Ce n'est pas la musique classique qui se meurt c'est la culture
(au secours Mr MALRAUX) Mais Mr DRILLON exagère peut être. Le mépris qu'il affiche vis à vis des émissions - disons - de vulgarisation est le reflet de son comportement élististe. Qu'il cite Barenboïm est assez curieux lorsqu'on sait comment ses critiques dans le nouvel observateur ont été virulentes et souvent méprisantes lorsque ce musicien extraordinaire dirigeait à Paris. Enfin apprendre aux enfants à distinguer un rythme binaire ou ternaire est-ce leur apprendre à apprécier la musique classique ??? C'est peut être oublier que la musique touche par l'émotion qu'elle peut procurer.
Dans un minuscule village existe une abbaye où j'assiste à des concerts très intéressants - programmes sans concessions à la facilité - et loin de sesentir dans les catacombes, les auditeurs (de + en + nombreux) expriment leur satisfaction, échangent leurs impressions à la sortie de chaque concert. Est-ce que le mal serait très "parisien" ? Jacues Rouaix
Dans un minuscule village existe une abbaye où j'assiste à des concerts très intéressants - programmes sans concessions à la facilité - et loin de sesentir dans les catacombes, les auditeurs (de + en + nombreux) expriment leur satisfaction, échangent leurs impressions à la sortie de chaque concert. Est-ce que le mal serait très "parisien" ? Jacues Rouaix