© Angela Sterling
Alors qu’il fête ses 20 ans en tant que Chorégraphe-Directeur des Ballets de Monte-Carlo, Jean-Christophe Maillot signe dans le même temps LAC : un grand ballet dans la lignée de ceux qu’il a créés pour la Compagnie et qui depuis deux décennies, assurent à ses 50 danseurs une réputation internationale. Créé en décembre 2011, LAC a immédiatement connu le succès auprès d’un public sensible à la lecture que le chorégraphe a donnée de cette œuvre mythique.
En collaboration avec l’écrivain Jean Rouaud, le créateur de costumes Philippe Guillotel et le plasticien Ernest Pignon-Ernest, Jean-Christophe Maillot renoue avec les tourments d’un récit en prise directe avec nos peurs d’enfance et nos terreurs nocturnes. Ces expériences enfouies sont ici exhumées et associées à un contexte familial machiavélique qui sert de support à un ballet en clair-‐obscur. Le passage de l’état animal à celui d’être humain traverse l’ensemble de l’œuvre et interroge notre propre nature. Nous croyons être différents des animaux par notre capacité à faire des choix. Mais en sommes-‐nous seulement capable ? Ne sommes-‐nous pas au fond tout aussi égarés que ce prince ? Jean-Christophe Maillot nous le montre hésitant entre le blanc et le noir, le bien et le mal, la candeur et l’érotisme. Peut-‐être notre humanité ne repose-‐t-‐elle finalement que sur cette insatiabilité fruste qui nous définit depuis notre premier cri : Nous voulons tout !
Chorégraphie : Jean-Christophe Maillot
Musique : Piotr Illitch Tchaïkovsky
Conseiller à la dramaturgie : Jean Rouaud
Scénographie : Ernest Pignon-Ernest
Lumières : Jean-Christophe Maillot et Samuel Thery
En collaboration avec l’écrivain Jean Rouaud, le créateur de costumes Philippe Guillotel et le plasticien Ernest Pignon-Ernest, Jean-Christophe Maillot renoue avec les tourments d’un récit en prise directe avec nos peurs d’enfance et nos terreurs nocturnes. Ces expériences enfouies sont ici exhumées et associées à un contexte familial machiavélique qui sert de support à un ballet en clair-‐obscur. Le passage de l’état animal à celui d’être humain traverse l’ensemble de l’œuvre et interroge notre propre nature. Nous croyons être différents des animaux par notre capacité à faire des choix. Mais en sommes-‐nous seulement capable ? Ne sommes-‐nous pas au fond tout aussi égarés que ce prince ? Jean-Christophe Maillot nous le montre hésitant entre le blanc et le noir, le bien et le mal, la candeur et l’érotisme. Peut-‐être notre humanité ne repose-‐t-‐elle finalement que sur cette insatiabilité fruste qui nous définit depuis notre premier cri : Nous voulons tout !
Chorégraphie : Jean-Christophe Maillot
Musique : Piotr Illitch Tchaïkovsky
Conseiller à la dramaturgie : Jean Rouaud
Scénographie : Ernest Pignon-Ernest
Lumières : Jean-Christophe Maillot et Samuel Thery