Jean Paul Courchia, "médecin du dimanche", devant l’œuvre qu'il a réalisée pour l'hôpital Saint Joseph
Dans l’ivresse des couleurs et la plénitude de son art, Jean-Paul Courchia emprunte sans ambages le sillage des maîtres de l’Ecole provençale. Ceux-là mêmes qui offrent derrière chacune de leur toile le soleil et la vie » c’est ainsi qu’en 2000 Caroline Guiol définit la peinture de Jean-Paul Courchia dans la revue Côté Sud.
Cet article décidera la Reine des Belges, la Reine Paola à rencontrer l’artiste et à acquérir plusieurs toiles du peintre Marseillais, devenant certainement la plus prestigieuse des collectionneuses de l’artiste. Quoi de neuf depuis 10 ans ? Une peinture peut être plus affirmée, plus osée, plus audacieuse dans le choix des sujets, dans l’approche de la lumière ? Est ce le fruit de son travail sur le regard des visiteurs ? Depuis 2004, en effet, c’est la réflexion scientifique d’un artiste, qui l’a amené au sein de l’hôpital Saint-Joseph, où il exerce sa profession d’endocrinologue (il aime, avec humour à se définir comme un médecin du dimanche), à se questionner sur le rapport entre la toile et la rétine du « regardeur ».
Il aura ainsi montré que l’on passe en général 12 secondes face à un tableau, un temps très bref où l’artiste doit être très habile pour capter l’attention de son observateur qui deviendra peut être un admirateur. Il va alors mesurer les mouvements oculaires de sujets volontaires face à des œuvres de Van Gogh, Cézanne, Goya, Matisse etc.. Il sillonne depuis 2004 les salles de conférences et les amphithéâtres ou un public averti découvre les conclusions de ses études sur la psychologie du peintre et sur l’impact des couleurs et des formes sur nos regards. Tire-t-il profit de ses observations pour construire ses toiles ? Il affirme que ses travaux le font progresser au niveau technique, car il comprend encore mieux le travail des maîtres qu’il étudie, entrant dans leur intimité picturale.
Après Marseille, Il continue de faire découvrir la Provence au public américain (River gallery à Westport, Connecticut), Néerlandais (galerie La Campagne, Rotterdam), Monégasque (Maison de l’Amérique Latine), et bien d’autres encore.
On peut retrouver les œuvres de Jean-Paul Courchia dans son atelier galerie, en prenant contact par son site www.courchia.com.
Galerie JAL, et moi et moi
8, Bd Notre Dame
13006, Marseille
04.91.54.08.88
aurora.com@aliceadsl.fr
Cet article décidera la Reine des Belges, la Reine Paola à rencontrer l’artiste et à acquérir plusieurs toiles du peintre Marseillais, devenant certainement la plus prestigieuse des collectionneuses de l’artiste. Quoi de neuf depuis 10 ans ? Une peinture peut être plus affirmée, plus osée, plus audacieuse dans le choix des sujets, dans l’approche de la lumière ? Est ce le fruit de son travail sur le regard des visiteurs ? Depuis 2004, en effet, c’est la réflexion scientifique d’un artiste, qui l’a amené au sein de l’hôpital Saint-Joseph, où il exerce sa profession d’endocrinologue (il aime, avec humour à se définir comme un médecin du dimanche), à se questionner sur le rapport entre la toile et la rétine du « regardeur ».
Il aura ainsi montré que l’on passe en général 12 secondes face à un tableau, un temps très bref où l’artiste doit être très habile pour capter l’attention de son observateur qui deviendra peut être un admirateur. Il va alors mesurer les mouvements oculaires de sujets volontaires face à des œuvres de Van Gogh, Cézanne, Goya, Matisse etc.. Il sillonne depuis 2004 les salles de conférences et les amphithéâtres ou un public averti découvre les conclusions de ses études sur la psychologie du peintre et sur l’impact des couleurs et des formes sur nos regards. Tire-t-il profit de ses observations pour construire ses toiles ? Il affirme que ses travaux le font progresser au niveau technique, car il comprend encore mieux le travail des maîtres qu’il étudie, entrant dans leur intimité picturale.
Après Marseille, Il continue de faire découvrir la Provence au public américain (River gallery à Westport, Connecticut), Néerlandais (galerie La Campagne, Rotterdam), Monégasque (Maison de l’Amérique Latine), et bien d’autres encore.
On peut retrouver les œuvres de Jean-Paul Courchia dans son atelier galerie, en prenant contact par son site www.courchia.com.
Galerie JAL, et moi et moi
8, Bd Notre Dame
13006, Marseille
04.91.54.08.88
aurora.com@aliceadsl.fr