Sa démarche artistique s’inscrit dans la continuité de ses recherches sur l’art africain et sur les gardiens des sceaux de la connaissance. L’importance de la symbolique et son inquiétude quant à sa disparition.
Son expression sculpturale relève, à l’image du masque africain, de fonctions à la fois sociales, initiatiques et rituelles.
Les sculptures de Laur.TIA chantent, racontent, initient à la vie, et nous soufflent peut-être un air de rencontre avec nos ancêtres !
Laur.TIA invente aussi une écriture picturale qu’il nomme « mouvement du bois dans la peinture ». La sciure de bois met en relief sur ses toiles, l’histoire de son peuple, l’importance de la transmission à travers les objets. Des objets qui codifient les clés du savoir.(cf. Trésor)
Laurent Tia vit aujourd’hui à Vaison la Romaine.
Né en 1964 à Man en Côte d’Ivoire, d’une mère chanteuse traditionnelle, fille de sculpteurs de la Confrérie des Masques, et d’un père ancien combattant de la flotte Française durant la seconde guerre mondiale.
Sculpteur du sacré dès l’âge de 6 ans : Il dessine et sculpte déjà dans des batons de craie, des vierges Marie, des figurines, des amulettes …
Sa croyance fortement ancrée, il opte à 14 ans pour des études théologiques et entre au séminaire pour 2 ans.
Après le Bac, il se dirige vers des études artistiques et entre à l’INA (Institut National d’Art).
1985-1986 : Obtention du Diplôme National des Beaux Arts. Abidjan. Option Peinture et Sculpture. .
1986-1989 : Recherches sur l’Art Africain auprès d’artisans traditionnels dans les villages de différentes ethnies. Etude de la sculpture Guinéenne dans la vallée du Fouta. Responsable Culturel au Centre Culturel de Biankouma.
1998 : Responsable du Musée Adja-Swa de Yamoussoukro, où il réalise des recherches sur la Statuaire Africaine et son symbolisme.
Il cotoie le temps d’un film, le cinéma :
Il participe à la création des décors et des costumes, et à l’élaboration de l’affiche du film Africain « L’Enfant et le Lion » du réalisateur Patrick Grandperret.
Il expose ses oeuvres dans divers lieux en Côte d’Ivoire et remporte de beaux succès. Exposition à l’Hôtel Président de Yamoussoukro (1997).
Son expression sculpturale relève, à l’image du masque africain, de fonctions à la fois sociales, initiatiques et rituelles.
Les sculptures de Laur.TIA chantent, racontent, initient à la vie, et nous soufflent peut-être un air de rencontre avec nos ancêtres !
Laur.TIA invente aussi une écriture picturale qu’il nomme « mouvement du bois dans la peinture ». La sciure de bois met en relief sur ses toiles, l’histoire de son peuple, l’importance de la transmission à travers les objets. Des objets qui codifient les clés du savoir.(cf. Trésor)
Laurent Tia vit aujourd’hui à Vaison la Romaine.
Né en 1964 à Man en Côte d’Ivoire, d’une mère chanteuse traditionnelle, fille de sculpteurs de la Confrérie des Masques, et d’un père ancien combattant de la flotte Française durant la seconde guerre mondiale.
Sculpteur du sacré dès l’âge de 6 ans : Il dessine et sculpte déjà dans des batons de craie, des vierges Marie, des figurines, des amulettes …
Sa croyance fortement ancrée, il opte à 14 ans pour des études théologiques et entre au séminaire pour 2 ans.
Après le Bac, il se dirige vers des études artistiques et entre à l’INA (Institut National d’Art).
1985-1986 : Obtention du Diplôme National des Beaux Arts. Abidjan. Option Peinture et Sculpture. .
1986-1989 : Recherches sur l’Art Africain auprès d’artisans traditionnels dans les villages de différentes ethnies. Etude de la sculpture Guinéenne dans la vallée du Fouta. Responsable Culturel au Centre Culturel de Biankouma.
1998 : Responsable du Musée Adja-Swa de Yamoussoukro, où il réalise des recherches sur la Statuaire Africaine et son symbolisme.
Il cotoie le temps d’un film, le cinéma :
Il participe à la création des décors et des costumes, et à l’élaboration de l’affiche du film Africain « L’Enfant et le Lion » du réalisateur Patrick Grandperret.
Il expose ses oeuvres dans divers lieux en Côte d’Ivoire et remporte de beaux succès. Exposition à l’Hôtel Président de Yamoussoukro (1997).
Vernissage le vendredi 8 novembre à 18H30 en présence de Laur.TIA avec l’intervention du danseur maasaï Anuang’A
Anuang’A, danseur Massaï
Danseur chorégraphe Kenyan, autodidacte et atypique, Anuang’A puise dans la Tradition, la croyance et la force qui lui sont nécessaires pour créer. Véritable récit initiatique, sa gestuelle est sobrement magnifiée par un mouvement de vague. L’énergie est canalisée en des sauts verticaux et l’émotion est brute. Sur la rythmique vocale, moteur du mouvement, il enchaine force et souplesse, exprimant l’authenticité avec passion.
Avec ses dernières créations la gestuelle évolue, l’énergie est plus libératrice et son propos est plus ouvert : la Tradition en mouvement perpétuel.
Anuang’A représente son pays pour chaque évènement populaire ou officiel dès son début de carrière en 1990.
Il a organisé et participé à des défilés pour African Heritage Company (Kenya) et s’est produit comme danseur chorégraphe en Afrique du Sud, aux Seychelles, à l’Ile de la Réunion et aux Pays Bas.
Depuis 2000, il réside en France mais il retourne régulièrement au Kenya où il a formé un groupe de 7 danseurs Maasaïs. La création de 4 spectacles* lui a donné l’opportunité, sous l’effigie de Cultures France et des Alliances Françaises, de se produire à Djibouti, à Malawi, en Tanzanie, en Namibie, en Ouganda, au Kenya, au Burundi. En France, il a participé (entre autres manifestations) au Festival Off d’Avignon et au festival de Murat.
Avec ses dernières créations la gestuelle évolue, l’énergie est plus libératrice et son propos est plus ouvert : la Tradition en mouvement perpétuel.
Anuang’A représente son pays pour chaque évènement populaire ou officiel dès son début de carrière en 1990.
Il a organisé et participé à des défilés pour African Heritage Company (Kenya) et s’est produit comme danseur chorégraphe en Afrique du Sud, aux Seychelles, à l’Ile de la Réunion et aux Pays Bas.
Depuis 2000, il réside en France mais il retourne régulièrement au Kenya où il a formé un groupe de 7 danseurs Maasaïs. La création de 4 spectacles* lui a donné l’opportunité, sous l’effigie de Cultures France et des Alliances Françaises, de se produire à Djibouti, à Malawi, en Tanzanie, en Namibie, en Ouganda, au Kenya, au Burundi. En France, il a participé (entre autres manifestations) au Festival Off d’Avignon et au festival de Murat.
Pratique
Ferme des Arts - Festival Vaison Danses
Centre d'Animation Culturelle
Rue Bernard Noël
84110 Vaison-la-Romaine
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