Renaud Capuçon © Simon Fowler Erato
Renaud Capuçon & Camerata Salzburg : Satie, Mozart. Lundi 6 novembre 2017 à 20h30 au Grand Théâtre
Renaud Capuçon chez Mozart… Le violoniste, au faîte de sa carrière internationale, ne manque jamais un rendez-vous en terre provençale, fait résonner sur la scène du Grand Théâtre qu'il affectionne tant, les sonorités ambrées de son Guarnerius 1737 - l'ancien instrument du grand Isaac Stern. Perfectionniste et engagé, ardent défenseur du répertoire classique, il s'entoure depuis ses débuts des meilleurs artistes, multipliant les collaborations avec des chefs d'orchestre prestigieux, choisissant ses orchestres en fonction de chaque répertoire.
Originaire de la ville de naissance de Mozart, la Camerata Salzburg, qui l'accompagne ce soir, a été fondée en 1952 par les solistes des meilleurs ensembles autrichiens. Spécialiste du classicisme viennois et dépositaire de la tradition mozartienne, l'orchestre ouvre son répertoire à la musique française, sous l'impulsion de son nouveau directeur artistique Louis Langrée, comme en témoigne ce programme partagé entre les Concerto pour violon n°1 et n°4 de Mozart et des pièces d'Erik Satie. Les arrangements pour orchestre de ses Gnossiennes, notamment ceux réalisés par Debussy et Poulenc, subliment la fine poésie de ces miniatures, où affleurent tantôt l'humour ou la mélancolie.
Camerata Salzburg,
Direction et violon Renaud Capuçon
Premier Violon Gregory Ahss
Erik Satie Gnossiennes
Mozart Concertos pour violon n°1, KV. 207 et n°4, KV. 218
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Originaire de la ville de naissance de Mozart, la Camerata Salzburg, qui l'accompagne ce soir, a été fondée en 1952 par les solistes des meilleurs ensembles autrichiens. Spécialiste du classicisme viennois et dépositaire de la tradition mozartienne, l'orchestre ouvre son répertoire à la musique française, sous l'impulsion de son nouveau directeur artistique Louis Langrée, comme en témoigne ce programme partagé entre les Concerto pour violon n°1 et n°4 de Mozart et des pièces d'Erik Satie. Les arrangements pour orchestre de ses Gnossiennes, notamment ceux réalisés par Debussy et Poulenc, subliment la fine poésie de ces miniatures, où affleurent tantôt l'humour ou la mélancolie.
Camerata Salzburg,
Direction et violon Renaud Capuçon
Premier Violon Gregory Ahss
Erik Satie Gnossiennes
Mozart Concertos pour violon n°1, KV. 207 et n°4, KV. 218
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Dancing Grandmothers. Eun-Me Ahn. Mercredi 8 et Jeudi 9 novembre 2017 à 20h30 au Grand Théâtre à partir de 7 ans.
La chorégraphe Eun-Me Ahn, surnommée la "Pina Bausch Coréenne", fait de rares apparitions sur les scènes françaises. L'enthousiasmant Dancing Grandmothers est l'aboutissement d'une quête et d'une recherche autour de la mémoire de son pays. Elle est allée à la rencontre de grands-mères dans les provinces rurales de Corée du Sud et leur a demandé de danser pour elle sur les tubes de leurs jeunes années. «Leurs danses étaient si naturelles et vivantes qu’elles ont entraîné dans leur mouvement les jeunes danseurs professionnels de ma compagnie." dit la chorégraphe. Résultat : un spectacle à l'énergie communicative, émouvant et drôle. Les âges n'ont plus d'importance, les corps se croisent, formant autant de tableaux mêlant présent et passé, tradition et modernité... Exprimant la double face de la chorégraphe, à la fois d'une extrême rigueur mais parfois jusqu'au-boutiste dans ses propositions artistiques, Dancing Mothers a toujours rencontré un grand succès public. Les spectateurs sont d'ailleurs, à la fin du spectacle, invités à la fête...
Chorégraphie et direction artistique
Eun-Me Ahn
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Eun-Me Ahn
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