Dessinateur surdoué, il a illustré de nombreuses couvertures et ouvrages pour les éditions Gallimard, Denoël, Actes Sud, le Seuil... Il est par ailleurs un collaborateur régulier de la presse, des deux côtés de l’Atlantique (Le Monde, Télérama, Libération, the New York Times, the New-Yorker Magazine…).
Il vit aujourd’hui près de Paris. Son travail a été montré au Palais de Tokyo et dans diverses galeries à travers le monde. Le magazine de graphisme américain Communication Arts lui a remis son prix annuel pour l’une des illustrations de Drawings, ouvrage monographique de référence paru en 2015 aux éditions Glénat. Il fait des incursions de plus en plus fréquentes dans la bande dessinée, le dessin de presse, la réalisation de guides touristiques, les affiches ou encore l’illustration de livres parmi lesquels de grands noms de la littérature comme John Dos Passos. Il dit de l’exposition : « Avec le mij, nous souhaitons mettre en valeur les différentes disciplines dans lesquelles j’interviens. »
Miles Hyman incarne son temps. « Au premier coup d’œil, le visiteur pourra trouver mon travail très éclectique », admet l’illustrateur. Mais, rien n’est laissé au hasard. Tout est voulu et la démarche assumée.
Qu’il choisisse le fusain ou le pastel, Miles Hyman fait de chaque dessin
une œuvre à part, au cadrage souvent cinématographique, utilisant une palette de couleurs chaudes, avec une force narrative singulière.
Longtemps connu et reconnu pour son goût du « polar », il aime se promener, surtout en ville d’ailleurs: « J’ai une attirance pour l’urbain, sa densité de détails, l’architecture (qu’il a d’ailleurs étudié), le foisonnement d’activités. C’est un théâtre propice qui me stimule. La ville est un acteur majeur de ma création même si je suis né à la campagne ».
Cette rétrospective inédite permettra d’admirer le travail de l’artiste pour Images interdites, l’ABC, des illustrations réalisées pour la presse, pour l’édition… Place à l’élégance, évidente, au mystère et à la lumière.
« Cette rétrospective va très loin dans ma carrière puisqu’elle réunit mes premiers dessins des années 80 jusqu’à des œuvres réalisées l’automne dernier », détaille l’artiste qui se nourrit avec joie de cette multiplicité de ses « donneurs d’ordre ». Il a toujours refusé d’être identifié à un seul genre, souhaitant « rester souple et ouvert à plein de styles ».
Près de 200 œuvres originales de cet artiste au trait éminemment incisif et à la palette sensuelle sont exceptionnellement réunies au mij pour cette occasion.
« Je connais le mij et la qualité de ses expositions. Je suis honoré d’être invité et ravi de pouvoir faire découvrir mon travail à d’autres publics », souligne l’illustrateur. Fidèle à sa réputation, le musée a mis en place un parcours pédagogique adapté au jeune public et un catalogue de l’exposition est proposé à la vente.
Il vit aujourd’hui près de Paris. Son travail a été montré au Palais de Tokyo et dans diverses galeries à travers le monde. Le magazine de graphisme américain Communication Arts lui a remis son prix annuel pour l’une des illustrations de Drawings, ouvrage monographique de référence paru en 2015 aux éditions Glénat. Il fait des incursions de plus en plus fréquentes dans la bande dessinée, le dessin de presse, la réalisation de guides touristiques, les affiches ou encore l’illustration de livres parmi lesquels de grands noms de la littérature comme John Dos Passos. Il dit de l’exposition : « Avec le mij, nous souhaitons mettre en valeur les différentes disciplines dans lesquelles j’interviens. »
Miles Hyman incarne son temps. « Au premier coup d’œil, le visiteur pourra trouver mon travail très éclectique », admet l’illustrateur. Mais, rien n’est laissé au hasard. Tout est voulu et la démarche assumée.
Qu’il choisisse le fusain ou le pastel, Miles Hyman fait de chaque dessin
une œuvre à part, au cadrage souvent cinématographique, utilisant une palette de couleurs chaudes, avec une force narrative singulière.
Longtemps connu et reconnu pour son goût du « polar », il aime se promener, surtout en ville d’ailleurs: « J’ai une attirance pour l’urbain, sa densité de détails, l’architecture (qu’il a d’ailleurs étudié), le foisonnement d’activités. C’est un théâtre propice qui me stimule. La ville est un acteur majeur de ma création même si je suis né à la campagne ».
Cette rétrospective inédite permettra d’admirer le travail de l’artiste pour Images interdites, l’ABC, des illustrations réalisées pour la presse, pour l’édition… Place à l’élégance, évidente, au mystère et à la lumière.
« Cette rétrospective va très loin dans ma carrière puisqu’elle réunit mes premiers dessins des années 80 jusqu’à des œuvres réalisées l’automne dernier », détaille l’artiste qui se nourrit avec joie de cette multiplicité de ses « donneurs d’ordre ». Il a toujours refusé d’être identifié à un seul genre, souhaitant « rester souple et ouvert à plein de styles ».
Près de 200 œuvres originales de cet artiste au trait éminemment incisif et à la palette sensuelle sont exceptionnellement réunies au mij pour cette occasion.
« Je connais le mij et la qualité de ses expositions. Je suis honoré d’être invité et ravi de pouvoir faire découvrir mon travail à d’autres publics », souligne l’illustrateur. Fidèle à sa réputation, le musée a mis en place un parcours pédagogique adapté au jeune public et un catalogue de l’exposition est proposé à la vente.