Deborah Voigt © Brigitte Lacombe
Chapitre complexe, cet ultime volet s'ouvre sur le rocher des Walkyries où les trois Nornesprédisent la disparition du Walhalla dans les flammes lorsque l'Anneau sera rendu aux Filles du Rhin. Tandis que Brünnhilde invite Siegfried à partir accomplir de nouveaux exploits, il ignore que son monde est sur le point de basculer.
En bouclant la Tétralogie de Wagner, la célèbre maison d'opéra new-yorkaise réussit sa plus ambitieuse production encore jamais réalisée. Le metteur en scène Robert Lepage a mis en œuvre toute sa créativité et son ambition en créant une gigantesque machine scénique qui entraîne 33 mouvements de décor. Sur scène, c'est l'apocalypse. Le palais brûle, le Rhin déborde, le feu se propage partout. Dans un final grandiose, le décor ne cesse de bouger. Visuellement, c'est une consécration.
Avec cette nouvelle production, le metteur en scène a bouleversé les codes de réalisation scénique. En souhaitant créer une image interactive avec les personnages de la scène, il a usé des effets de la nouvelle technologie comme la 3D. Le résultat est prodigieux et retranscrit toute la fougue de l'opéra wagnérien.
Face à cette mise en scène époustouflante, l'orchestration dirigée par le chef Fabio Luisi complète le spectacle. Le chef d'orchestre a pour mission de retranscrire l'éventail des sentiments de ce compositeur visionnaire qu'était Richard Wagner. Car la musique du Crépuscule des Dieux atteint des sommets. Les thèmes musicaux récurrents dévoilent au spectateur des indices sur l'action du personnage ou sur ses émotions. Le Crépuscule des Dieux diffère des précédents volets par ces allusions. Plus l'histoire progresse, plus elle se détache des dieux pour se rapprocher de l'humain.
Au sommet de leur art, les plus grands chanteurs du répertoire wagnérien complètent cette production. Parmi eux, la célèbre soprano dramatique américaine Deborah Voigt interprètera le rôle de Brünnhilde. A ses côtés, la soprano Wendy Bryn Harmer, la mezzo-soprano Waltraud Meier ou le ténor Jay Hunter Morris confirment l'écrasante suprématie vocale de ce spectacle.
Diffusée dans des conditions inégalées de son et d'image (son 5.1 et dix caméras Haute Définition), la retransmission de cet opéra spectaculaire ne manquera pas de couper le souffle des spectateurs des cinémas Gaumont et Pathé. Ils assisteront ainsi, en direct, à la construction d'un véritable chef-d'œuvre. Cette version du célèbre opéra de Wagner est digne d'un film de Steven Spielberg ou de Peter Jackson qui se dessine sous les yeux du public.
Issu de la collaboration entre le Metropolitan Opera de New York et les cinémas Gaumont et Pathé, Le Crépuscule des dieux fait partie de la Saison Lyrique 2011 - 2012 qui fait vivre en direct, au public des cinémas, les plus beaux opéras du répertoire mondial. Le 25 février à 18h55, les spectateurs pourront découvrir Ernani de Giuseppe Verdi. Cet opéra projeté en direct depuis le Metropolitan Opera de New York s'inspire du grand drame romantique de Victor Hugo.
Outre le Metropolitan Opera de New York, les Ballets du Théâtre Bolchoï et l'Opéra National de Paris participent aussi à cette programmation. Ainsi, le 11 mars à 16h, le public découvrira Le Corsaire, ballet d'Adolphe Adam projeté en direct du Théâtre du Bolchoï. Le 22 mars à 19h30, c'est l'œuvre phare de Marius Petipa, La Bayadère, qui sera diffusée en direct de l'Opéra Bastille, dans une version dont seul l'Opéra de Paris est légataire.
En bouclant la Tétralogie de Wagner, la célèbre maison d'opéra new-yorkaise réussit sa plus ambitieuse production encore jamais réalisée. Le metteur en scène Robert Lepage a mis en œuvre toute sa créativité et son ambition en créant une gigantesque machine scénique qui entraîne 33 mouvements de décor. Sur scène, c'est l'apocalypse. Le palais brûle, le Rhin déborde, le feu se propage partout. Dans un final grandiose, le décor ne cesse de bouger. Visuellement, c'est une consécration.
Avec cette nouvelle production, le metteur en scène a bouleversé les codes de réalisation scénique. En souhaitant créer une image interactive avec les personnages de la scène, il a usé des effets de la nouvelle technologie comme la 3D. Le résultat est prodigieux et retranscrit toute la fougue de l'opéra wagnérien.
Face à cette mise en scène époustouflante, l'orchestration dirigée par le chef Fabio Luisi complète le spectacle. Le chef d'orchestre a pour mission de retranscrire l'éventail des sentiments de ce compositeur visionnaire qu'était Richard Wagner. Car la musique du Crépuscule des Dieux atteint des sommets. Les thèmes musicaux récurrents dévoilent au spectateur des indices sur l'action du personnage ou sur ses émotions. Le Crépuscule des Dieux diffère des précédents volets par ces allusions. Plus l'histoire progresse, plus elle se détache des dieux pour se rapprocher de l'humain.
Au sommet de leur art, les plus grands chanteurs du répertoire wagnérien complètent cette production. Parmi eux, la célèbre soprano dramatique américaine Deborah Voigt interprètera le rôle de Brünnhilde. A ses côtés, la soprano Wendy Bryn Harmer, la mezzo-soprano Waltraud Meier ou le ténor Jay Hunter Morris confirment l'écrasante suprématie vocale de ce spectacle.
Diffusée dans des conditions inégalées de son et d'image (son 5.1 et dix caméras Haute Définition), la retransmission de cet opéra spectaculaire ne manquera pas de couper le souffle des spectateurs des cinémas Gaumont et Pathé. Ils assisteront ainsi, en direct, à la construction d'un véritable chef-d'œuvre. Cette version du célèbre opéra de Wagner est digne d'un film de Steven Spielberg ou de Peter Jackson qui se dessine sous les yeux du public.
Issu de la collaboration entre le Metropolitan Opera de New York et les cinémas Gaumont et Pathé, Le Crépuscule des dieux fait partie de la Saison Lyrique 2011 - 2012 qui fait vivre en direct, au public des cinémas, les plus beaux opéras du répertoire mondial. Le 25 février à 18h55, les spectateurs pourront découvrir Ernani de Giuseppe Verdi. Cet opéra projeté en direct depuis le Metropolitan Opera de New York s'inspire du grand drame romantique de Victor Hugo.
Outre le Metropolitan Opera de New York, les Ballets du Théâtre Bolchoï et l'Opéra National de Paris participent aussi à cette programmation. Ainsi, le 11 mars à 16h, le public découvrira Le Corsaire, ballet d'Adolphe Adam projeté en direct du Théâtre du Bolchoï. Le 22 mars à 19h30, c'est l'œuvre phare de Marius Petipa, La Bayadère, qui sera diffusée en direct de l'Opéra Bastille, dans une version dont seul l'Opéra de Paris est légataire.
Villes dans lesquelles est projeté le Crépuscule des Dieux
Informations et réservation sur www.cinemasgaumontpathe.com
AMIENS
ANGERS
ARCHAMPS
AVIGNON
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