Parmi eux, Marcel Duchamp qui l’honora d’une de ses célèbres contrepèteries « il faut dire La Crasse du Tympan et non Le Sacre du Printemps ». C’est dire peut-être le choc que provoqua cette célébration géniale de la vie à l’état pur, à l’explosion des beaux jours. Initialement chorégraphié par Nijinski, cette œuvre fait l’objet depuis de perpétuelles reprises, comme si chacun cherchait là à y mettre la marque d’un style d’une expressivité.
Nicolas Hubert apporte ici sa pierre à l’édifice. Fidèle à son style, éternel amoureux de l’énergie du rock qu’il a longtemps pratiqué avant de découvrir la danse, il y va, sans se retourner, confiant dans les forces qui lui seront nécessaires pour sculpter dans l’espace de la scène l’objet nécessaire à la célébration. Pour ce faire, il confie à un trio de musiciens une réinterprétation subjective de la partition originelle, jouée en direct. Sacre, Sacrifice, Massacre... ? Il veut tout oser, tout déchaîner, libérer l’énergie de la pièce pour mieux la transmettre.
Nicolas Hubert apporte ici sa pierre à l’édifice. Fidèle à son style, éternel amoureux de l’énergie du rock qu’il a longtemps pratiqué avant de découvrir la danse, il y va, sans se retourner, confiant dans les forces qui lui seront nécessaires pour sculpter dans l’espace de la scène l’objet nécessaire à la célébration. Pour ce faire, il confie à un trio de musiciens une réinterprétation subjective de la partition originelle, jouée en direct. Sacre, Sacrifice, Massacre... ? Il veut tout oser, tout déchaîner, libérer l’énergie de la pièce pour mieux la transmettre.
Pratique
Théâtre Jean Vilar
12 rue de la république
04 74 28 05 73
billetterie.theatre@bourgoinjallieu.fr
du lun. au sam. de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30
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