L’escalier en fer à cheval du château de Fontainebleau. Attribué à Jean Androuet du Cerceau architecte, 1632-1634. Prise de vue 1998.
Il a mis en images les réalisations d’architectes contemporains de premier plan : Jean Nouvel, Dominique Perrault, Odile Decq et Benoît Cornette, Henri et Bruno Gaudin, Christian Hauvette, Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart ou Claude Vasconi.
Il a aussi montré les chefs-d’œuvre de leurs prédécesseurs : Jean-Baptiste André Godin, Claude-Nicolas Ledoux, François Obin et Bruno Renard, Louis Le Vau, Jules Hardouin-Mansart, Sebastiano Serlio ou Jean-Germain Soufflot.
Né à Lyon en 1937, Georges Fessy est d’abord mécanicien dans l’industrie textile, avant de choisir, en autodidacte, d’être photographe.
À Lyon, puis Paris, il pratique les différents genres de la photographie : industrielle, publicitaire, de mode, d’objets d’art. La diversité des commandes lui donne l’occasion de travailler à différentes échelles et dans des conditions de prises de vue très différentes. Dans l’usine, il faut pouvoir confronter les hommes à un appareil de production parfois démesuré, et jouer du violent clair-obscur.
À l’intérieur de son studio, Georges Fessy scénographie de savantes natures mortes, qu’il modèle délicatement par des éclairages extrêmement réfléchis.
Il a aussi montré les chefs-d’œuvre de leurs prédécesseurs : Jean-Baptiste André Godin, Claude-Nicolas Ledoux, François Obin et Bruno Renard, Louis Le Vau, Jules Hardouin-Mansart, Sebastiano Serlio ou Jean-Germain Soufflot.
Né à Lyon en 1937, Georges Fessy est d’abord mécanicien dans l’industrie textile, avant de choisir, en autodidacte, d’être photographe.
À Lyon, puis Paris, il pratique les différents genres de la photographie : industrielle, publicitaire, de mode, d’objets d’art. La diversité des commandes lui donne l’occasion de travailler à différentes échelles et dans des conditions de prises de vue très différentes. Dans l’usine, il faut pouvoir confronter les hommes à un appareil de production parfois démesuré, et jouer du violent clair-obscur.
À l’intérieur de son studio, Georges Fessy scénographie de savantes natures mortes, qu’il modèle délicatement par des éclairages extrêmement réfléchis.