Michel Graff, 2016 - Le long de l'allée. 65 x 54 cm
Laurence Innocenti
« Ma recherche picturale a toujours un rapport avec les territoires.
Cette transcription est liée aux passages constants entre le regard, les mots, l’écriture et la photographie, le passé, le présent. C'est un cheminement, une exploration des champs de l'imaginaire et de la mémoire.
La recherche des sensations de l'esprit vers la matière, des hasards vers l'aboutissement du concret. Quelques mots qui pourraient évoquer ma peinture et mon inspiration :
Parcourir, territoires, imaginaire, sensations, mémoire, oppositions, et surtout... rêver.
Je travaille la matière sur la toile ou le papier, matière lourde ou légère, collages et impressions au sens propre et sens figuré. »
Michel Graff
« Loin du tapage et des effets, Michel Graff peint le silence et la sérénité. Paisible et déterminée, sa démarche est empreinte d’une force tranquille étonnante.
La robustesse quasi sculpturale de sa composition contraste avec la sensualité d’une touche lumineuse, subtile, dont le chromatisme, sans cesse ravivé capture notre regard. Patiemment, de touche en touche, de vibration en vibration, Michel Graff investit son espace avec une rare intensité, de sorte que, notre regard se promène et s’égare, sans jamais s’ennuyer.
Héritier de Serge Poliakoff et de Nicolas de Staël, Michel Graff se singularise par une mise en scène spécifique, audacieuse, combinant volumes colorés et espaces vibrants infinis. C’est une œuvre pertinente qui s’inscrit parfaitement dans l’histoire de l’art abstrait de la deuxième partie du XXème siècle. » Destarac - novembre 2011
Martine Demal
« Comme une femme de lettres j’écris….
La terre, le plâtre, la cire et autres matériaux me servent à rédiger.
Le long et exigeant travail de réalisation du bronze et de sa patine me permet de finaliser et magnifier mon propos. Je reste fidèle à cette technique ancestrale qui garde toutes traces, qui inscrit toute marque du geste et de l’outil.
Questions-réponses, morceaux de vie, morceaux choisis, lourdeur et légèreté, volonté de puissance et de densité réunissant la stabilité et l’élan : quelle aventure intérieure !
Recherche de rencontres et d’émotions à partager, tout conduit à se jeter dans ce long et exigeant travail. Tout est prétexte à une nouvelle page, un nouveau chapitre de ce grand roman qu’est le parcours d’une vie.
…Tourner autour des sculptures, se les approprier… le dialogue est créé, l’œuvre existe. »
« Ma recherche picturale a toujours un rapport avec les territoires.
Cette transcription est liée aux passages constants entre le regard, les mots, l’écriture et la photographie, le passé, le présent. C'est un cheminement, une exploration des champs de l'imaginaire et de la mémoire.
La recherche des sensations de l'esprit vers la matière, des hasards vers l'aboutissement du concret. Quelques mots qui pourraient évoquer ma peinture et mon inspiration :
Parcourir, territoires, imaginaire, sensations, mémoire, oppositions, et surtout... rêver.
Je travaille la matière sur la toile ou le papier, matière lourde ou légère, collages et impressions au sens propre et sens figuré. »
Michel Graff
« Loin du tapage et des effets, Michel Graff peint le silence et la sérénité. Paisible et déterminée, sa démarche est empreinte d’une force tranquille étonnante.
La robustesse quasi sculpturale de sa composition contraste avec la sensualité d’une touche lumineuse, subtile, dont le chromatisme, sans cesse ravivé capture notre regard. Patiemment, de touche en touche, de vibration en vibration, Michel Graff investit son espace avec une rare intensité, de sorte que, notre regard se promène et s’égare, sans jamais s’ennuyer.
Héritier de Serge Poliakoff et de Nicolas de Staël, Michel Graff se singularise par une mise en scène spécifique, audacieuse, combinant volumes colorés et espaces vibrants infinis. C’est une œuvre pertinente qui s’inscrit parfaitement dans l’histoire de l’art abstrait de la deuxième partie du XXème siècle. » Destarac - novembre 2011
Martine Demal
« Comme une femme de lettres j’écris….
La terre, le plâtre, la cire et autres matériaux me servent à rédiger.
Le long et exigeant travail de réalisation du bronze et de sa patine me permet de finaliser et magnifier mon propos. Je reste fidèle à cette technique ancestrale qui garde toutes traces, qui inscrit toute marque du geste et de l’outil.
Questions-réponses, morceaux de vie, morceaux choisis, lourdeur et légèreté, volonté de puissance et de densité réunissant la stabilité et l’élan : quelle aventure intérieure !
Recherche de rencontres et d’émotions à partager, tout conduit à se jeter dans ce long et exigeant travail. Tout est prétexte à une nouvelle page, un nouveau chapitre de ce grand roman qu’est le parcours d’une vie.
…Tourner autour des sculptures, se les approprier… le dialogue est créé, l’œuvre existe. »