Choi Byung-So,Untiteld, 2009, Paper, ball-point pen Courtesy Wooson Gallery
Depuis 2005, le Musée a accueilli de nombreuses expositions d’artistes coréens (Lee Ufan (2006), Hwang Young-Sung (2007), Chung Sang Hwa (2011), Lee Bae et Kimsooja (2012), Lee Bul, Hye-Yeon Park, Seung-Yong Song, Bae Bien-U (2015), ...) et contribue à mieux faire connaître la scène artistique extrême orientale encore peu présente en France.
Encore peu connus en France, le Musée présentera en 2016 Lee Kang-So et Choi Byung-So, deux artistes majeurs de la scène coréenne, qui ont participé à de nombreuses expositions en Asie et aux Etats-Unis.
Lee Kang-So est né en 1943 et débute en tant que « performer » dans les années 1970. Il présentera principalement des peintures, empreintes d’une beauté rare et provocante. A travers ses toiles, il revisite et actualise la peinture classique coréenne, centrée sur la représentation du paysage, et construit un travail aux nombreuses références. Entre la tradition calligraphique asiatique et la peinture gestuelle occidentale, le geste élémentaire transporte le visiteur dans un univers imaginaire, sensuel et énigmatique.
Choi Byung-So, né en 1943, commence à travailler en tant qu’artiste à partir des années 1970. A travers l’utilisation du papier journal imprimé comme matériau central, il s’emploie à refaire le monde à son compte, pour que ses dessins ou ses installations, ce qu’il nomme ses « ready-made » relient « la vie quotidienne à l’art et la réalité de l’art ».
Vernissage 4 mars à 19h
Encore peu connus en France, le Musée présentera en 2016 Lee Kang-So et Choi Byung-So, deux artistes majeurs de la scène coréenne, qui ont participé à de nombreuses expositions en Asie et aux Etats-Unis.
Lee Kang-So est né en 1943 et débute en tant que « performer » dans les années 1970. Il présentera principalement des peintures, empreintes d’une beauté rare et provocante. A travers ses toiles, il revisite et actualise la peinture classique coréenne, centrée sur la représentation du paysage, et construit un travail aux nombreuses références. Entre la tradition calligraphique asiatique et la peinture gestuelle occidentale, le geste élémentaire transporte le visiteur dans un univers imaginaire, sensuel et énigmatique.
Choi Byung-So, né en 1943, commence à travailler en tant qu’artiste à partir des années 1970. A travers l’utilisation du papier journal imprimé comme matériau central, il s’emploie à refaire le monde à son compte, pour que ses dessins ou ses installations, ce qu’il nomme ses « ready-made » relient « la vie quotidienne à l’art et la réalité de l’art ».
Vernissage 4 mars à 19h