Lecture, voix : Églantine Jouve
Chant, voix : Rachel Ratsizafy
Saxophone, voix : Serge Casero
Piano : Cédric Chauveau
Batterie : Valentin Jam.
Ce spectacle insolite mêle narration et musique live, et propose un "portrait concert" du magnifique chanteur de jazz américain Jimmy Scott.
Jizzy découvre à 12 ans qu’il est atteint du syndrome de Kallmann, une maladie rare lui ôtant croissance, puberté et mue.
Jizzy a une voix de fillette, les années passent, sa voix est celle d'une vieillarde. Ambiguïté. Cette voix aurait pu le perdre. Elle a fait de lui un être « à part ». Un artiste à part entière doté d'une tessiture vocale des plus troublantes. Notes en filigrane, en contrepoint du texte, musique et verbe posent un cadre nous replongeant dans le contexte socio-historique du jazz américain.
Le petit récit de Patricia Duflot, librement conçu autour de la personnalité du chanteur Jimmy Scott, établit des ponts entre poésie et histoire du jazz. A la croisée d'un destin individuel et de celui de l'Amérique. « Jizzy » est un condensé d'espoir et de souffrances. Eglantine Jouve, comédienne, et Rachel Ratsizafy, chanteuse d'origine malgache, interprètent chacune à leur manière la voix de Jizzy. La voix blanche et la voix noire : la voix du texte et la voix de la chanson. La voix fluette de Jizzy qui n'a pas mué, la voix forte de Jizzy qui chante. La voix noire et blanche, comme sur un piano, une partition, ou l'histoire du jazz et de l'Amérique. Un spectacle sur la négritude, la différence, servi par de remarquables instrumentistes et interprètes tels que Serge Casero au saxophone, Cédric Chauveau au piano et Valentin Jam à la batterie.
Voir la vidéo sur youtube
Chant, voix : Rachel Ratsizafy
Saxophone, voix : Serge Casero
Piano : Cédric Chauveau
Batterie : Valentin Jam.
Ce spectacle insolite mêle narration et musique live, et propose un "portrait concert" du magnifique chanteur de jazz américain Jimmy Scott.
Jizzy découvre à 12 ans qu’il est atteint du syndrome de Kallmann, une maladie rare lui ôtant croissance, puberté et mue.
Jizzy a une voix de fillette, les années passent, sa voix est celle d'une vieillarde. Ambiguïté. Cette voix aurait pu le perdre. Elle a fait de lui un être « à part ». Un artiste à part entière doté d'une tessiture vocale des plus troublantes. Notes en filigrane, en contrepoint du texte, musique et verbe posent un cadre nous replongeant dans le contexte socio-historique du jazz américain.
Le petit récit de Patricia Duflot, librement conçu autour de la personnalité du chanteur Jimmy Scott, établit des ponts entre poésie et histoire du jazz. A la croisée d'un destin individuel et de celui de l'Amérique. « Jizzy » est un condensé d'espoir et de souffrances. Eglantine Jouve, comédienne, et Rachel Ratsizafy, chanteuse d'origine malgache, interprètent chacune à leur manière la voix de Jizzy. La voix blanche et la voix noire : la voix du texte et la voix de la chanson. La voix fluette de Jizzy qui n'a pas mué, la voix forte de Jizzy qui chante. La voix noire et blanche, comme sur un piano, une partition, ou l'histoire du jazz et de l'Amérique. Un spectacle sur la négritude, la différence, servi par de remarquables instrumentistes et interprètes tels que Serge Casero au saxophone, Cédric Chauveau au piano et Valentin Jam à la batterie.
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Pratique
Espace Cathare
Boulevard Charles de Gaulle
11500 Quillan
04 68 20 00 44
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