremer et a été formé aux Sciences de la Terre.
Il complète sa formation par des études en Art et rejoint en 2010 le post-diplôme des Beaux-arts de Paris, La Seine. Depuis 2014, il enseigne l’Espace et le Volume à La Haute Ecole des Arts du Rhin (HEAR) à Strasbourg.
Ses recherches convoquent différents champs d’études naviguant de l’anthropologie et la géophysique à l’iconologie. Il développe des dispositifs généralement évolutifs à partir d’éléments récoltés ou façonnés, images et récits, qui se formalisent en installation, édition, et œuvres numériques.
(https://vincentchevillon.com/semes/texte
Marta Jecu : est chercheur au Collèges d’Etudes Mondiales à Paris et auparavant au laboratoire de recherche CICANT, Universidade Lusofona, Lisbonne.
Elle est également commissaire et journaliste indépendante. Elle a publié dans des revues comme : E-flux, Kaleidoscope, Berlin Art Link, Idea Art +Society, Journal of Curatorial Studies, Esse Arts + Opinions et dans divers ouvrages. Parmi les expositions qu’elle organise, on peut citer : Solo Show Tadashi Kawamata in MAAT Lisbonne et celle de George Bodocan à l'Institut culturel roumain à Paris (2017), TIMEFALLS à la Galeria Baginski Lisbonne (2016), IN ABSENTIA à la Galeria Graca Brandao (2015). En 2016, elle a organisé le symposium international et le festival de projection « Hybrid Architectures ». Elle a organisé le projet DEVOUR, une série de trois expositions et conférences à Berlin au Freies Museum et Zentrum Für Kunst und Urbanismus (ZKU) Berlin en 2015 et Leipzig.
(www.martajecu.com / www.exodusstations.com
Elle s’inscrit dans le cadre de la recherche menée par Marta Jecu (chercheur et commissaire), activant le sens des objets ethnographiques par l’art conceptuel.
Vincent Chevillon compare « Ruralités » à une Arcadie (un lieu où les objets se soucient de l’équilibre et de l’autonomie de l’écosystème), et il élargit cette approche sereine à l’inquiétude globale contemporaine concernant les ressources de la planète.
L’artiste propose une installation construite à la fois, à partir des archives constituées par Edouard de Laubrie, commissaire de
«Ruralités», et de ses propres images et matériaux, qui reflètent la dimension sociale des produits et techniques agricoles.
Son oeuvre capte les traces matérielles du monde paysan à travers le temps et l’espace.
Une publication accompagne le projet.
Vincent Chevillon : a grandi en outremer et a été formé aux Sciences de la Terre.
Il complète sa formation par des études en Art et rejoint en 2010 le post-diplôme des Beaux-arts de Paris, La Seine. Depuis 2014, il enseigne l’Espace et le Volume à La Haute Ecole des Arts du Rhin (HEAR) à Strasbourg.
Ses recherches convoquent différents champs d’études naviguant de l’anthropologie et la géophysique à l’iconologie. Il développe des dispositifs généralement évolutifs à partir d’éléments récoltés ou façonnés, images et récits, qui se formalisent en installation, édition, et œuvres numériques.
(https://vincentchevillon.com/semes/texte
Marta Jecu : est chercheur au Collèges d’Etudes Mondiales à Paris et auparavant au laboratoire de recherche CICANT, Universidade Lusofona, Lisbonne.
Elle est également commissaire et journaliste indépendante. Elle a publié dans des revues comme : E-flux, Kaleidoscope, Berlin Art Link, Idea Art +Society, Journal of Curatorial Studies, Esse Arts + Opinions et dans divers ouvrages. Parmi les expositions qu’elle organise, on peut citer : Solo Show Tadashi Kawamata in MAAT Lisbonne et celle de George Bodocan à l'Institut culturel roumain à Paris (2017), TIMEFALLS à la Galeria Baginski Lisbonne (2016), IN ABSENTIA à la Galeria Graca Brandao (2015). En 2016, elle a organisé le symposium international et le festival de projection « Hybrid Architectures ». Elle a organisé le projet DEVOUR, une série de trois expositions et conférences à Berlin au Freies Museum et Zentrum Für Kunst und Urbanismus (ZKU) Berlin en 2015 et Leipzig.
(www.martajecu.com / www.exodusstations.com