Corps 2, 2013 - huile sur toile, 62 x 138 cm
où il expose pour la première fois en 1951. C’est dans cette même ville qu’il est diplômé en 1960 de la Faculté d'Architecture et que le Musée d’Art Moderne lui offre sa première exposition personnelle.
Il obtient le prix de peinture de la Biennale de Paris en 1965, ville où il s'installe l’année suivante et où il vit et travaille aujourd'hui encore.
Il fait sa première exposition personnelle à Paris en 1967 à la galerie du Dragon.
Nommé en 1983 professeur à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, il y enseigne pendant dix-huit ans.
En 2009, il crée le « Fonds Vladimir Velickovic pour le dessin » qui récompense de jeunes artistes serbes.
"Vladimir Velickovic ne tombe pas du ciel. Sa propre histoire s’enracine dans celle de la Yougoslavie, de ses guerres passées, présentes ; son œuvre picturale s’inscrit dans la longue tradition de l’histoire de l’art où l’a précédé une théorie de peintres qui, génétiquement, le constitue. Son œuvre interroge le temps et l’histoire.
Borgès défendait l’idée qu’un seul livre s’écrivait depuis le premier mot tracé au charbon de bois et s’écrirait jusqu’à la Fin des temps livre après livre ; peut-être est-ce aussi pertinent à propos de la peinture ? Peut-être n’y a-t-il qu’une seule image depuis la peinture pariétale jusqu’à celle de Velickovic et ceux qui lui succéderont ? Une image que chaque artiste redécouvre comme un Graal à conquérir ou un rocher de Sisyphe…
L’œuvre de Vladimir Velickovic témoigne combien cette quête de l’image fondamentale ne se fait ni sans mal, ni sans douleur, dans le conflit." Gérard Mordillat - septembre 2014 (extrait du catalogue)
galerie Anne-Marie et Roland Pallade
35, rue Burdeau
69001 LYON
Il obtient le prix de peinture de la Biennale de Paris en 1965, ville où il s'installe l’année suivante et où il vit et travaille aujourd'hui encore.
Il fait sa première exposition personnelle à Paris en 1967 à la galerie du Dragon.
Nommé en 1983 professeur à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, il y enseigne pendant dix-huit ans.
En 2009, il crée le « Fonds Vladimir Velickovic pour le dessin » qui récompense de jeunes artistes serbes.
"Vladimir Velickovic ne tombe pas du ciel. Sa propre histoire s’enracine dans celle de la Yougoslavie, de ses guerres passées, présentes ; son œuvre picturale s’inscrit dans la longue tradition de l’histoire de l’art où l’a précédé une théorie de peintres qui, génétiquement, le constitue. Son œuvre interroge le temps et l’histoire.
Borgès défendait l’idée qu’un seul livre s’écrivait depuis le premier mot tracé au charbon de bois et s’écrirait jusqu’à la Fin des temps livre après livre ; peut-être est-ce aussi pertinent à propos de la peinture ? Peut-être n’y a-t-il qu’une seule image depuis la peinture pariétale jusqu’à celle de Velickovic et ceux qui lui succéderont ? Une image que chaque artiste redécouvre comme un Graal à conquérir ou un rocher de Sisyphe…
L’œuvre de Vladimir Velickovic témoigne combien cette quête de l’image fondamentale ne se fait ni sans mal, ni sans douleur, dans le conflit." Gérard Mordillat - septembre 2014 (extrait du catalogue)
galerie Anne-Marie et Roland Pallade
35, rue Burdeau
69001 LYON