Alexandre Séon, La Pensée, vers 1899, huile sur toile (détail), collection Lucile Audouy © Thomas Hennocque Musee de Valence
Séon se définit lui-même de façon très actuelle comme "un Artiste désirant donner à l’homme, par la vue d’une chose de sérénité, le silence et la Beauté en repos de la vie trépidante, sursautante, effarante et angoissante de maintenant ".
Fruit d’une collaboration entre le Musée de Valence, art et archéologie, et le Musée des Beaux-Arts de Quimper, l’exposition est la première consacrée à l’artiste depuis l’importante présentation de son œuvre à la Galerie Georges Petit en 1901, à Paris.
Les prêts consentis par d’importantes collections publiques (Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Paris, Musée d’Orsay, Musée du Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de Brest métropole, de Carcassonne…) et des collectionneurs privés permettent de redécouvrir l’artiste et son œuvre, dans un parcours à la fois thématique et chronologique.
À propos d’Alexandre Séon
Natif de Chazelles-sur-Lyon en Rhône-Alpes, Alexandre Séon (1855-1917) a étudié aux Beaux-Arts de Lyon et à Paris dans l’atelier d’Henri Lehmann -élève d’Ingres- et fut l'ami de Georges Seurat.
Son admiration pour Poussin, sa proximité avec Pierre Puvis de Chavannes qu’il assista dans les travaux de décor du Panthéon et son sens inné du symbole donnent à son œuvre un style inimitable. Il compte parmi les artistes les plus passionnants du mouvement symboliste français.
Entre la fin des années 1880 et la Première Guerre mondiale, poètes, peintres et musiciens revendiquaient le droit au rêve et à la subjectivité dans un monde matérialiste qu’ils rejetaient.
Las du naturalisme et de l’impressionnisme, et fidèles à l’héritage de Charles Baudelaire, ils invoquaient l’Idéal et le culte de la Beauté. Séon fut l’un des acteurs marquants de ce moment que l’on a appelé la « lutte idéale ». Militant, Séon était intimement lié au Sâr Joséphin Péladan, qui fonda en 1891 les Salons de la Rose+Croix, manifestation esthétique d’avant-garde destinée à resacraliser l’art et à lutter contre le réalisme.
Fruit d’une collaboration entre le Musée de Valence, art et archéologie, et le Musée des Beaux-Arts de Quimper, l’exposition est la première consacrée à l’artiste depuis l’importante présentation de son œuvre à la Galerie Georges Petit en 1901, à Paris.
Les prêts consentis par d’importantes collections publiques (Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Paris, Musée d’Orsay, Musée du Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de Brest métropole, de Carcassonne…) et des collectionneurs privés permettent de redécouvrir l’artiste et son œuvre, dans un parcours à la fois thématique et chronologique.
À propos d’Alexandre Séon
Natif de Chazelles-sur-Lyon en Rhône-Alpes, Alexandre Séon (1855-1917) a étudié aux Beaux-Arts de Lyon et à Paris dans l’atelier d’Henri Lehmann -élève d’Ingres- et fut l'ami de Georges Seurat.
Son admiration pour Poussin, sa proximité avec Pierre Puvis de Chavannes qu’il assista dans les travaux de décor du Panthéon et son sens inné du symbole donnent à son œuvre un style inimitable. Il compte parmi les artistes les plus passionnants du mouvement symboliste français.
Entre la fin des années 1880 et la Première Guerre mondiale, poètes, peintres et musiciens revendiquaient le droit au rêve et à la subjectivité dans un monde matérialiste qu’ils rejetaient.
Las du naturalisme et de l’impressionnisme, et fidèles à l’héritage de Charles Baudelaire, ils invoquaient l’Idéal et le culte de la Beauté. Séon fut l’un des acteurs marquants de ce moment que l’on a appelé la « lutte idéale ». Militant, Séon était intimement lié au Sâr Joséphin Péladan, qui fonda en 1891 les Salons de la Rose+Croix, manifestation esthétique d’avant-garde destinée à resacraliser l’art et à lutter contre le réalisme.
Pratique
Musée de Valence, art et archéologie
4, place des Ormeaux
26000 Valence
04 75 79 20 80
museedevalence.fr
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