Duo composite d'artistes
Dans le cadre du festival des Musiques Improvisées “ AND ON THE OTHER HAND”, 3ème édition
Céline Gauthier, la moine doutiste
Une initiation singulière à la peinture (partage de support) la plonge dans une approche énergique oscillant entre l'incisif et le moelleux chaque ouvrage résulte de tumultueux remous et d'inconcevables re/détournements de situations où priment les notions de risque et de hasard maitrisé. Par delà le moine copiste qui sommeille, elle traite les sujets clichés comme de simples prétextes à une peinture concrète interdite à la frilosité.
http://celine-gauthier.over-blog.com/
Marc Hernandez
Autodidacte, Marc Hernandez manie avec une remarquable élasticité les formes et les sujets.
A travers l'expérimentation par la série comme mode opératoire récurrent, ses peintures sonnent comme des «cabinets de curiosité» où s'agitent d'abord force et vitalité, sur lesquelles se posent d'autres degrés de pertinences.
hernandezmarc.peintures.over-blog.com/
19h : Thomas Barrière SOLO (guitare)
L’improvisation musicale répond aux œuvres picturales dans le cadre de « And On the Other Hand».
Pour ce solo, Thomas veut retourner à ces influences premières que sont le blues, le rock, les musiques ethniques mais dans un format contemporain. Ne subissant aucune chapelle stylistique, cet improvisateur décomplexé pourra passer du pur expérimental à une pop éthérée.
« Thomas Barrière fait partie de ces musiciens dont l’univers sonore allie geste rythmique et acte mélodique dans une complémentarité indispensable au devenir des musiques actuelles. ». Il commence la guitare en autodidacte puis se forme en jazz et en musiques actuelles dans la formation professionnelle Pro Musica au thor (84). Lauréat du premier European Music Training Circuit (E.M.T.C.), détenteur du DEM musiques actuelles et du certificat de la F.N.E.I.J.M.A en guitare Jazz, il se tourne vers les musiques expérimentales depuis maintenant quatre ans. Sa démarche, alors est de détourner son instrument principal par notamment l’utilisation d’objets, d’électronique et de créer des musiques à partir des objets eux-mêmes (captation par piezzos sur escaliers en métal…) Il participe à de nombreux projets.
Céline Gauthier, la moine doutiste
Une initiation singulière à la peinture (partage de support) la plonge dans une approche énergique oscillant entre l'incisif et le moelleux chaque ouvrage résulte de tumultueux remous et d'inconcevables re/détournements de situations où priment les notions de risque et de hasard maitrisé. Par delà le moine copiste qui sommeille, elle traite les sujets clichés comme de simples prétextes à une peinture concrète interdite à la frilosité.
http://celine-gauthier.over-blog.com/
Marc Hernandez
Autodidacte, Marc Hernandez manie avec une remarquable élasticité les formes et les sujets.
A travers l'expérimentation par la série comme mode opératoire récurrent, ses peintures sonnent comme des «cabinets de curiosité» où s'agitent d'abord force et vitalité, sur lesquelles se posent d'autres degrés de pertinences.
hernandezmarc.peintures.over-blog.com/
19h : Thomas Barrière SOLO (guitare)
L’improvisation musicale répond aux œuvres picturales dans le cadre de « And On the Other Hand».
Pour ce solo, Thomas veut retourner à ces influences premières que sont le blues, le rock, les musiques ethniques mais dans un format contemporain. Ne subissant aucune chapelle stylistique, cet improvisateur décomplexé pourra passer du pur expérimental à une pop éthérée.
« Thomas Barrière fait partie de ces musiciens dont l’univers sonore allie geste rythmique et acte mélodique dans une complémentarité indispensable au devenir des musiques actuelles. ». Il commence la guitare en autodidacte puis se forme en jazz et en musiques actuelles dans la formation professionnelle Pro Musica au thor (84). Lauréat du premier European Music Training Circuit (E.M.T.C.), détenteur du DEM musiques actuelles et du certificat de la F.N.E.I.J.M.A en guitare Jazz, il se tourne vers les musiques expérimentales depuis maintenant quatre ans. Sa démarche, alors est de détourner son instrument principal par notamment l’utilisation d’objets, d’électronique et de créer des musiques à partir des objets eux-mêmes (captation par piezzos sur escaliers en métal…) Il participe à de nombreux projets.
Exposition Graff'. 3 graffiti artistes du collectif de l’Artmada. 02 Octobre – 04 Novembre
Performance Live le 12 Octobre à partir de 14h00 sur le cours Joseph Thierry, devant le Comptoir Artistique Phocéen, dans le cadre des Portes Ouvertes Consolat.
L’Artmada est un collectif d’artistes basé dans le sud de la France depuis 2002. Ses activités s’articulent essentiellement autour de la pratique du graffiti, sous forme de fresques, performances, décors ou avec l’organisation du festival Graffiti Balletti. Le collectif se compose principalement de trois graffiti artistes et d’un photographe. L’artmada a déjà collaboré à de nombreux projets nationaux (La journée mondiale du Sida à Marseille et Paris, Inauguration du Tramway à Marseille, des commandes pour Suez, Universal, le stade Vélodrome...) et internationaux (Brussels 2007 à Bruxelles, Meeting of Styles à New York, Pixografia à Sao Paulo, Urban Funke à Barcelone, Sugar à Liverpool pour Liverpool 2008…). La démarche est, au départ, intimement liée au support, à l’espace et à la façon de se l’approprier en fonction des thèmes et des hypothèses de travail. Le support de prédilection reste le mur, la réhabilitation d’espaces vierges, abandonnés. Le travail de ce crew repose sur la narration, le travail de la matière et un coté illustratif, que ce soit en performance, sur une fresque ou dans une usine désaffectée.
Contact :
www.lartmada.com
contact@lartmada.com
L’Artmada est un collectif d’artistes basé dans le sud de la France depuis 2002. Ses activités s’articulent essentiellement autour de la pratique du graffiti, sous forme de fresques, performances, décors ou avec l’organisation du festival Graffiti Balletti. Le collectif se compose principalement de trois graffiti artistes et d’un photographe. L’artmada a déjà collaboré à de nombreux projets nationaux (La journée mondiale du Sida à Marseille et Paris, Inauguration du Tramway à Marseille, des commandes pour Suez, Universal, le stade Vélodrome...) et internationaux (Brussels 2007 à Bruxelles, Meeting of Styles à New York, Pixografia à Sao Paulo, Urban Funke à Barcelone, Sugar à Liverpool pour Liverpool 2008…). La démarche est, au départ, intimement liée au support, à l’espace et à la façon de se l’approprier en fonction des thèmes et des hypothèses de travail. Le support de prédilection reste le mur, la réhabilitation d’espaces vierges, abandonnés. Le travail de ce crew repose sur la narration, le travail de la matière et un coté illustratif, que ce soit en performance, sur une fresque ou dans une usine désaffectée.
Contact :
www.lartmada.com
contact@lartmada.com
Emile Garcia, peintures. Jeudi 06 Novembre – 01 Décembre 2008
Plusieurs aspects des compositions d’Emile Garcia reflètent sa formation initiale d’architecte notamment la recherche permanente d’équilibre et de stabilité. On peut également citer le mouvement de la matière ainsi que le jeu de la lumière sur les variations d’épaisseurs. Cette fameuse lumière qui apporte des nuances de couleur et même de composition suivant son intensité et sa direction. Les traces de la spatule et du peigne pourraient évoquer l’énergie et le combat forcément nécessaires pour créer de telles œuvres. Bien au contraire, ces compositions dégagent une sensation d’harmonie et d’équilibre.
En parallèle à ce travail sur la matière, cet artiste développe un autre aspect dans ses œuvres en utilisant les effets produits par la transparence. Cette recherche de double peau qui cache et qui montre à la fois, suscite l’interrogation , la réflexion et laisse libre cour à l’imagination du spectateur. D’une manière générale et quelque soit les directions de son travail, Emile Garcia s’appuie sur une formation classique du dessin qu’il cherche à dépasser afin de libérer le geste et de révéler un état intérieur. L’utilisation des enduits, des pigments, de l’acrylique et de la gouache lui permet aujourd’hui, après bien des errances, de s’accomplir dans ses œuvres.
En parallèle à ce travail sur la matière, cet artiste développe un autre aspect dans ses œuvres en utilisant les effets produits par la transparence. Cette recherche de double peau qui cache et qui montre à la fois, suscite l’interrogation , la réflexion et laisse libre cour à l’imagination du spectateur. D’une manière générale et quelque soit les directions de son travail, Emile Garcia s’appuie sur une formation classique du dessin qu’il cherche à dépasser afin de libérer le geste et de révéler un état intérieur. L’utilisation des enduits, des pigments, de l’acrylique et de la gouache lui permet aujourd’hui, après bien des errances, de s’accomplir dans ses œuvres.
Pratique
Andiamo, Comptoir Artistique Phocéen
Association « Les Portes Ouvertes Consolat »
30, Cours Joseph Thierry
13001 – MARSEILLE
Ouverte du Lundi au Samedi
10h00 – 19h00
Métro Réformés Canebière/ Tram : Réformés Canebière.
Tel : 04.91.95.80.88.
Site : andiamo.marsnet.org/
Email : andiamo13001@yahoo.fr
Association « Les Portes Ouvertes Consolat »
30, Cours Joseph Thierry
13001 – MARSEILLE
Ouverte du Lundi au Samedi
10h00 – 19h00
Métro Réformés Canebière/ Tram : Réformés Canebière.
Tel : 04.91.95.80.88.
Site : andiamo.marsnet.org/
Email : andiamo13001@yahoo.fr