Une complicité exceptionnelle entre Daniel Barenboïm, au piano, et son orchestre
Schönberg n'est pas notre préféré dans la dernière partie de son oeuvre et nous n'avons assisté qu'à l'interprétation des Pièces op. 16.
Chaque concerto présente des caractéristiques un peu différentes et c'est avec plaisir que nous pouvons les entendre tous dans un délai rapproché.
Peut-être trouvera-t-on, pour certains mouvements, un pianiste plus virtuose ou parfois un peu plus "romantique" mais une telle cohésion, je dirais même complicité, entre le pianiste et son orchestre est surement assez exceptionnelle. Trois beaux concerts donc, fort bien accueillis auxquels il n'y a rien à reprocher ; mais d'où vient le fait que nous n'ayons pas été tout à fait émus ? Nous sommes sans doute trop exigeants.
Michel Finck
mcfinck@yahoo.fr
Chaque concerto présente des caractéristiques un peu différentes et c'est avec plaisir que nous pouvons les entendre tous dans un délai rapproché.
Peut-être trouvera-t-on, pour certains mouvements, un pianiste plus virtuose ou parfois un peu plus "romantique" mais une telle cohésion, je dirais même complicité, entre le pianiste et son orchestre est surement assez exceptionnelle. Trois beaux concerts donc, fort bien accueillis auxquels il n'y a rien à reprocher ; mais d'où vient le fait que nous n'ayons pas été tout à fait émus ? Nous sommes sans doute trop exigeants.
Michel Finck
mcfinck@yahoo.fr