Le 25 janvier : Symphonies n° 1 en sol mineur op.13 « Rêves d’hiver » et symphonie n° 4 en fa mineur op. 36
Beaucoup de monde aujourd’hui pour la première soirée ! Il faut dire que le guichet délivrant les invitations gratuites était très encombré !
Très belle 1° symphonie, œuvre simple je dirais comparée à la 4° assez grandiose et qui en plus des thèmes slaves laissant entrevoir Dvorak et Stravinski nous fait entendre des mélodies que l’on reconnait pour les avoir déjà entendues et fredonnées sans se rappeler d’où elles provenaient.
Comme d’habitude l’orchestre du théâtre Marinsky de Saint Petersbourg donne un concert splendide avec des sonorités très chaudes, une grande virtuosité et une technique sans faille. Cuivres d’une justesse et précision irréprochables, bois superbes, cordes impressionnantes ( les pizzicati du scherzo du troisième mouvement de la 4° !!). Valery Gergiev que nous avons la chance d’avoir beaucoup vu, est surprenant dans sa façon de diriger ; c’est à peine si on se rend compte qu’il tient les rennes de l’orchestre avec des mouvements de mains assez délicats, et pourtant les ouvrages se déroulent avec une précision au rasoir, mathématique, mais de la part d’un mathématicien capable de beaucoup de poésie !
Une immense ovation à la fin de la 4° symphonie, bien méritée, précédant en bis généreusement offert, l’exécution de la polonaise d’Eugène Onéguine. Nouvelle ovation !
Michel Finck
mcfinck@yahoo.fr
Très belle 1° symphonie, œuvre simple je dirais comparée à la 4° assez grandiose et qui en plus des thèmes slaves laissant entrevoir Dvorak et Stravinski nous fait entendre des mélodies que l’on reconnait pour les avoir déjà entendues et fredonnées sans se rappeler d’où elles provenaient.
Comme d’habitude l’orchestre du théâtre Marinsky de Saint Petersbourg donne un concert splendide avec des sonorités très chaudes, une grande virtuosité et une technique sans faille. Cuivres d’une justesse et précision irréprochables, bois superbes, cordes impressionnantes ( les pizzicati du scherzo du troisième mouvement de la 4° !!). Valery Gergiev que nous avons la chance d’avoir beaucoup vu, est surprenant dans sa façon de diriger ; c’est à peine si on se rend compte qu’il tient les rennes de l’orchestre avec des mouvements de mains assez délicats, et pourtant les ouvrages se déroulent avec une précision au rasoir, mathématique, mais de la part d’un mathématicien capable de beaucoup de poésie !
Une immense ovation à la fin de la 4° symphonie, bien méritée, précédant en bis généreusement offert, l’exécution de la polonaise d’Eugène Onéguine. Nouvelle ovation !
Michel Finck
mcfinck@yahoo.fr