C’est un « road-mouvant » qui répond à des quesOons diverses mais essenOelles :
La dépression peut-elle nous mener là où la passion n’a pu nous conduire ?
Une doublure lumière doit-elle rester dans l’ombre ?
Le Brocciu peut-il servir de masque de beauté ?
Peut-on être bipolaire sur la banquise ?
La dépression peut-elle nous mener là où la passion n’a pu nous conduire ?
Une doublure lumière doit-elle rester dans l’ombre ?
Le Brocciu peut-il servir de masque de beauté ?
Peut-on être bipolaire sur la banquise ?
Note de l’auteur
« J'ai commencé par vouloir raconter l'histoire palpitante d'un autre. Et puis je me suis dit que ça ne me concernait pas.
Alors j'ai voulu écrire mon histoire et puis je me suis dit que ça n'intéresserait personne.
Alors j'ai écrit l'histoire de Peter Brocciu. Un personnage qui prend tout au pied de la le=re et pour qui le rêve et la (télé)réalité ne font qu'un . Un personnage qui n'est donc ni tout à fait l'auteur ni tout à fait un autre mais qui peine et qui surprend, y compris dans la forme très particulière du récit qui va du stand-up à la tragédie, de la prose a l'alexandrin.
La bipolarité dont j'ai paré le personnage m'a permis d'explorer différents états émotionnels très contrastés sur des périodes très courtes. Les pérégrinations du personnage ont toutes une obsession commune qui est la mienne : avons-nous le temps d'accomplir ?
"Tout établissement vient tard et dure peu" dit La Fontaine.
De la fraîcheur des pôles terrestres jusqu'au bouillonnement des pôles plus et moins de son cerveau malade le personnage va partir en exploration. Avec en fil vert la nature et en fil rouge l'amour, toujours l'amour et la question qui vient toujours quand il ne répond plus : est-ce que ça vaut le coup de vivre encore ? » Daniel Delorme
Alors j'ai voulu écrire mon histoire et puis je me suis dit que ça n'intéresserait personne.
Alors j'ai écrit l'histoire de Peter Brocciu. Un personnage qui prend tout au pied de la le=re et pour qui le rêve et la (télé)réalité ne font qu'un . Un personnage qui n'est donc ni tout à fait l'auteur ni tout à fait un autre mais qui peine et qui surprend, y compris dans la forme très particulière du récit qui va du stand-up à la tragédie, de la prose a l'alexandrin.
La bipolarité dont j'ai paré le personnage m'a permis d'explorer différents états émotionnels très contrastés sur des périodes très courtes. Les pérégrinations du personnage ont toutes une obsession commune qui est la mienne : avons-nous le temps d'accomplir ?
"Tout établissement vient tard et dure peu" dit La Fontaine.
De la fraîcheur des pôles terrestres jusqu'au bouillonnement des pôles plus et moins de son cerveau malade le personnage va partir en exploration. Avec en fil vert la nature et en fil rouge l'amour, toujours l'amour et la question qui vient toujours quand il ne répond plus : est-ce que ça vaut le coup de vivre encore ? » Daniel Delorme