Je parle des retraites, je prouve que j’étais un foetus visionnaire, j’avais compris qu’il fallait naître avant 1950 pour avoir la retraite à taux plein. Il y a 40 ans les gens votaient plus, aujourd’hui le parti le plus puissant est l’abstentionnisme, qui remporte 30% des voix : nous sommes donc à la merci d’une dictature abstentionniste. Et comme toujours, je commente l’actualité à chaud. »
La préparation de ce spectacle anniversaire lui a permis de s’apercevoir que beaucoup de textes qu’il avait écrit il y a 20 ou 30 ans n’ont pas du tout vieilli. Mais Marc Jolivet ne reprend pas de vieux sketches. Par exemple, quand il parlait de la géopolitique ou de l’identité nationale, il lui a suffi de réactualiser…
C’est un habile mélange auquel s’ajoute une partie musicale orchestrée par Serge Perathoner. Dans le spectacle, Marc Jolivet évoque son parcours. Il fait allusion aux sketches Récho et Frigo, le numéro de clowns qu’il avait monté avec son frère de 1976 à 1980.
Il raconte aussi par exemple sa rencontre avec Daniel Balavoine et leur amitié…
Mais il ne reprend pas ses sketches que l’on pourrait qualifier de « tubes ». Il fait un petit bout du Fils d’Hitler, du Digicode, mais pas entièrement et différemment.
Ces nouveaux sketches ont été écrits avec son complice Guy Laporte, membre éminent du Grand Orchestre du Splendid.
Comme tous ces autres spectacles, celui-ci est très éclectique. Il y mêle la fantaisie, la politique, l’amour de la planète, les gags visuels, les numéros musicaux…
40 ans de scène, c’est avant tout l‘occasion de faire la fête, mais ce n’est pas pour autant une raison de se mettre à la retraite. Marc Jolivet continue son spectacle avec l’Orchestre symphonique lyonnais, il remet en forme Liane Foly au Palace, termine sa pièce « Nuit de folie », met en scène « Moi, Olympe de Gouges » de Caroline Grimm et reprend le rôle de Louis de Funès dans « Pouic-pouic ».
La préparation de ce spectacle anniversaire lui a permis de s’apercevoir que beaucoup de textes qu’il avait écrit il y a 20 ou 30 ans n’ont pas du tout vieilli. Mais Marc Jolivet ne reprend pas de vieux sketches. Par exemple, quand il parlait de la géopolitique ou de l’identité nationale, il lui a suffi de réactualiser…
C’est un habile mélange auquel s’ajoute une partie musicale orchestrée par Serge Perathoner. Dans le spectacle, Marc Jolivet évoque son parcours. Il fait allusion aux sketches Récho et Frigo, le numéro de clowns qu’il avait monté avec son frère de 1976 à 1980.
Il raconte aussi par exemple sa rencontre avec Daniel Balavoine et leur amitié…
Mais il ne reprend pas ses sketches que l’on pourrait qualifier de « tubes ». Il fait un petit bout du Fils d’Hitler, du Digicode, mais pas entièrement et différemment.
Ces nouveaux sketches ont été écrits avec son complice Guy Laporte, membre éminent du Grand Orchestre du Splendid.
Comme tous ces autres spectacles, celui-ci est très éclectique. Il y mêle la fantaisie, la politique, l’amour de la planète, les gags visuels, les numéros musicaux…
40 ans de scène, c’est avant tout l‘occasion de faire la fête, mais ce n’est pas pour autant une raison de se mettre à la retraite. Marc Jolivet continue son spectacle avec l’Orchestre symphonique lyonnais, il remet en forme Liane Foly au Palace, termine sa pièce « Nuit de folie », met en scène « Moi, Olympe de Gouges » de Caroline Grimm et reprend le rôle de Louis de Funès dans « Pouic-pouic ».
Pratique
Vendredi 25 février – 20h30
Office Culturel de Miribel
L’Allegro
Pl. de la République
01700 Miribel
Rens / Résa : 04 78 55 80 20
Tarifs
normal 28€
réduit 24 €
enfant 14 €
www.marcjolivet.fr/
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