Une oeuvre monumentale tout en légèreté et transparence
Placée à 70 cm du sol sur un socle de 2m X 5m, face à l’entrée du Salon et perpendiculaire à l’allée principale, cette œuvre de 2 tonnes sera spectaculaire. Malgré son poids, une impression de légèreté se dégagera de l’oeuvre. Comme pour la plupart de ses créations, Antoine Dufilho conjugue légèreté et dynamique, fluidité et esthétique. Avec lui, les formes s’animent, les transparences créent le mouvement par un habile jeu de plein et de vide.
Cent lamelles d’aluminium de 3mm d’épaisseur laquées en rouge brillant formeront le fuselage de la voiture de 4m20 de long. Ces plaques ne seront pas perpendiculaires au socle mais suivront les courbes de la carrosserie, toutes d'un angle différent, offrant une transparence à 360° autour de la sculpture. Les vides entre les plaques augmenteront et diminueront progressivement afin de procurer un effet d'accélération de l'oeuvre, comme
propulsée par ses roues, avec les plaques qui se déploient autour d'elles, comme des ailes. L’objet statique s’animera en raison de la vision cinétique du spectateur qui déambulera autour de l’œuvre et obtiendra une interprétation différente en fonction de son point d’observation. La voiture sera installée devant un écran blanc rétro-éclairé lequel accentuera le contraste entre le fond et l’œuvre.
Le parcours d’Antoine est pour le moins atypique. Dans son histoire, il y a les arts plastiques auxquels il s’initie avec son grand-oncle, comédien, peintre et sculpteur. Ce grand-oncle, Jacques Dufilho, nourrit également une passion pour les automobiles, en particulier les Bugatti, qu’il restaure et collectionne. Tout petit, Antoine baigne dans l’univers de ces automobiles dont il admire l’esthétique des lignes. Plus tard, il entreprendra des études de
médecine, il y étudiera notamment la biomécanique humaine. Puis, des études d’architecture le mèneront vers une nouvelle approche de la sculpture notamment vers le travail de la structure, une succession de plein et de vide qui apporte légèreté et dynamisme. Il obtient son diplôme à l’école d’Architecture et de Paysage de Lille. Depuis 2012, il se consacre entièrement à son art dans l’atelier qu’il a lui-même construit dans des containers maritimes en banlieue lilloise.
Représenté dans de nombreuses galeries en France et dans le monde. Il expose aussi régulièrement. Ses prochaines expositions se dérouleront durant Art Wynwood à Miami (13 au 17 février) , à la Galerie MAD à Dubaï (15 mars à juillet) et il participera au premier salon Lille Auto Héritage du 17 au 19 avril 2020.
Cent lamelles d’aluminium de 3mm d’épaisseur laquées en rouge brillant formeront le fuselage de la voiture de 4m20 de long. Ces plaques ne seront pas perpendiculaires au socle mais suivront les courbes de la carrosserie, toutes d'un angle différent, offrant une transparence à 360° autour de la sculpture. Les vides entre les plaques augmenteront et diminueront progressivement afin de procurer un effet d'accélération de l'oeuvre, comme
propulsée par ses roues, avec les plaques qui se déploient autour d'elles, comme des ailes. L’objet statique s’animera en raison de la vision cinétique du spectateur qui déambulera autour de l’œuvre et obtiendra une interprétation différente en fonction de son point d’observation. La voiture sera installée devant un écran blanc rétro-éclairé lequel accentuera le contraste entre le fond et l’œuvre.
Le parcours d’Antoine est pour le moins atypique. Dans son histoire, il y a les arts plastiques auxquels il s’initie avec son grand-oncle, comédien, peintre et sculpteur. Ce grand-oncle, Jacques Dufilho, nourrit également une passion pour les automobiles, en particulier les Bugatti, qu’il restaure et collectionne. Tout petit, Antoine baigne dans l’univers de ces automobiles dont il admire l’esthétique des lignes. Plus tard, il entreprendra des études de
médecine, il y étudiera notamment la biomécanique humaine. Puis, des études d’architecture le mèneront vers une nouvelle approche de la sculpture notamment vers le travail de la structure, une succession de plein et de vide qui apporte légèreté et dynamisme. Il obtient son diplôme à l’école d’Architecture et de Paysage de Lille. Depuis 2012, il se consacre entièrement à son art dans l’atelier qu’il a lui-même construit dans des containers maritimes en banlieue lilloise.
Représenté dans de nombreuses galeries en France et dans le monde. Il expose aussi régulièrement. Ses prochaines expositions se dérouleront durant Art Wynwood à Miami (13 au 17 février) , à la Galerie MAD à Dubaï (15 mars à juillet) et il participera au premier salon Lille Auto Héritage du 17 au 19 avril 2020.