Le 26 janvier : Symphonie n° 2 en do mineur op. 17 et symphonie n° 5 en mi mineur op. 64
La salle est pleine ce soir encore et la 2° symphonie est très bien accueillie, un peu plus grandiose que la première. C’est par contre avec la 5° que l’ovation est majeure. Il faut dire que l’œuvre est extraordinaire avec son long deuxième mouvement où le cor joue un solo très long rejoint par le cor anglais et la flute, le 3° avec une valse en mouvement perpétuel faisant entrevoir le futur Chostakovitch et enfin l’extraordinaire final déjà un peu évoqué au premier mouvement où l’orchestre dégage toute la puissance nécessaire sous la direction du chef sans partition. L’avantage avec Tchaïkovski - par rapport à Richard Strauss par exemple - c’est que là aussi il y a de très beaux thèmes mélodiques, mais qu’il les développe longuement et souvent les reprend, nous laissant le loisir de nous en imbiber.
Un bis nous est offert encore ce soir avec un extrait de « Casse Noisette » d’une vivacité à la Gergiev !
Michel Finck
mcfinck@yahoo.fr
Un bis nous est offert encore ce soir avec un extrait de « Casse Noisette » d’une vivacité à la Gergiev !
Michel Finck
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