Verseuse en forme de cédrat «main-de-Bouddha », dynastie Qing, 18e siècle. Néphrite sculpté. Legs Isaac de Camondo
Chaque ensemble d’œuvres est introduit par un court texte en trois langues (français, anglais, chinois) et une carte. Les œuvres majeures sont également assorties d’un commentaire en trois langues. Le musée marque là son souhait d’être plus largement et également accessible à tous ses publics et notamment aux visiteurs étrangers, en augmentation.
À travers un parcours abordable est racontée l’histoire de la céramique chinoise, depuis les prémices de la porcelaine jusqu’à une production à vaste échelle alimentant le commerce mondial, aux mains des Européens à partir du début du 16e siècle.
Comme un fil conducteur les bleu et blanc chinois, d'abord réalisés grâce au cobalt importé d'Iran, se retrouvent jusque dans les dernières créations du grand Chu Teh-Chun dont une porcelaine fait son entrée au musée. L'aventure de la porcelaine chinoise est ainsi retracée jusqu'à la renaissance d'un design contemporain au pays du Céleste empire. Le laque et le mobilier sont également revivifiés.
Le MNAAG conserve l’une des plus prestigieuses collections de céramiques chinoises au monde. Au noyau exceptionnel de la donation d’Ernest Grandidier (1894) et du legs de l’éditeur Michel Calmann (1977) sont venus s’ajouter récemment quelques enrichissements majeurs dont une très rare aiguière bleu et blanc à décor de pivoine du règne de l’empereur Yongle (1406-1421) arrivée en France en 1547. Plus ancienne céramique chinoise encore présente sur le sol français, cette pièce insigne a été classée « trésor national » et a été acquise avec la participation du Fonds du Patrimoine.
Cette nouvelle présentation, mêlant tous les matériaux et les formats est l'occasion d'une redécouverte de la prestigieuse collection du musée éclairée de ses acquisitions récentes.
À travers un parcours abordable est racontée l’histoire de la céramique chinoise, depuis les prémices de la porcelaine jusqu’à une production à vaste échelle alimentant le commerce mondial, aux mains des Européens à partir du début du 16e siècle.
Comme un fil conducteur les bleu et blanc chinois, d'abord réalisés grâce au cobalt importé d'Iran, se retrouvent jusque dans les dernières créations du grand Chu Teh-Chun dont une porcelaine fait son entrée au musée. L'aventure de la porcelaine chinoise est ainsi retracée jusqu'à la renaissance d'un design contemporain au pays du Céleste empire. Le laque et le mobilier sont également revivifiés.
Le MNAAG conserve l’une des plus prestigieuses collections de céramiques chinoises au monde. Au noyau exceptionnel de la donation d’Ernest Grandidier (1894) et du legs de l’éditeur Michel Calmann (1977) sont venus s’ajouter récemment quelques enrichissements majeurs dont une très rare aiguière bleu et blanc à décor de pivoine du règne de l’empereur Yongle (1406-1421) arrivée en France en 1547. Plus ancienne céramique chinoise encore présente sur le sol français, cette pièce insigne a été classée « trésor national » et a été acquise avec la participation du Fonds du Patrimoine.
Cette nouvelle présentation, mêlant tous les matériaux et les formats est l'occasion d'une redécouverte de la prestigieuse collection du musée éclairée de ses acquisitions récentes.