Lorsque notre rêverie se confronte aux réalités du monde,
nos yeux sont grands ouverts pour accueillir l’image d’une passante laissant derrière elle une trace, guidant notre imaginaire, nous questionnant peut-être. L’inconnu exercera toujours sur nous cette forme de fascination qui nous pousse à vouloir percer certains mystères.
Cette exposition est consacrée à l’image de la femme. Anne-Lise Large nous ouvre les portes de leur intimité. Elle fixe sur l’image ces moments furtifs durant lesquels notre œil est interpellé et retranscrit un univers singulier. Nous sommes à la lisière de la sensualité, l’ambiguïté est toujours présente. Que cela soit dans les moments de doute qui exacerbent leur fragilité ou dans leur exaltation, raisonne une vibration particulière.
Les visages ne sont jamais entièrement dévoilés, ils gardent leur secret. La lumière et la pénombre jouent un rôle majeur, les jeunes femmes se fondant totalement dans l’environnement dicté par l’intensité lumineuse, comme absorbant celle-ci, l’intégrant à leur intériorité.
L'exposition est accompagnée d'un catalogue et d'un texte d'Hélène Cixous.
Cette exposition est consacrée à l’image de la femme. Anne-Lise Large nous ouvre les portes de leur intimité. Elle fixe sur l’image ces moments furtifs durant lesquels notre œil est interpellé et retranscrit un univers singulier. Nous sommes à la lisière de la sensualité, l’ambiguïté est toujours présente. Que cela soit dans les moments de doute qui exacerbent leur fragilité ou dans leur exaltation, raisonne une vibration particulière.
Les visages ne sont jamais entièrement dévoilés, ils gardent leur secret. La lumière et la pénombre jouent un rôle majeur, les jeunes femmes se fondant totalement dans l’environnement dicté par l’intensité lumineuse, comme absorbant celle-ci, l’intégrant à leur intériorité.
L'exposition est accompagnée d'un catalogue et d'un texte d'Hélène Cixous.
Anne-Lise Large en bref
Née en 1982, Anne-Lise Large suit des études en cinéma et en philosophie à Strasbourg, puis à la Sorbonne. Elle s’intéresse très tôt au théâtre et à la mise en scène, en parallèle de sa pratique photographique. Elle approfondit son travail photographique lors de workshops aux côtés d’Antoine d’Agata et de Klavdij Sluban. En 2005, ses photographies sont projetées et commentées à Montévideo (Marseille) par Jean-Luc Nancy et elle crée l’exposition-installation Ph(il/ot)o-graphie au théâtre du Maillon de Strasbourg, une rencontre entre photographie et écriture, regroupant des textes inédits de nombreux auteurs contemporains. Elle expose à l’Institut Français de Dresde (Allemagne) et en 2006, à la galerie François Miron (Paris), lors du Mois de la Photographie. Elle bénéficie de la sélection officielle « Paris Jeunes Talents 2006 » puis reçoit le premier prix universitaire de la Photographie à Strasbourg en 2007. Engagée dans de nombreux projets d’exposition en France et à l’étranger, elle achève son doctorat de philosophie autour de la question du visible et de l’invisible dans l’histoire de la photographie et de la littérature.
Musée de la photographie André Villers. Porte Sarrazine 06250 MOUGINS VILLAGE
Tél. 04 93 75 85 67
Du lundi au vendredi, de 10h à 18h. Les samedi, dimanche et fêtes, de 11h à 18h
Musée de la photographie André Villers. Porte Sarrazine 06250 MOUGINS VILLAGE
Tél. 04 93 75 85 67
Du lundi au vendredi, de 10h à 18h. Les samedi, dimanche et fêtes, de 11h à 18h