Une exposition exceptionnelle
Le label « exposition d'intérêt national » récompense chaque année les musées de France « qui mettent en oeuvre un projet d'exposition remarquable par sa qualité scientifique, ses efforts en matière de médiation culturelle et son ouverture à un large public ». Ce label est décerné aux expositions qui « contribuent à la politique de diffusion et d'élargissement des publics des musées de France ».
Le musée des beaux-arts de Dijon renoue avec sa politique d'expositions temporaires d'envergure internationale en rendant hommage au couple d'artistes d'origine dijonnaise : le célèbre sculpteur François Rude (1784-1855) et sa femme peintre, Sophie Rude (1797-1867), longtemps restée dans l'ombre de son époux.
L'exposition suit le cheminement parallèle des trajectoires affectives et artistiques des deux artistes, de Dijon à Paris, en passant par l'exil bruxellois à la chute de l'Empire. Nourris tous deux par la leçon classique des Devosge à l'École de dessin de Dijon, ils n'échappèrent pas aux séductions du romantisme et puisèrent souvent aux mêmes sources d'inspiration.
François et Sophie Rude
François Rude est un sculpteur majeur du XIXe siècle et l'un des meilleurs représentants de la sculpture romantique. Il est l'auteur d'une icône de l'art français, le relief du Départ des Volontaires de l'Arc de Triomphe à Paris, universellement connu sous le nom de La Marseillaise. En alliant la tradition classique à un lyrisme puissant, il apporte un nouveau souffle à la sculpture dont Carpeaux, Bourdelle et Rodin ont saisi toute la modernité.
Sophie Rude, disciple de David à Bruxelles, délaisse rapidement les sujets mythologiques et historiques pour se consacrer au portrait intime et bourgeois. Remarquée aux Salons belges puis parisiens, elle excelle dans ce genre par son sens aigu de la psychologie et son réalisme élégant.
Une exposition exceptionnelle
La dernière rétrospective consacrée à François Rude remonte à 1955 ; aucune n'a, à ce jour, été dédiée à Sophie Rude. L'exposition s'appuie sur les recherches les plus récentes qui ont profondément renouvelé nos connaissances sur ces deux artistes et sur les riches collections du musée des beaux-arts et du musée Rude de Dijon. Elle a été reconnue exposition d'intérêt national par le ministère de la Culture.
Une centaine d’oeuvres seront présentées au musée des beaux-arts, et les moulages monumentaux, dont La Marseillaise, au musée Rude. Jacques Perreaut, artiste bourguignon, proposera un contrepoint contemporain autour de La Marseillaise à la Nef.
Temps fort de l'année culturelle dijonnaise, cette exposition sera accompagnée d'une riche programmation et fédérera un grand nombre d'acteurs culturels, économiques et touristiques de la ville et de la région.
Le musée des beaux-arts de Dijon renoue avec sa politique d'expositions temporaires d'envergure internationale en rendant hommage au couple d'artistes d'origine dijonnaise : le célèbre sculpteur François Rude (1784-1855) et sa femme peintre, Sophie Rude (1797-1867), longtemps restée dans l'ombre de son époux.
L'exposition suit le cheminement parallèle des trajectoires affectives et artistiques des deux artistes, de Dijon à Paris, en passant par l'exil bruxellois à la chute de l'Empire. Nourris tous deux par la leçon classique des Devosge à l'École de dessin de Dijon, ils n'échappèrent pas aux séductions du romantisme et puisèrent souvent aux mêmes sources d'inspiration.
François et Sophie Rude
François Rude est un sculpteur majeur du XIXe siècle et l'un des meilleurs représentants de la sculpture romantique. Il est l'auteur d'une icône de l'art français, le relief du Départ des Volontaires de l'Arc de Triomphe à Paris, universellement connu sous le nom de La Marseillaise. En alliant la tradition classique à un lyrisme puissant, il apporte un nouveau souffle à la sculpture dont Carpeaux, Bourdelle et Rodin ont saisi toute la modernité.
Sophie Rude, disciple de David à Bruxelles, délaisse rapidement les sujets mythologiques et historiques pour se consacrer au portrait intime et bourgeois. Remarquée aux Salons belges puis parisiens, elle excelle dans ce genre par son sens aigu de la psychologie et son réalisme élégant.
Une exposition exceptionnelle
La dernière rétrospective consacrée à François Rude remonte à 1955 ; aucune n'a, à ce jour, été dédiée à Sophie Rude. L'exposition s'appuie sur les recherches les plus récentes qui ont profondément renouvelé nos connaissances sur ces deux artistes et sur les riches collections du musée des beaux-arts et du musée Rude de Dijon. Elle a été reconnue exposition d'intérêt national par le ministère de la Culture.
Une centaine d’oeuvres seront présentées au musée des beaux-arts, et les moulages monumentaux, dont La Marseillaise, au musée Rude. Jacques Perreaut, artiste bourguignon, proposera un contrepoint contemporain autour de La Marseillaise à la Nef.
Temps fort de l'année culturelle dijonnaise, cette exposition sera accompagnée d'une riche programmation et fédérera un grand nombre d'acteurs culturels, économiques et touristiques de la ville et de la région.
Autour de l'exposition
• des visites commentées
• des visites commentées pour les malvoyants et les malentendants
• des ateliers sur les techniques du dessin et de la sculpture
• un livret-découverte pour le jeune public
• des conférences
• des nocturnes (concert, lecture...)
• un colloque international organisé les 6 et 7 décembre 2012, en collaboration avec l'université de Bourgogne :
Le monumental. Une valeur de la sculpture, du romantisme au post-modernisme à l'auditorium de la nef
• le catalogue de l'exposition : François et Sophie Rude. Un couple d'artistes au XIXe siècle, citoyens de la liberté, réunissant des contributions de nombreux spécialistes internationaux, environ 300 p., illustrations en couleur et en noir et blanc
• des visites commentées pour les malvoyants et les malentendants
• des ateliers sur les techniques du dessin et de la sculpture
• un livret-découverte pour le jeune public
• des conférences
• des nocturnes (concert, lecture...)
• un colloque international organisé les 6 et 7 décembre 2012, en collaboration avec l'université de Bourgogne :
Le monumental. Une valeur de la sculpture, du romantisme au post-modernisme à l'auditorium de la nef
• le catalogue de l'exposition : François et Sophie Rude. Un couple d'artistes au XIXe siècle, citoyens de la liberté, réunissant des contributions de nombreux spécialistes internationaux, environ 300 p., illustrations en couleur et en noir et blanc
Pratique
Exposition présentée au musée des beaux-arts, au musée Rude et à la nef
Ouverte de 9h30 à 18h jusqu'au 31 octobre et de 10h à 17h à partir du 2 novembre
Fermée les mardis et les 1er et 11 novembre, 25 décembre, 1er janvier
Ouverte de 9h30 à 18h jusqu'au 31 octobre et de 10h à 17h à partir du 2 novembre
Fermée les mardis et les 1er et 11 novembre, 25 décembre, 1er janvier