L'édition 2016 joue la carte chinoise
Elle réunira, les " habitués " fidèles du festival et de nouveaux venus invités en résidence, avec un coup de projecteur tout particulier sur la musique traditionnelle et contemporaine chinoise représentée par une virtuose de l"ÈRHÙ" : instrument de musique traditionnel chinois – l'équivalent du violon pour les occidentaux -.
Beaucoup de gens, voyant pour la première fois un ÈRHÙ, sont frappés par la simplicité de sa construction et le fait qu’un déploiement de sonorités aussi riches peut être produit sur ses seules deux cordes. Il est composé d'une caisse de résonance en bois ouverte au dos, recouverte d'une peau de serpent, d'un manche en bois orné de deux grosses chevilles, et de deux cordes (ré et la). Les modèles les plus courants ont la plupart du temps la table d'harmonie faite en peau animale qui transmet le son de façon plus forte. Il en existe de plusieurs tailles. Un archet dont le crin est coincé entre les cordes, est utilisé pour faire vibrer ces dernières. Sa tension est obtenue en écartant celui-ci avec les quatre doigts de la main et en prenant appui sur l'extrémité de l'archet avec le pouce.
Il fait partie des instruments traditionnels utilisés pour la musique de l'opéra chinois. On retrouve cet instrument avec différents noms et des variantes de formes (notamment pour la caisse de résonance) partout dans le sud de l'Asie : au Viêt Nam
Beaucoup de gens, voyant pour la première fois un ÈRHÙ, sont frappés par la simplicité de sa construction et le fait qu’un déploiement de sonorités aussi riches peut être produit sur ses seules deux cordes. Il est composé d'une caisse de résonance en bois ouverte au dos, recouverte d'une peau de serpent, d'un manche en bois orné de deux grosses chevilles, et de deux cordes (ré et la). Les modèles les plus courants ont la plupart du temps la table d'harmonie faite en peau animale qui transmet le son de façon plus forte. Il en existe de plusieurs tailles. Un archet dont le crin est coincé entre les cordes, est utilisé pour faire vibrer ces dernières. Sa tension est obtenue en écartant celui-ci avec les quatre doigts de la main et en prenant appui sur l'extrémité de l'archet avec le pouce.
Il fait partie des instruments traditionnels utilisés pour la musique de l'opéra chinois. On retrouve cet instrument avec différents noms et des variantes de formes (notamment pour la caisse de résonance) partout dans le sud de l'Asie : au Viêt Nam
Programme
Lundi 22 Aout 2016 - 20h30 - A La Filature - Lasalle
Pierre Henri Xuereb, Alto/ Su Zhen, Alto/ Norihiro Motoyama,Piano/ Zhu Jiangbo.
Programme : Œuvres de Frank Bridge, Alan Richardson, Arthur Benjamin, Niccolo Paganini…Et Musiques Traditionnelles Chinoises.
Mardi 23 Aout 2016 - 20h30 - A La Filature - Lasalle
Karen Kapferer,Voix/ Norihiro Motoyama, Piano/ Su Zhen, Alto/ Zhu Jiangbo, Erhu.
Programme : Trois chansons de Bilitis de Claude Debussy, Melodies de Gabriel Faure. Pièce pour piano seul : Nocturne de Claude Debussy, 2e Sonate de Delius pour alto et piano. Pièces pour Erhu.
Mercredi 24 Aout 2016 – 20h30 – Foyer - Valleraugue
Gregory Daltin , Accordeon/ Fabrice Pierre, Harpe/ Manuel Metzger, Clarinette/ Zhu Jiangbo, Erhu/ Pierre Henri Xuereb, Alto/ Su Zhen, Alto.
Programme : Œuvres de Rebecca Clarke, Chostakovich, Niccolo Paganani Musiques Traditionnelles Chinoises.
Jeudi 25 Aout 2016 - Lasalle
17h – Ecole du Colombier - Conférence autour des instruments traditionnels
chinois Présentation des anches Rico et cordes D'addario
20h30 - Programme autour des classes d’ensembles Clarinette, Alto et Erhù
Vendredi 26 Aout 2016 – 21h - Chapelle romane - Sainte Croix de Caderle
Programme surprise, avec tous les participants.
Samedi 27 Aout 2016, 16h – Temple - Lasalle,
Concert de clôture, avec tous les participants.
Programme : Duo alto/Clarinette de Rebecca Clarke Trio Alto/Harpe et accordéon de Dimitri Chostakovitch 2e mouvement de la sonate Caprices de Niccolo Paganini, Erhu solo, Duos Alto, Erhu (musiques traditionnelles chinoises)...
Pierre Henri Xuereb, Alto/ Su Zhen, Alto/ Norihiro Motoyama,Piano/ Zhu Jiangbo.
Programme : Œuvres de Frank Bridge, Alan Richardson, Arthur Benjamin, Niccolo Paganini…Et Musiques Traditionnelles Chinoises.
Mardi 23 Aout 2016 - 20h30 - A La Filature - Lasalle
Karen Kapferer,Voix/ Norihiro Motoyama, Piano/ Su Zhen, Alto/ Zhu Jiangbo, Erhu.
Programme : Trois chansons de Bilitis de Claude Debussy, Melodies de Gabriel Faure. Pièce pour piano seul : Nocturne de Claude Debussy, 2e Sonate de Delius pour alto et piano. Pièces pour Erhu.
Mercredi 24 Aout 2016 – 20h30 – Foyer - Valleraugue
Gregory Daltin , Accordeon/ Fabrice Pierre, Harpe/ Manuel Metzger, Clarinette/ Zhu Jiangbo, Erhu/ Pierre Henri Xuereb, Alto/ Su Zhen, Alto.
Programme : Œuvres de Rebecca Clarke, Chostakovich, Niccolo Paganani Musiques Traditionnelles Chinoises.
Jeudi 25 Aout 2016 - Lasalle
17h – Ecole du Colombier - Conférence autour des instruments traditionnels
chinois Présentation des anches Rico et cordes D'addario
20h30 - Programme autour des classes d’ensembles Clarinette, Alto et Erhù
Vendredi 26 Aout 2016 – 21h - Chapelle romane - Sainte Croix de Caderle
Programme surprise, avec tous les participants.
Samedi 27 Aout 2016, 16h – Temple - Lasalle,
Concert de clôture, avec tous les participants.
Programme : Duo alto/Clarinette de Rebecca Clarke Trio Alto/Harpe et accordéon de Dimitri Chostakovitch 2e mouvement de la sonate Caprices de Niccolo Paganini, Erhu solo, Duos Alto, Erhu (musiques traditionnelles chinoises)...
Pierre-Henri Xuereb, Altiste, directeur artistique du festival de l'Alto
Premier prix d'alto à l'âge de 16 ans dans la classe de Serge Collot au Conservatoire national supérieur de musique de Paris. Il devient en 1980 alto solo de l'Ensemble inter-contemporain dirigé par Pierre Boulez. Depuis 1989, il est professeur d'alto au Conservatoire de Paris et il donne des classes de maîtres un peu partout dans le monde.
Il a imaginé avec le luthier Friedrich Alber un alto à cinq cordes (les quatre habituelles : do sol ré la, plus le mi du violon) appelé grand'viola qui lui permet de jouer la Sonate Arpeggione de Franz Schubert ou encore la Sixième suite pour viola pomposa de Jean-Sébastien Bach.
Il a imaginé avec le luthier Friedrich Alber un alto à cinq cordes (les quatre habituelles : do sol ré la, plus le mi du violon) appelé grand'viola qui lui permet de jouer la Sonate Arpeggione de Franz Schubert ou encore la Sixième suite pour viola pomposa de Jean-Sébastien Bach.