Shox Case. Place des jacobins 2e arrondissement. Réalisation : Direction de l'Eclairage Public Ville de Lyon © Ville de Lyon
Aujourd’hui, l’enthousiasme des habitants est intact, pour fêter la lumière sous toutes ses formes lors de ce qui est désormais le principal événement mondial dans ce domaine. La Fête des Lumières de Lyon est unique, car elle est l’expression d’un patrimoine qui se transmet et se transforme, d’une tradition vivante portée par l’ensemble de la population. Les associations, les acteurs économiques et les commerçants, les étudiants et les scolaires jusqu’aux hôpitaux se mobilisent pour l’événement. Leur participation et leurs initiatives spontanées contribuent chacune à leur manière à l’esprit de la fête, solidaire et rayonnante.
Lyon, terrain de jeu des créatifs dans le domaine de la lumière
Qu’ils soient spécialistes de la lumière ou issus d’autres disciplines, les artistes sont invités par la Ville de Lyon à revisiter près de 70 sites. Ils trouvent là autant de terrains d’expression pour leur créativité, des façades monumentales aux jardins secrets. Faisant appel à des techniques très variées, les concepteurs mettent en scène toutes les formes de lumière.
A la faveur d’une déambulation surprenante, le spectateur perd ses repères face aux effets bluffant des projections vidéo, est captivé par l’esthétique des objets design lumineux, s’émerveille devant la chaleur vacillante de la flamme nue.
En encourageant la participation de personnalités reconnues dans d’autres domaines artistiques, la Fête des Lumières se redécouvre chaque année à travers ces rencontres culturelles.
Ils se sont donnés rendez-vous à Lyon en 2013 : des stylistes à l’image de Chantal Thomass, des designers fidèles tels que l’équipe de Pitaya, des artistes plasticiens comme Edouard Levine, le photographe Milosh Luczynski…
Depuis plusieurs années, plusieurs centaines d’étudiants ont également proposé leurs créations, souvent rafraîchissantes et décalées, grâce aux différents concours et appels à projets lancés en amont du festival.
Les associations se mobilisent également pour faire émerger au coeur des quartiers une trentaine de projets par an, conçus par des artistes originaires de Lyon ou d'autres villes.
De fait, avec la Fête des Lumières, Lyon s’est imposée comme un lieu exceptionnel d’émergence artistique, des créateurs les plus jeunes aux plus accomplis présentant tout l’éventail de la création contemporaine.
A la faveur d’une déambulation surprenante, le spectateur perd ses repères face aux effets bluffant des projections vidéo, est captivé par l’esthétique des objets design lumineux, s’émerveille devant la chaleur vacillante de la flamme nue.
En encourageant la participation de personnalités reconnues dans d’autres domaines artistiques, la Fête des Lumières se redécouvre chaque année à travers ces rencontres culturelles.
Ils se sont donnés rendez-vous à Lyon en 2013 : des stylistes à l’image de Chantal Thomass, des designers fidèles tels que l’équipe de Pitaya, des artistes plasticiens comme Edouard Levine, le photographe Milosh Luczynski…
Depuis plusieurs années, plusieurs centaines d’étudiants ont également proposé leurs créations, souvent rafraîchissantes et décalées, grâce aux différents concours et appels à projets lancés en amont du festival.
Les associations se mobilisent également pour faire émerger au coeur des quartiers une trentaine de projets par an, conçus par des artistes originaires de Lyon ou d'autres villes.
De fait, avec la Fête des Lumières, Lyon s’est imposée comme un lieu exceptionnel d’émergence artistique, des créateurs les plus jeunes aux plus accomplis présentant tout l’éventail de la création contemporaine.
Un tremplin pour les artistes à l’international
La Fête des Lumières est désormais le principal rendez-vous mondial d’une filière en plein essor. Lieu de consécration pour les créateurs renommés, l’événement offre aux plus jeunes l’opportunité de donner une visibilité exceptionnelle à leur travail.
Les représentants des villes et organisateurs de festivals lumière viennent s’imprégner, dans cet immense show-room à ciel ouvert, des grandes tendances artistiques et technologiques de la création lumière. Ils repèrent les artistes et les installations qu’ils accueilleront dans le cadre de leurs propres événements urbains.
Aussi, pour de nombreux artistes, la Fête des Lumières constitue un tremplin pour faire connaître leurs réalisations dans le reste du monde. Depuis 2008, plus de 30 oeuvres créées pour la Fête des Lumières de Lyon ont été présentées à l’étranger. Pour les quelques 25 artistes concernés, le chiffre d’affaires généré à l’export est estimé à environ 2,5 millions d’euros.
A ce titre, la Ville de Lyon et le réseau international des villes lumières LUCI accueillent pour la 2ème année consécutive le “Lyon Light Festival Forum” : 3 jours et 3 nuits consacrés à la lumière pour les professionnels et les quelques 60 délégations internationales en visite à Lyon.
Au programme : colloques, visites et, parmi les temps forts, la plateforme de rencontres entre les créateurs et les organisateurs de festivals organisée avec le soutien du Cluster Lumière. En 2012, 33 concepteurs et artistes lumière ont pu rencontrer 17 villes du monde.
Les représentants des villes et organisateurs de festivals lumière viennent s’imprégner, dans cet immense show-room à ciel ouvert, des grandes tendances artistiques et technologiques de la création lumière. Ils repèrent les artistes et les installations qu’ils accueilleront dans le cadre de leurs propres événements urbains.
Aussi, pour de nombreux artistes, la Fête des Lumières constitue un tremplin pour faire connaître leurs réalisations dans le reste du monde. Depuis 2008, plus de 30 oeuvres créées pour la Fête des Lumières de Lyon ont été présentées à l’étranger. Pour les quelques 25 artistes concernés, le chiffre d’affaires généré à l’export est estimé à environ 2,5 millions d’euros.
A ce titre, la Ville de Lyon et le réseau international des villes lumières LUCI accueillent pour la 2ème année consécutive le “Lyon Light Festival Forum” : 3 jours et 3 nuits consacrés à la lumière pour les professionnels et les quelques 60 délégations internationales en visite à Lyon.
Au programme : colloques, visites et, parmi les temps forts, la plateforme de rencontres entre les créateurs et les organisateurs de festivals organisée avec le soutien du Cluster Lumière. En 2012, 33 concepteurs et artistes lumière ont pu rencontrer 17 villes du monde.
Une politique d’éclairage urbain ambitieuse, sous le signe de la sobriété
La Fête des Lumières, célébration de la lumière éphémère, ne saurait occulter l’excellence lyonnaise en matière d’éclairage pérenne de l’espace et du patrimoine urbain. Pionnière en la matière, la Ville de Lyon a, depuis le lancement de son premier plan Lumière en 1989, progressivement et radicalement transformé le regard sur ses édifices, ses places, ses fleuves et ses collines. Cette politique ambitieuse va de pair avec un souci permanent de sobriété énergétique qui se traduit par l’installation progressive d’équipements moins énergivores et une adaptation de l’éclairage aux usages : des interrupteurs pour éteindre soi-même le jardin public, un éclairage qui se déclenche au passage des piétons, ou des luminaires qui s’éteignent partiellement au milieu de la nuit.
Les résultats sont là : tout en ayant créé 27 700 points lumineux entre 1990 et 2011 et accru le nombre de monuments historiques mis en lumière, la Ville de Lyon, sans sacrifier au bien-être des habitants, a retrouvé un niveau de consommation inférieur à celui de 1989, soit une économie annuelle de 1 100 000 kwh.
Les résultats sont là : tout en ayant créé 27 700 points lumineux entre 1990 et 2011 et accru le nombre de monuments historiques mis en lumière, la Ville de Lyon, sans sacrifier au bien-être des habitants, a retrouvé un niveau de consommation inférieur à celui de 1989, soit une économie annuelle de 1 100 000 kwh.