Comme des millions de victimes broyées par l’horreur systématisée des nazis, Calek Perechodnik s’est tu. Mais le 7 mai 1943, se sachant perdu, l’homme décide de tout livrer à son journal, comme une purge quotidienne devant l’insoutenable. Un récit bouteille à la mer pour tenter de sauver l’humanité, malgré elle, et se sauver soi-même de n’avoir rien fait. Ou trop tard…
Un homme seul au ban de la société, une confession, une situation de survie désespérée : après Dreck (cette saison au Théâtre du Chêne Noir), Charles Berling fouille à nouveau les zones incertaines de l’humanité, le moment où tout bascule. Sauf qu’ici, rien n’est fiction…
Le témoignage de Calek Perechodnik s’est révélé d’une grande valeur historique : le récit déposé au Mémorial de Yad Vashem en Israël reste à ce jour peu connu du grand public. Pour Charles Berling, Calek apparaît comme un défi de théâtre, une expression essentielle et courageuse pour tenter d’endiguer les nouvelles barbaries naissant sous nos yeux.
« Le théâtre, à un moment où notre vieille Europe voit réapparaître les démons du racisme, de l’antisémitisme et de l’intolérance, se doit de s’emparer de ce sujet brûlant. Il y a dans cette réalisation, je crois, la promesse d’un théâtre nécessaire, puissant et hautement sensible. »
Charles Berling
Un homme seul au ban de la société, une confession, une situation de survie désespérée : après Dreck (cette saison au Théâtre du Chêne Noir), Charles Berling fouille à nouveau les zones incertaines de l’humanité, le moment où tout bascule. Sauf qu’ici, rien n’est fiction…
Le témoignage de Calek Perechodnik s’est révélé d’une grande valeur historique : le récit déposé au Mémorial de Yad Vashem en Israël reste à ce jour peu connu du grand public. Pour Charles Berling, Calek apparaît comme un défi de théâtre, une expression essentielle et courageuse pour tenter d’endiguer les nouvelles barbaries naissant sous nos yeux.
« Le théâtre, à un moment où notre vieille Europe voit réapparaître les démons du racisme, de l’antisémitisme et de l’intolérance, se doit de s’emparer de ce sujet brûlant. Il y a dans cette réalisation, je crois, la promesse d’un théâtre nécessaire, puissant et hautement sensible. »
Charles Berling
Pratique
Avec la complicité de Sylvie Ballul
D’après les mémoires de Calek Perechodnik
Traduction : Paul Zawadzki
Adaptation : Charles Berling et Sylvie Ballul
Musique : György Ligeti
Scénographie : Christian Fenouillat
Lumières : Pascal Noël
Assistante à la mise en scène : Léa Ortelli
Production : Théâtre Liberté Toulon
Le Chêne Noir
8 bis rue Sainte Catherine,
84000 - Avignon
Réservation : 04 90 86 74 87
D’après les mémoires de Calek Perechodnik
Traduction : Paul Zawadzki
Adaptation : Charles Berling et Sylvie Ballul
Musique : György Ligeti
Scénographie : Christian Fenouillat
Lumières : Pascal Noël
Assistante à la mise en scène : Léa Ortelli
Production : Théâtre Liberté Toulon
Le Chêne Noir
8 bis rue Sainte Catherine,
84000 - Avignon
Réservation : 04 90 86 74 87