Le silex en est l’objet significatif. Tout au long de la Préhistoire, c’est la roche de prédilection des hommes pour fabriquer leurs outils, en raison de ses qualités physiques (dureté, tranchant). Cependant bien d'autres roches ont été aussi utilisées par nos ancêtres. C’est ce qu’on appelle l'industrie lithique qui désigne l'ensemble des objets en pierre transformés intentionnellement par la main de l'Homme. Il en existe plusieurs types selon les périodes et l’évolution des techniques utilisées. Parmi ces objets, on trouve par exemple : le chopper (galet à bord tranchant) qui est le plus simple à fabriquer, le racloir, le biface, le burin ou encore la pointe, tous classifiés par les scientifiques selon une nomenclature particulière.
Or il y a plus de 60 ans dans les Alpes de Haute-Provence, les archéologues ont identifié pour la première fois un outil préhistorique totalement inconnu : la pointe de Quinson. Cet outil bien particulier a été découvert pour la première fois en 1947 dans la célèbre grotte de la Baume Bonne à Quinson. Il s’agit d’un outil en forme de pointe dont une seule face a été retouchée par les hommes préhistoriques. Ces derniers s'en servaient pour des usages divers à l’époque du Paléolithique inférieur il y a plus de 300 000 ans.
Jusque-là peu visibles du grand public (seuls 6 exemplaires sont exposés dans l'exposition permanente), le musée de Préhistoire des gorges du Verdon les dévoile enfin aux visiteurs dans leur intégralité : soit une collection exceptionnelle de 145 pointes de Quinson originales. Comment les hommes préhistoriques ont-ils conçu cet outil ? À quoi servait-il ? L’exposition La pointe de Quinson, un outil préhistorique d’ici et d’ailleurs propose, à la lumière des dernières recherches scientifiques, de retracer l’histoire de cet outil très rare et mal connu retrouvé dans la grotte de la Baume Bonne à Quinson. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’objet s’appelle pointe de Quinson même si d’autres pointes du même type ont été retrouvées en Europe, au Moyen-Orient et même de Chine.
Exposition La pointe de Quinson, un outil préhistorique d’ici et d’ailleurs
du 2 février au 3 mai
Musée de Préhistoire des gorges du Verdon
Route de Montmeyan
04500 Quinson
museeprehistoire.com
+33 4 92 74 09 59
Vernissage de l'exposition le lundi 2 février à 17h30 au musée de Préhistoire des gorges du Verdon
Or il y a plus de 60 ans dans les Alpes de Haute-Provence, les archéologues ont identifié pour la première fois un outil préhistorique totalement inconnu : la pointe de Quinson. Cet outil bien particulier a été découvert pour la première fois en 1947 dans la célèbre grotte de la Baume Bonne à Quinson. Il s’agit d’un outil en forme de pointe dont une seule face a été retouchée par les hommes préhistoriques. Ces derniers s'en servaient pour des usages divers à l’époque du Paléolithique inférieur il y a plus de 300 000 ans.
Jusque-là peu visibles du grand public (seuls 6 exemplaires sont exposés dans l'exposition permanente), le musée de Préhistoire des gorges du Verdon les dévoile enfin aux visiteurs dans leur intégralité : soit une collection exceptionnelle de 145 pointes de Quinson originales. Comment les hommes préhistoriques ont-ils conçu cet outil ? À quoi servait-il ? L’exposition La pointe de Quinson, un outil préhistorique d’ici et d’ailleurs propose, à la lumière des dernières recherches scientifiques, de retracer l’histoire de cet outil très rare et mal connu retrouvé dans la grotte de la Baume Bonne à Quinson. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’objet s’appelle pointe de Quinson même si d’autres pointes du même type ont été retrouvées en Europe, au Moyen-Orient et même de Chine.
Exposition La pointe de Quinson, un outil préhistorique d’ici et d’ailleurs
du 2 février au 3 mai
Musée de Préhistoire des gorges du Verdon
Route de Montmeyan
04500 Quinson
museeprehistoire.com
+33 4 92 74 09 59
Vernissage de l'exposition le lundi 2 février à 17h30 au musée de Préhistoire des gorges du Verdon